Petite note personnelle : s’il y a un épisode à regarder de TNGS, c’est bien celui-là. Les vaisseaux sont pour la plupart entièrement modélisés à l’extérieur, et certains se sont même avancés en modélisant l’intérieur. On ne saurait lequel choisir. *bave*
Préparez-vous pour le neuvième épisode de The Next Great Starship (« Le Prochain Super Vaisseau Spatial »), le concours de modélisation qui offre une chance aux fans de créer un vaisseau qui pourra être utilisé dans le prochain jeu vidéo de simulation spatiale épique de Chris Roberts : Star Citizen™. Parmi les sponsors pour ce concours se trouvent Alienware, AMD, Autodesk, Crytek, Cologne Game Lab, Maingear, Wacom et YouTube. The Next Great Starship est diffusé tous les Vendredi à 18h, heure de la côté Est des États-Unis, ou 15h, heure du Pacifique (note : cela correspond à 23h, heure Française). Les fans sont invités à se rendre sur la chaîne YouTube de Robert Space Industries ici afin de visionner l’épisode.
Un vieil article paru le 28 septembre 2012 qui rappellera de bons souvenirs aux geeks amateurs des films et jeux de Chris Roberts. (NdT)
Voici un autre aperçu du chemin parcouru depuis les ébauches jusqu’au résultat final du film Wing Commander. Il s’agît de la cantine du Tiger’s Claw’s, incontournable dans le jeu puis que vous y interagissez avec vos collègues entre les différentes missions.
Dans le film, c’est l’endroit où Blair et Maniac rencontrent pour la première fois le reste de l’équipage, puis plus tard le décors de l’un des moments clé du film lorsque le transporteur tente de naviguer au sein d’un point de saut à proximité d’un pulsar et que la scène est filmée au ralenti.
Un vieil article paru le 05 octobre 2012 qui rappellera de bons souvenirs aux geeks amateurs des films et jeux de Chris Roberts. (NdT)
Le projet de Chris Roberts qui suivit Times of the Lore fut Bad Blood, un jeu développé en 1989 juste avant Wing Commander. Bad Blood est une sorte de proto-Fallout offrant un cadre très similaire de monde post-apocalyptique et s’appuie sur un même genre d’humour. La plus grande différence entre Bad Blood et les autres jeux de son genre, c’est que vous incarnez un personnage par défaut… l’un des mutants de ce monde abandonné !
Vous pouvez noter d’après la capture d’écran que Bad Blood présente la volonté de faire une expérience de jeu aussi viscérale que possible en prélude à Wing Commander. Au lieu d’avoir un compteur de santé classique, une bouteille d’eau affiche la quantité d’eau restante au joueur avant qu’il ne meurt de déshydratation. Le gameplay est similaire à Times of Lore, mais avec un style de jeu clairement orienté vers l’action.
Bad Blood s’est relativement bien vendu, mais n’a pas été très bien accueilli par les joueurs de RPG, déçus de ne pas avoir un jeu de rôle de magie et de chevaliers tel que ceux pour lesquels le studio Origin était connu… et les fans de jeux d’action ne pensaient pas à aller chercher du côté de ce jeu. Si seulement avaient-ils su à l’époque que le prochain titre de Chris changerait à jamais le visage de la société !
Un vieil article paru le 24 septembre 2012 qui rappellera de bons souvenirs aux geeks amateurs des films et jeux de Chris Roberts. (NdT)
Avant Freelancer, avant Wing Commander et encore avant Times of Lore il y a eu… King Kong ! Chris Roberts l’a vendu, son premier jeu, alors qu’il n’avait que trente ans ! King Kong était connu comme un “programme à taper”. En d’autres termes, le code en langage BASIC pour le jeu était initialement imprimé dans un magazine pour que les joueurs puisse le retranscrire et le lancer eux-même.
Chris a vendu le jeu par le biais du magazine BBC Micro User, qui imprima le code en Avril 1983 avec en couverture un homme en tenue de gorille avec une poupée Barbie ! Le gameplay repose sur le sauvetage de femmes en haut d’un gratte-ciel avec un hélicoptère, comme dans Defender, puis d’abattre le singe géant une fois les victimes en sécurité.
King Kong peut sembler simpliste par rapport aux jeux complexes d’aujourd’hui… mais c’est aussi la preuve de l’investissement de Chris désirant combiner jeux et les films ! Merci à Pix’s Origin Adventures de nous faire re-découvrir ce jeu. Vous pouvez en lire plus et même vous télécharger une copie du jeu ici.
