Réorganisation de l’Idris

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Salutations Citoyens,

La Corvette Idris est morte ; Longue vie à la Frégate Idris !

L’équipe basée à Foundry 42 crée actuellement les premières missions de Squadron 42, le jeu solo qui vous propulsera dans l’univers de Star Citizen. Le scénario du jeu exige du joueur de débuter à bord d’un petit navire capital appartenant à l’UEE. Nous avons assigné à cette équipe l’Idris, la petite corvette qui ne paie pas de mine mais qui a la hargne préalablement conçue par Ryan Church.

 

Travailler à partir de l’Idris pour cette partie du jeu semblait être la chose naturelle à faire…. jusqu’à ce que l’équipe chargée d’aménager l’intérieur ne découvre que le concept original n’était pas adapté au Hornet. Comme la corvette Idris était censée pouvoir contenir plusieurs Hornets (aussi bien dans Squadron 42 que dans l’univers persistant) ils ont dû agrandir le pont d’envol. D’autres ajouts, jugés nécessaires alors que nous apprenions comment un vaisseau capital fonctionnerait, requéraient de plus grands espaces intérieurs : un emplacement pour effectuer les opérations de réparations, des installations médicales pour la partie FPS, et plus encore. L’Idris devait être plus spacieuse !

 

02Au final, le vaisseau était plus long de 100 mètres et avait un air plus menaçant que la corvette que nous avions initialement imaginée. De ce fait, nous avons pris la décision d’attribuer un nouveau titre au vaisseau. L’ Idris est maintenant une frégate, et toute fiction déjà sortie sera mise à jour dès que possible pour refléter ce changement. Nous n’allons pas retirer les Idris des inventaires de qui que ce soit ; toute personne possédant une corvette Idris avant, possède désormais une frégate Idris. J’espère que les donateurs actuels seront satisfaits : vous bénéficiez dès à présent d’un vaisseau deux fois plus grand que celui pour lequel vous avez fait une donation !

Si vous êtes vraiment désireux de voir un vaisseau de classe corvette dans l’univers de Star Citizen, n’ayez crainte : nos artistes et concepteurs sont en train de travailler sur la création d’une nouvelle corvette qui sera disponible plus tard !

 

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03Appréciez quelques un des derniers dessins conceptuels sur l’Idris inclus dans cet article. C’est l’état du navire tel qu’il est aujourd’hui. Les abonnés auront aussi un long article récapitulatif dans le dernier magasine Jump Point, celui-ci sera disponible plus tard (cliquez ici pour plus d’informations concernant les abonnements.). Veuillez également prêter une attention particulière au vaisseau de recherche et de sauvetage, qui est maintenant inclus avec les Idris…. C’est une des raisons pour lesquelles nous devions la reclasser !

-Chris Roberts.

 

 

 

Traduit de l’Anglais par Aelanna – Source : https://robertsspaceindustries.com/comm-link/transmission/13780-Idris-Revamp

Mise à jour de l’arbalète Shroud of the Avatar

Salutations Citoyens,

Travail en cours : l'arbalète de Star Citizen
Travail en cours : l’arbalète de Star Citizen

 

L’an dernier, nous avions promis que tout citoyen ayant contribué au projet de financement participatif Shroud of the Avatar de Richard Garriott recevrait un fusil arbalète proche de l’univers de SotA utilisable dans le mode FPS de Star Citizen. L’équipe de Shroud of the Avatar avait parallèlement promis qu’un artefact unique provenant de Star Citizen serait disponible pour les premiers donateurs de leur jeu. L’équipe de SotA a récemment dévoilé sa Lance Vanduul, réalisée d’après notre esquisse de guerrier Vanduul.

Et ce n’est pas tout : nous tenons à confirmer que l’arbalète de Star Citizen est toujours en projet, et elle fera son apparition lors du lancement d’un module adéquat. Pour le moment, vous pouvez jeter un premier coup d’œil aux modèles de nos travaux en cours pour cette arme, avec en prime un carreau et une caisse de munition !

N’importe quel donateur intéressé par l’acquisition de l’arbalète dans Star Citizen peut encore y accéder, il suffit simplement de financer Star Citizen ainsi que Shroud of the Avatar (en s’engageant au minimum à financer à partir du pack “Immortal Adventurer” ou aventurier immortel en Français).

Caisse de munitions de l'arbalète
Caisse de munitions de l’arbalète

Dépêchez-vous si vous voulez avoir la lance Vanduul dans SotA; les nouveaux donateurs ont jusqu’au 7 avril pour passer du statut de donateur fraîchement débarqué (“Benefactor” ou bienfaiteur en Français) à celui de donateur vétéran (“Founder” ou fondateur en Français), leur donnant accès à toutes les récompenses des donateurs de longue date (cliquez ici pour plus de détails) !

La lance Vanduul de Shroud of the Avatar
La lance Vanduul de Shroud of the Avatar

 

Veuillez noter que votre arbalète n’apparaîtra pas sur votre compte à l’heure actuelle. Nous nous coordonnerons avec l’équipe de SotA avant la date de sortie prévue pour l’arme.

 

Traduit de l’Anglais par Hotaru, relecture par Aelanna- Source : https://robertsspaceindustries.com/comm-link/transmission/13571-
Shroud-Of-The-Avatar-Crossbow-Update
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De nouveaux écussons !

