Salutations voyageur. Il y a des millions d’endroits à voir dans cet univers et l’équipe de l’OBSERVISTE est ici pour s’assurer que vous jouissiez de la meilleure expérience possible lors de votre voyage.
Système Stanton. Le nom seul suffit généralement à provoquer de nombreuses réactions. Ce système découvert par Toshi Aaron fit l’objet de nombreux débats, notamment à cause de ses super-terres, et aurait pu être le théâtre de ventes immobilières abordables s’arrachant par millions. L’UEE avait d’autres plans. Trente-et-un ans après la création du projet Archangel, plus communément appelé le Monde Synthétique, le gouvernement était victime d’une véritable hémorragie financière et avait besoin d’une perfusion monétaire.
À mesure que les mondes de Stanton étaient terraformés, les gouvernements commençaient à voir fleurir les offres des plus grandes MegaEntreprises de l’Empire et cela en vendant essentiellement ces même mondes. Il ne fallut pas longtemps avant qu’ils trouvent des acheteurs. L’Empire avait son argent et son histoire comptait des planètes commerciales.
ARCCORP
La troisième planète de Stanton porte une distinction bien ironique. La planète a été vendue pour financer le Monde Synthétique, cependant la planète fut quand même transformée, du moins à la surface, en un monde synthétique. Prenant exemple sur l’approche de la géoprogrammation Xi’An, ArcCorp sculpta, fractionna et construisit près de la première zone d’atterrissage afin d’en maximiser le potentiel économique. Ils finirent par louer bureaux, usines et espaces de production à quiconque aurait suffisamment de crédits pour payer.
Malgré qu’une part écrasante de la planète soit dominée par un étalement urbain sans fin, une maigre poignée de zones d’atterrissages existe pour les voyageurs qui tracent leur chemin à travers le système. Parmi celles-ci, l’une est devenue la zone de trafic la plus importante :
PRÉSENTATION DE LA ZONE 18
Ici, à L’OBSERVISTE, nous aurions – en temps normal – commencé notre paragraphe en vous explicitant notre approche dans le seul but d’enflammer votre imagination sur la raison pour laquelle cet endroit est le lieu idéal où se poser.
Nous ne pouvons pas vraiment faire cela. La Zone 18 n’est juste qu’un endroit de plus dans l’éternel étalement urbain. L’une des rares qui autorise encore la circulation interplanétaire. Bien sûr, le panorama architectural qui s’étend à perte de vue est assez spectaculaire, mais il faut se poser ici parce que… eh bien, vous n’avez pas le choix.
Vous aurez une belle vue sur le siège principal d’ArcCorp… ce n’est pas rien, je suppose.
Bien sûr, vous pourrez visiter certains magasins familiers : CenterMass, Abernathy Interiors, Dumper’s Depot, Casaba, et cetera, et cetera, mais nous savons que vous voulez voir la vraie facette de la Zone 18.
LA TOUR DE CONTRÔLE vous guidera jusqu’à la surface. Cependant, une fois que vous sortirez de votre vaisseau, il restera encore un arrêt de plus avant que les choses ne deviennent intéressantes.
Le service de douanes n’est jamais amusant. Point barre. Donc allez au bar ArcCorp pour vous en mettre plein la tête. Et l’on ne parle pas de boissons, ici ; nous avons trouvé LEV CRONENBERG, patron et co-propriétaire (apparemment dans cet ordre). Après une carrière dans les théâtres Vanduul et Xi’An, il a acheté une part du lieu avec sa cotisation de retraite et a eu un second souffle depuis.
Attention cependant, la sécurité est prise très au sérieux à la surface. ArcCorp a enrôlé une société (notoire) de sécurité privée nommée BlackJack pour maintenir la paix. Le lieutenant MICHAEL CALLUM est le représentant des forces de l’ordre affectées à la Zone 18. Un conseil d’ami, si vous rencontrez des problèmes, allez plutôt au BUREAU DE L’ADVOCACY.
CUBBY BLAST a toutes les caractéristiques d’un magasin d’armes classique : inventaire sur écran, possibilité d’installer les produits achetés sur votre vaisseau, vente occasionnelle, mais c’est l’homme derrière le registre qui fait que le magasin sort de l’ordinaire. Expatrié de Cathcart, CLOR VEE apporte un savoir apparemment inépuisable à propos de ses marchandises en rajoutant du danger à ses histoires, comme pour nous assurer que sa connaissance vient de son expérience personnelle.
En conclusion : ArcCorp est un spectacle à voir. Ce rêve épique que l’industrie est représentée à l’échelle planétaire est quelque chose que vous ne trouverez nulle part ailleurs dans l’espace Humain.
Bien sûr, nous pourrions vous en parler toute la journée, mais c’est vraiment quelque chose que vous devez observer par vous-même.