Un vieil article paru le 3 octobre 2012 qui rappellera de bons souvenirs aux geeks amateurs des films et jeux de Chris Roberts. (NdT)
Pour la dernière histoire de notre série sur les croquis du film Wing Commander, prenez le temps de profiter de cette première ébauche du vaisseau “Comcon” Kilrathi. Dès le début du film, Blair et Angel découvrent ce Concom en pleine mission de patrouille… et vers la fin du film, l’équipage du Tiger Claw embarquera à son bord afin de se réapprovisioner en carburant.
Dans le film comme sur la photo originale, le Concom sert de cadre à l’ultime bras de fer du film : un combat à l’arme blanche entre Blair, Gerald et un traître pèlerin, qui s’avèrera être l’amiral Wilson de la station Pegasus. Une avant-première avec un public test mettra en avant la situation confuse et le rôle ambigu de Wilson sera finalement retiré du film.
Les incollables geeks de Wing Commander savent que le vaisseau en question est en réalité un vaisseau Comcon de classe Thrakhra, un navire de communication particulièrement rare. La nouvelle écrite Wing Commander de Peter Telep décrit le vaisseau comme étant semblable à un Dorkir… un vaisseau de forme longitudinale. L’auteur n’aurait sûrement jamais été en mesure d’imaginer le design réel du navire lors de l’écriture du livre !
Le trafic est un mode de vie dans le port commercial animé de New Junction sur Lo dans le système Corel. Situé près du protectorat Banu, la ville voit passer quotidiennement des milliers de vaisseaux à l’intérieur et aux alentours de son atmosphère. Comme le commerce a été pris en compte dans l’agencement de la ville, des voies de circulation délimitant les entrées et les sorties du port ont été mises en place depuis le début de la création de la ville. Historiquement, aucun incident grave ne s’est jamais produit.
Désormais, ils ne peuvent plus affirmer une telle chose.
Peu avant le lever du soleil, les résidents de New Junction ont été arrachés de leur sommeil par une pluie de débris enflammés lorsque deux vaisseaux de transport sont entrés en collision et se sont écrasés en contrebas. Bien que les autorités locales et les représentants de l’Empire prennent toujours garde à positionner les couloirs de circulation à l’écart des zones résidentielles pour minimiser les dégâts potentiels dans le cas d’une tragédie de ce genre, cet incident a mis en lumière une possible faille dans leur planification.
Ghara Halloway, la préposée du TDD local, a assisté à toute la scène.
« Je pensais qu’ils s’étaient vu, vous comprenez ? » a-t-elle relaté, toujours tremblante. « Et il y a eu cet instant où je me suis rendu compte que, pour je ne sais quelle raison, ils ne s’étaient pas vus. J’ai senti cette boule dans mon estomac. Je ne savais pas quoi faire. »
Tandis que le Vesta, un vaisseau Retaliator modifié pour le transport de cargaison, décollait depuis la surface, le pilote, que le registre d’atterrissage a permis d’identifier comme étant un certain Errol Daniels de Croshaw, s’est rendu compte qu’il était sur le point d’entrer en collision avec un Freelancer en approche, qui n’a toujours pas pu être identifié au moment où nous publions ces lignes. Il a exécuté des manœuvres d’évitement. Malheureusement le vaisseau indépendant a fait de même. Leurs tentatives d’évitement les ont emmenés hors du couloir aérien où ils sont entrés en collision. Leur trajectoire les a envoyés vers le Block F juste au sud du centre-ville de New Junction, où ils se sont écrasés dans les tours d’habitation Walden.
Les premiers secours sont arrivés rapidement sur le lieu du crash, et ont trouvé les bâtiments envahis par les flammes. Les résidents avaient déjà commencé à évacuer les tours, beaucoup étaient couverts de suie et de cendre. Lorsque les pompiers ont pénétré dans le bâtiment, ils ont été rejoints par des habitants du quartier qui ont surgi des résidences voisines pour aider l’évacuation.
« Ce qui s’est produit aujourd’hui était terrible. Une des pires journées que j’ai vécues depuis trente ans, » annonça Dan Corvi, un lieutenant du NJFD (DPNJ, Département des pompiers de New Junction). « Mais ce fut incroyable de voir cette communauté se rassembler pour éviter la perte d’autres vies humaines. »
L’incendie a duré plus de trois heures, endommageant sévèrement le système de soutien central de Walden. Les efforts des secours aux étages supérieurs ont dû être interrompus jusqu’à ce que le feu soit maitrisé. Des scanners ont été déployés pour pouvoir poursuivre la recherche des survivants.
Les représentants du Conseil des Gouverneurs sont venus superviser les opérations de secours.
« Naturellement nous sommes déterminés à offrir toute l’aide et le soutien que nous pouvons apporter, » a déclaré Dexter Fowley du Conseil des Gouverneurs de New Junction, lors d’une conférence de presse improvisée. « Bresson, et même Tanis nous ont déjà prévenus qu’ils allaient nous envoyer toute l’aide possible afin d’aider les familles, et j’aimerais les remercier pour ça. »
Fowley en est ensuite venu au point le plus important.
« Il semblerait que les événements tragiques d’aujourd’hui montrent une faille dans les protocoles qui doit être résolue. En termes simples, il nous faut un système pour tous les pilotes, commerciaux ou non, pour gérer les protocoles de circulation à l’intérieur des couloirs aériens ainsi que des techniques d’évitement standardisées. Dés que ma présence ici ne sera plus nécessaire, je prévois de rassembler les autres gouverneurs et d’envoyer un message au sénat pour demander les moyens nécessaires pour concevoir un tel système. Nous avons été satisfaits de notre système dans le passé, cependant ce qui est arrivé aujourd’hui nous prouve que nous devons en faire d’avantage, afin que ces vies n’aient pas été perdues en vain. »
Découvert pour la première fois en 2532, Odin ( nommé « Odom » dans les premiers journaux de bord) fut l’un des premiers systèmes stellaires atteints au cours de l’expansion initiale extra-solaire de l’humanité. Il y a à peine cinquante mille ans, un battement de cil à l’échelle géologique, le système accueillait de nombreux écosystèmes florissants semblables à ceux de la Terre ou de Terra. Tout cela changea brutalement lorsque l’étoile d’Odin s’effondra pour former une naine blanche. Ce bouleversement soudain engloutit la première planète du système et calcina très vite les biosphères des autres, tuant toute vie indigène. Lorsque les premiers explorateurs venus de la Terre parvinrent jusqu’à Odin, ils trouvèrent un système composé de mondes rocheux gelés à l’aspect inquiétant.
On pensa tout d’abord que le système pourrait devenir un centre minier, mais son manque de points de saut ainsi que certaines caractéristiques stellaires très particulières ne laissèrent aucun espoir de réaliser ce type d’opération. C’est pourquoi Odin, n’occupant aucune position stratégique et étant dépourvu du moindre monde terraformable, fut relégué au plus triste sort qui puisse échoir à un système stellaire : celui de zone de test d’armement. Dès le début du 27ème siècle, les escarpements acérés des mondes centraux d’Odin furent très vite aplatis par des armes expérimentales destinées à être vendues aux forces militaires de l’UEE.
Odin est récemment devenu une cause célèbre au sein de la communauté scientifique, lorsqu’un groupe de géologues de renom a interpellé publiquement le gouvernement pour lui reprocher d’avoir permis à des entreprises telles que Behring d’éradiquer un patrimoine de fossiles par ailleurs bien préservé, et qui pourrait en dire long sur la vie telle qu’elle s’était développée dans le système Odin. Un mouvement intitulé « SAUVEZ LES FOSSILES » parvint bien à se faire pour un temps une place dans la culture populaire, mais l’intérêt s’essouffla rapidement.
La Ceinture (Odin I)
Le champ d’astéroïdes Odin I, appelé couramment la Ceinture, pourrait bien être considéré comme la zone la plus intéressante du système. Formée par les restes de ce qui fut la première planète du système avant la catastrophe, la Ceinture ressemble à un champ de minerai qui s’étendrait à perte de vue. On y trouve un large éventail de minerai allant de la simple caillasse jusqu’à de précieux métaux lourds, et des dépôts inestimables de pierres précieuses sont découverts plus souvent qu’on pourrait l’imaginer. L’UEE interdit officiellement toute activité minière dans le système Odin, mais n’y a stationné aucune troupe et ferme généralement les yeux sur cette pratique. Cependant, les entreprises minières cherchant à contourner la loi pour profiter des richesses de cette ancienne planète s’exposent à de plus grands dangers. Le premier d’entre eux est un phénomène électromagnétique appelé arch-charge.
Les arch-charges sont la conséquence de la rencontre du noyau planétaire exposé et riche en fer avec des restes stellaires à la dérive, et s’avèrent mortelles pour tout vaisseau ayant la malchance de tomber sous leur emprise. Il y en a tant qui se sont fait détruire au fil du temps que les opérations minières légitimes ont complètement renoncé à demander au Sénat des licences d’exploitation pour le système Odin. Des vaisseaux indépendants protégés par de puissants boucliers pourraient mieux s’en sortir, mais le meilleur conseil que l’on puisse donner est de rester à l’écart.
D’autant plus que si les arc-charges vous ratent, les pirates pourraient bien vous avoir, eux. On pense qu’il existe au cœur de la Ceinture un repaire de pirates bien armés, apparemment immunisés contre le phénomène électromagnétique. Ce groupe, dont on ignore tout de l’organisation et des allégeances, a été impliqué dans des dizaines d’attaques éclair contre des opérations légales à un ou deux sauts de distance d’Odin. Personne n’a la moindre idée de l’impact total de leurs activités sur les vendeurs d’armes au marché noir et les opérations minières qui essaient de gagner quelques crédits rapidement dans la Ceinture.
Odin II (et Vili)
Odin II se situe clairement dans la bande verte de l’étoile, bien que la planète ne dispose que de la très mince atmosphère qu’elle a pu accumuler au cours de 50 000 dernières années. Odin II est officiellement une base d’opérations des forces armées de l’UEE, et accueille de temps en temps des expéditions provisoires de « froid glacial ». Des scientifiques et des troupes militaires en plein entraînement pour des opérations de combat transpolaires y font étape, mais personne ne vit ici de façon permanente. La plus grande partie de la surface planétaire est interdite d’accès afin de pouvoir y procéder à des tests d’armement, et des laboratoires robotisés appartenant à A&R, Behring et d’autres parsèment les bandes équatoriales.
Cependant, Vili, la lune de la planète, est le centre d’essai d’armes le plus célèbre du système (si ce n’est de toute la galaxie). Une grande partie de sa surface appartient exclusivement à la ténébreuse division de Technologie Appliquée de Behring, et une part significative des munitions employées par l’humanité au cours des dernières décennies a été utilisée contre les formations rocheuses dépourvues de toute vie et des mannequins placés à la surface de Vili. Les laboratoires de recherche de TAB sont profondément enfouis sous la surface de la lune, bien à l’abri de tous les regards indiscrets. Les rares endroits de la lune peuplés par des humains sont entourés de zones de test et de toutes sortes d’usines pour les ravitailler (raffineries d’antimatière, unités de compression chimiques, etc).
Le seul endroit de la lune, et en fait de tout le système stellaire, à être ouvert aux voyageurs est Raleigh Station, une base spatiale enneigée bâtie par l’UEE pour permettre au gouvernement (et aux sous-traitants civils) d’amener du ravitaillement et d’expédier les projets d’armement après leurs phases de test. Raleigh Station n’est pas l’endroit le plus accueillant de la galaxie, mais il y a ce qu’il faut pour occuper les voyageurs. Les denrées alimentaires en gros et les fournitures médicales sont toujours recherchées par ici, et des pilotes ont déclaré avoir occasionnellement déniché de bonnes affaires parmi les surplus d’équipement militaire.
Odin III et IV
La deuxième planète du système Odin, Odin III (les autochtones sont connus pour insister sur le fait que la Ceinture doit toujours être considérée comme la première planète, au point d’avoir influencé les cartes stellaires officielles) est lui aussi un monde mort et insignifiant. Bien que les essais d’armes ont été officiellement interdits ici, la surface de la planète a malgré tout été carbonisée et irradiée jusqu’à en devenir méconnaissable. Une célèbre photographie de la planète prise depuis son orbite et utilisée pendant la campagne écologique abandonnée montre un impressionnant impact d’explosion en forme de delta en train de découper la surface. Des sources militaires démentent formellement l’existence d’une arme capable d’infliger de tels dégâts à la croûte d’une planète.
Odin IV est une géante gazeuse qui accueille en orbite géosynchrone une station de traitement d’hydrogène et de dépôt de carburant financée par l’UEE. Bien qu’il y ait un équipage à bord de la station, les installations destinées à interagir avec les étrangers sont entièrement automatisées : un ravitailleur largue de l’hydrogène non raffiné et embarque du carburant sans jamais rencontrer le moindre occupant. Les équipages des vaisseaux spatiaux sont activement dissuadés de faire escale sur Odin IV, bien que la station dispose d’un petit nombre de cubes d’habitation à louer en piteux état. Les prix du carburant sont notoirement bas pour cette partie de la galaxie, et cela vaut même parfois le coup de faire un saut jusqu’à Odin juste pour ravitailler un grand vaisseau.
Et c’est parti pour le résumé de l’épisode 57 de Wingman’s Hangar, l’émission présenté par Eric “Wingman” Peterson, le seul, l’unique ! Cet épisode a été diffusé le 19 Février 2014.
La semaine de CIG
À Los Angeles, tout le monde s’attèle à ce que le module de dogfight soit parfait. L’équipe est aux petits soins, et Eric Peterson nous donne même les quelques noms des nouveaux qui ont rejoint les développeurs californiens. Ceux-ci arrivent directement depuis les autres studios affairés au développement de SC :
Foundry 42
Andrew Ley – Senior Concept artists
Michael Barkley – Senior Designer
Will Greenough – Senior Designer
Peter Wilkes – 3D Artist
Jake Gainey – 3D Artist
David “Bone” Gill – Programmeur
CIG Texas
Peter Mackay – Designer
Forrest Stephan – Senior Environment artist
Chris Smith – Lead Vehicle artist
Patrick THomas – Vehicle artist
Zane Bien – Concepteur de l’interface utilisateur
Tout se beau monde a mis la main à la pâte afin de préparer le module pour la PAX East ! Et bien sûr, ils en profitent au passage pour s’étriper joyeusement dans l’espace à coup de mitrailleuses lourdes de Hornet. Sinon, c’est pas marrant.
Cette semaine également : Rob Irving, Michael Morlan et Eric Peterson ont tenu une petite conférence sur le développement de Star Citizen lors d’une réunion à Austin habilement nommée “Austin Gamers Unite”. Comme le dit Wingman, il est agréable d’admirer toutes les choses incroyables qui ont été réalisées jusque là, une fois qu’ils sortent enfin leur nez du travail en cours qui les submerge à certains moments.
Ils ont réussi à rallier à leur cause de nouveaux Citoyens, et même certains anciens sceptiques ont cédé aux charmes de ce projet fou.
Eric parle ensuite des entretiens d’embauches passés cette semaine : de nombreux candidats ont été reçus, et CIG a encore besoin de personnes motivées et qualifiées pour faire de ce rêve une réalité ! Ce sont d’ailleurs onze nouvelles recrues qui ont rejoint les équipes d’Austin (Caroline Baker), de Los Angeles (Matthew Intrieri, Casey Robinson et William Lewis) et de Manchester (Matt Johns, Luke Pressley, Ed Marland, Robbie Elms, Michael Barclay, Michelle Park et Hassan Kamran). Plus on est de fous, plus on rit dans l’espace.
Que serait l’actualité hebdomadaire de CIG sans une démonstration des derniers cadeaux reçus ? Cette fois, des fans Finlandais ont envoyé à l’équipe texane des t-shirts de pirate, des sous-vêtements “I love Finland” et des bonbons. Et nous, on compte pour du beurre ? Moi j’en veux un de slip I Lo… euh. Non rien.
Le rapport de cette semaine nous provient de Foundry 42, le studio Britannique de CIG qui travaille sur Squadron 42, la campagne solo de Star Citizen. C’est donc Erin Roberts qui nous accueille dans son studio pour nous dévoiler les concepts réalisés par Phil Miller pour une base minière spatiale dans SQ42. Aucun doute, l’équipe Britannique nous réserve une aventure unique, et ce n’est sûrement pas ces incroyables vaisseaux miniers qui déchirent leurs races et qui trouent le slip ma foi fort séduisants qui diront le contraire ! Vivement vivement ! Comme nous l’explique Erin : “Les mécanismes de toutes les machines sur cette plateforme doivent pouvoir fonctionner”. Autant dire que le travail qui a été effectué ici est titanesque, puisque la plateforme minière dévoilée fait plusieurs kilomètres de long, et qu’elle regorge de panneaux de contrôles, de tourelles et autres rampes de chargement de missiles.
F-F-Forum Feedback !
Et c’est une fois de plus Rob Irving qui va répondre aux questions des fans.
Q : Sera-t-il possible de laisser un PNJ piloter notre vaisseau pendant que l’on prend les commandes d’une tourelle ?
R : Bien sûr.
Q : Que pouvez-vous dire au sujet des modules d’éjection ? Quels vaisseaux en bénéficieront ? Comment fonctionneront-ils ?
R : On les retrouve sur les vaisseaux les plus gros, puisque ce sont de simples systèmes d’éjection qu’on utilise en général sur des vaisseaux plus petits, puisque le cockpit est à proximité du pilote. Mais sur des plus gros vaisseaux (par exemple sur le Constellation ou l’Idris), les modules d’éjection permettront même aux personnes qui se trouvent sur les couchettes ou à d’autres endroits de s’échapper en cas de problème grave.
Q : Y aura-t-il un système d’échelons pour les aspirants pilotes combiné avec le lancement du module de dogfight ?
R : Il y aura un système semblable afin que la répartition des joueurs dans des matchs puisse être équitable.
Q : Savez-vous si des Gladiators pourront tenir dans un Idris ?
R : D’après Rob Irving, oui. C’est même sans doute vrai, puisque l’Idris a entre-temps été surclassée, passant du rang de Corvette à celui de Frégate (ses dimensions augmentant au passage).
Q : Au sujet du Scythe : comment le déséquilibre du vaisseau, induit par son asymétrie, est-il compensé pour manœuvrer confortablement ?
R : Le système de physique du jeu permet de gérer ce problème, et c’est avec les thrusters du vaisseaux que la manœuvrabilité est rendue possible.
Q : Y aura-t-il un part de liberté de mouvement dans la campagne SQ42 ?
R : Dans la campagne solo, vous serez militaire, donc vous aurez des tâches à respecter impérativement. On ne prend pas de permission subitement pour partir à l’autre bout de la galaxie. 😉 Des missions secondaires, pourquoi pas, mais sûrement pas la liberté de mouvement que l’Univers Persistent vous offrira.
Q : Sachant que le Hornet est le vaisseau de combat principal de l’UEE, pourra-t-on choisir d’autres vaisseaux de ce type lors de missions de la campagne solo, à l’instar des vieux Wing Commanders ?
R : Oui -> Gladiator, Retaliator et plus encore.
Q : Où est la seconde tourelle du Cutlass ?
R : DTC. Dans Ton Cutlass. Blague à part : les tourelles du Cutlass étaient mal définies à la base, elles étaient surtout là pour le concept. En définitive, la seconde tourelle est devenue le rayon tracteur à l’arrière du vaisseau. En contrepartie, la tourelle principale est passée au rang de classe 5. N’oubliez pas que le jeu est en cours de développement, aucune information n’est définitive.
Q : Sera-t-il possible de baser son hangar astéroïde dans un système dénué de lois une fois le jeu sorti ?
R : Oui, et d’ailleurs l’équipe a déjà défini quels systèmes anarchiques accueilleront les hangars astéroïdes.
Q : Pourrons-nous aisément faire la distinction entre un vaisseau et sa version militaire, ou devrons-nous déterminer ça par nous-mêmes d’après son aspect et ses accessoires ?
R : Cette identification sera facile grâce à l’aspect des vaisseaux, vous ne pourrez pas vous tromper entre un vaisseau militaire et sa version civile.
S’en suit une petite question anecdotique sur le poids de Wingman, que nous passerons. Ça vous énerve, hein ?
Le meilleur post de la semaine / MVP
avec Ben Lesnick
Notre hôte habituel nous explique qu’il vient d’arriver à Los Angeles avec sa femme, d’où son absence durant les précédentes émissions. Il remercie ainsi les fans pour leurs messages ainsi que Michael Morlan pour avoir présenté plusieurs MVP, et se réjouit de pouvoir travailler avec Chris Roberts sur le module de dogfight.
Le MVP de cette semaine est attribué à Liudeius et d’autres membres de RSI pour avoir entrepris le sous-titrage de toutes les productions vidéos de CIG (Wingman’s Hangar, 10 for the Chairman, The Next Great Starship, les publicités, etc). C’est une aide précieuse pour les fans du monde entier qui cherchent à comprendre plus facilement tout ce qui est dit dans ces vidéos, et cela peut permettre à des équipes de traductions telles que la notre (bon, pas la notre, parce qu’on est des méga roxors et qu’on travaille sans les sous-titres, toi-même tu sais ma gueule) d’offrir ce contenu à leurs communautés respectives. Merci à eux, donc !
Fan Focus
Cette semaine, les projecteurs sont tournés vers Torvic qui a décidé de réaliser, d’après des modèles conçus par Captain_Adenthor, les vaisseaux de Star Citizen… en LEGO ! Je sais pas vous, mais moi, je ne dirais pas non à un LEGO Star Citizen en jeu vidéo. *bave*
Interview
de Phil Miller
Eric Peterson a interviewé l’un de ses vieux amis et compagnons de route dans le jeu vidéo : Phil Miller, le concepteur en chef (lead designer) du studio Foundry 42. Une fois n’est pas coutume, c’est par visioconférence que les deux hommes se sont entretenus.
Comme dit plus haut dans cet article, Phil Miller est l’homme derrière les concepts de la base minière aperçue dans cet épisode de Wingman’s Hangar. La récolte de minerais et l’excavation est une composante du jeu que les joueurs sont impatients de découvrir, c’est pourquoi l’équipe de Foundry 42 a tenu à nous montrer le travail effectué afin d’inclure cette facette du jeu dans la campagne solo. Un bel avant-goût de ce qui nous attend dans l’Univers Persistent !
Phil nous explique donc comment s’articule la réalisation de Squadron 42 : bien que certains soient affectés au développement du module de dogfight à Los Angeles, l’équipe continue de travailler sur des séries de 10 missions qui seront proposées périodiquement aux donateurs en avant-première, comme des épisodes en continuité. Le scénario est travaillé de sorte que chaque épisode se termine sur un cliffhanger (une chute innatendue qui tiendra le joueur en haleine jusqu’au prochain épisode).
Petit instant nostalgie : Eric et Phil se remémorent leur rencontre en 1987. Et la moustache de Wingman. Une moustache. *choqué*
Ils ont aussi évoqué les retours des fans qui permettent au studio de créer le jeu dont tout le monde rêve. C’est l’un des objectifs de la sortie dans un premier temps de modules. C’est d’ailleurs ce qui motive l’équipe de Foundry 42 à sortir en avant-premières des aventures épisodes du solo pour les donateurs ! Phil Miller apprécie la participation des fans, espéront qu’ils apprécieront son travail !
L’interview se termine sur Eric et Phil qui se promettent de se retrouver à la Gamescon, de se faire des bisous, tout ça. La routine.
La semaine prochaine, les premières sessions de capture de mouvement auront lieu, Eric nous en dira plus très prochainement ! D’ailleurs, petite précision de notre Wingman : contrairement à ce qu’il se faisait par le passé, il ne s’agira pas de capturer uniquement les mouvements des acteurs. Leurs expressions faciales et leurs voix seront enregistrées en même temps, afin d’obtenir une performance complète qui puisse être directement intégrée dans Star Citizen. Classe !
Le prochain épisode de The Next Great Starship (ou “Le Prochain Super Vaisseau Spatial” en Français) nous présentera les différentes équipes en compétition pour la suite des sélections, dont l’équipe sauvée par les fans. Et comme les concepts des vaisseaux ne seront pas prêts pour ce quatrième épisode, peut-être qu’une surprise nous attendra pour prendre notre mal en patience … 🙂
“Et s’il n’y avait pas de questions abstraites ?” – Mark Skelton
42 millions de dollars de financement participatif ! Je ne saurais imaginer de victoire plus symbolique que celle-ci, après avoir atteint ce montant si particulier. La grande réponse “la vie, l’univers et tout le reste” est désormais le montant de donation nous permettant de construire un nouvel univers !
J’aimerais remercier tous ceux qui sont venus nous voir à la PAX East et qui ont découvert l’Arena Commander. Nous partagerons d’autres démonstrations plus tard dans la semaine afin que tout le monde puisse voir ce que nous n’étions pas en mesure de montrer lors de la soirée ! Mis à part les soucis techniques, c’était extrêment réjouissant de pouvoir profiter des réactions de tout le monde : tous ceux ayant posé leurs mains la main sur le jeu ont adoré, et plus important encore, ces personnes ont immédiatement compris où nous nous dirigions avec Star Citizen. Je suis impatient de partager les choses qui ont rendu ce projet possible avec le reste de la communauté.
Les 42 millions de dollars, débloquent les objectifs suivants :
L’équipe a déjà réalisé quelques conceptions préliminaires des serviettes, présentes dans cet article. Utilisez les serviettes de l’Observiste avec fierté, elles ne sont disponibles qu’aux donateurs ayant soutenu la cause avant cet objectif ! (Tout comme Arena Commander, nous essayons de créer une fiction autour de ces serviettes : c’est un cadeau motivant pour les personnages s’inscrivant à L’Observiste en premier lieu).
Pour l’objectif des 44 millions de dollars, vous avez voté pour la salle supplémentaire dans votre hangar. Le système de salles pour le hangar est actuellement développé à Behaviour et le hangar astéroïde sera le premier à bénéficier de ce système. Les donateurs qui ont aidé au financement du jeu avant cet objectif recevront l’ajout suivant dans leurs hangars :
Mise à jour du Galactapedia : le financement supplémentaire des 42 millions de dollars servira à étendre le Galactapedia sur le site RSI. Attendez-vous à voir des vaisseaux holographiques, ds articles et autres interfaces de navigation en 3D ! Imaginez pouvoir admirer ici, sur le site de RSI, vos vaisseaux ou planifier la personnalisation de ceux-ci.
La montre mobiGlas d’explorateur : chaque joueur qui aura aidé au financement participatif avant d’atteindre les 42 millions de dollars commencera le jeu avec sa propre montre mobiGlas “ExoGlas“ qui est une plateforme permettant d’accéder au Galactapedia à tout moment. J’ai donné à l’équipe en charge du développement du mobiGlas une tâche très difficile : créer une interface réaliste qui permette de garder vos affaires en ordre dans une galaxie en pleine expansion où nous espérons que les joueurs iront vers des directions inconnues. C’est presque comme si nous réalisions notre propre système d’exploitation futuriste. C’est une tâche très différente que de construire des vaisseaux spatiaux. Ce kit mobiGlas exclusif aux donateurs sera pré-chargé avec des informations galactiques supplémentaires alors que les nouveaux joueurs devront normalement découvrir ou échanger pour les avoir, c’est notre façon d’honorer les informations que vous avez recueillies sur l’univers de Star Citizen via le site web RSI et de la communauté au cours de l’année précédente !
Gladius : l’équipe en charge de Squadron 42 va développer un chasseur supplémentaire pour le jeu. Le vaisseau léger Gladius réalisé par Aegis Dynamics. Le Gladius sera le premier chasseur construit entièrement grâce au CryEngine par l’équipe de Manchester ! Voici sa description officielle :
L’Aegis Gladius de l’UEE est le chasseur de patrouille de courte portée par excellence. Un vaisseau monoplace sans cargo, le Gladius est rapide, maniable et capable de détruire des cibles bien plus imposantes. Son principal avantage est sa simplicité : pas cher à produire, facile à réparer et à équiper. Il permet des formations accélérées pour les nouveaux pilotes. Le Gladius est de conception vétuste approchant de sa fin de vie, cependant de fréquentes mises à jour ont permis de le conserver au rang de chasseur le plus maniable de la flotte actuelle.
Serviette : tous les donateurs qui ont aidé au financement participatif avant les 42 millions de dollars recevront une serviette dans leur hangar. N’explorez pas la galaxie sans elle !
L’équipe a déjà réalisé quelques conceptions préliminaires des serviettes, présentes dans cet article. Utilisez les serviettes de l’Observiste avec fierté, elles ne sont disponibles qu’aux donateurs ayant soutenu la cause avant cet objectif ! (Tout comme Arena Commander, nous essayons de créer une fiction autour de ces serviettes : c’est un cadeau motivant pour les personnages s’inscrivant à L’Observiste en premier lieu).
Pour l’objectif des 44 millions de dollars, vous avez voté pour la salle supplémentaire dans votre hangar. Le système de salles pour le hangar est actuellement développé à Behaviour et le hangar astéroïde sera le premier à bénéficier de ce système. Les donateurs qui ont aidé au financement du jeu avant cet objectif recevront l’ajout suivant dans leurs hangars :
Cartographie stellaire – Marchez parmi les lointains horizons que vous avez explorés grâce à une pièce spéciale : « la salle des cartes » qui représente l’univers connu sous la forme d’un hologramme en 3D. Votre salle des cartes sera initialement composée d’un guide basique de l’United Empire of Earth (en Français : l’Empire Uni de la Terre) et s’étendra par la suite pour devenir quelque chose d’unique, à mesure que vous explorerez des mondes non répertoriés et découvrirez de nouveaux secrets. Construisez la carte de l’univers la plus riche possible et montrez-la à vos invités, ou gardez les points de saut secrets et les avants-postes commerciaux cachés pour que personne d’autre ne puisse les découvrir. Interagissez directement avec L’Observiste pour connaître quelle est la demande en minerai sur MacArthur ou alors qui cuisine les meilleures pâtes sur Terra. Sans oublier la possibilité de laisser vos propres notes de vos voyages et rencontres, c’est plus qu’une carte: c’est votre journal numérique.
L’équipe de développement est de retour au travail aujourd’hui afin de sortir rapidement le module Dogfight. Comme toujours, merci : rien de tout ce que vous avez vu la semaine dernière n’aurait été possible sans votre soutien des donateur. Atteindre 42 millions de dollars signifie plus de ressources pour Star Citizen, et n’oubliez pas de voter pour la récompense des 45 millions de dollars.
A. Un nouveau canon
B. Une mise à jour du logiciel de scan
C. Une nouvelle combinaison avec un rôle particulier
D. Un kit de tuning pour moteur
E. Une peinture pour vaisseau
F. Une plante de l’espace
G. Un objet mystérieux
Les équipes de TNGS travaillent dur pour créer leurs vaisseaux pour la prochaine phase du concours. Nous allons prendre quelques instants pour consulter les avancées des équipes alors qu’elles se préparent pour l’émission de la semaine prochaine !
Le concours de modélisation The Next Great Starship offre une chance aux fans de créer un vaisseau qui pourra être utilisé dans le prochain jeu vidéo de simulation spatiale épique de Chris Roberts : Star Citizen™. Parmi les sponsors pour ce concours se trouvent Alienware, AMD, Autodesk, Crytek, Cologne Game Lab, Maingear, Wacom et YouTube. The Next Great Starship est diffusé tous les Vendredi à 18h, heure de la côté Est des États-Unis, ou 15h, heure du Pacifique (note : cela correspond à 23h, heure Française). Les fans sont invités à se rendre sur la chaîne YouTube de Robert Space Industries ici afin de visionner l’épisode.