Salutations Citoyens,

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Nous sortons de nouveaux écussons aujourd’hui… mais nous ne mettons pas à jour le Module de Hangar* ! La boutique est à présent affublée d’une nouvelle collection d’insignes. Pour 18 dollars, les donateurs pourront acheter un ensemble de trois écussons à coudre sur les vêtements à l’image des logos Star Citizen, Squadron 42 et Roberts Space Industries. Ceux-ci sont idéals pour décorer un blouson, un sac ou tout autre accessoire de votre choix afin de montrer votre engouement pour Star Citizen !

Prenez les vôtres ici.

Les abonnés ont d’ailleurs la possibilité d’acheter un ensemble de cinq écussons aux motifs de vaisseaux (voir la photo ci-contre). Représentant le panel de vaisseaux des packs initiaux, ces écussons pour vêtements font honneur à l’Aurora, au 300i, au Hornet, au Freelancer ainsi qu’au Constellation. Pour savoir comment comment vous abonner, cliquez ici.

(Les écussons montrés ici sont des prototypes; le lettrage sur “EARTH” a été corrigé sur la version finale !)

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 *Écusson se dit “patch” en anglais, exactement comme les patchs appliqués à un logiciel pour le mettre à jour. Petite blague du staff de CIG !

 

 

Collection Jump Point

Le volume I des livres Jump Point s’apprête à être imprimé ! Une quantité limitée est encore disponible dans laJp_innards2 boutique de financement… mais elle diminue rapidement ! Pour 80 dollars, vous recevez une magnifique édition imprimée contenant treize numéros du magazine Jump Point réservé aux abonnés, et en couleurs ! Jump Point fait figure de véritable chronique de développement de Star Citizen, allant d’un historique détaillés des travaux réalisés pour chaque vaisseaux, jusqu’à la fiction Star Citizen disponible nulle part ailleurs. Dégotez-vous en un pendant que vous le pouvez encore !

 

 

Traduit de l’Anglais par Hotaru, relecture par Aelanna – Source : https://robertsspaceindustries.com/comm-link/transmission/13776-New-Patches
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La revue du Congrès : 05-02-2942

CONGRÈS DE L’UEE (396.32)
5.2.2942 TTS
Transcription automatique de session
Certifiée et enregistrée – Archiviste Yates (#57573BDF)

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13:37 – La session commence

PRÉSIDENT MARSHALL MADRIGAL (U-système Magnus) : Bonjour tout le monde. La session numéro 32 du 396ème congrès reprend dès à présent. Si vous voulez bien reprendre vos places, le greffier va commencer l’appel.

<longue pause>

On m’informe que nous avons le quorum et que nous pouvons donc délibérer. Nous allons commencer par la présentation d’une nouvelle loi; veuillez vous lever pour prendre la parole.

La présidence donne la parole à l’honorable sénateur Hartwell.

SÉNATEUR PETER B. HARTWELL (C-système Vega) : Merci M. le président. S’il plaît à la Chambre, j’ai envoyé une copie de ma proposition de loi dans le fil de discussion, loi #14467-BL; si vous voulez voir précisément comment j’ai prévu la planification des changements … Excusez-moi, je mets la charrue avant les boeufs.

Quand notre civilisation a commencé à s’étendre dans l’univers, il y avait une saine crainte de l’inconnu. Cette peur grandit quand nous découvrîmes que nous n’étions pas seuls, et encore plus quand nous apprîmes l’existence de choses vraiment effrayantes.

Nous construisîmes donc des systèmes de sentinelles, de stations et de points de contrôles pour réduire cette peur, pour garder un oeil attentif sur les frontières de nos territoires, pour être sûrs que cette peur ne puisse nous envahir. À un moment dans ce processus, nous avons cessé d’avoir peur. Je pense que c’était une erreur.

Une saine crainte peut être un signe de pragmatisme. C’est reconnaître qu’il y a un danger au dehors. Cela entretient le désir de maintenir et améliorer les mesures de sécurité que nous avons installées pour maintenir le danger au large.

La loi #14467, ou Première Ligne comme l’a surnommée mon équipe, ordonne qu’un pourcentage plus élevé du prochain cycle budgétaire soit affecté à une révision complète de nos protocoles de sécurité frontaliers. Il y a deux sections principales dans le projet de loi : “Systèmes actuels” et “Développements futurs”.

La partie “Systèmes actuels” étudie les diverses contre-mesures déjà en place le long des frontières Vanduul, Xi’An et Banu, pour évaluer si et comment chaque système doit être amélioré.

Par exemple, en 2925, les réseaux Chimera TX-4 CommAlert ont été une confirmation de notre capacité à gérer des systèmes capables de détecter les vaisseaux Vanduul de commandement, très mobiles. Ces réseaux de drones sont restés plus ou moins inchangés depuis lors. Les Vanduul, et même des criminels locaux, ont appris comment accéder et démanteler ces systèmes, forçant les militaires à vérifier chaque drone manuellement et de manière répétée pour vérifier s’il était encore capable de lancer une alerte. C’est une telle faille de sécurité qu’on ne peut plus les appeler des contre-mesures sans sourciller.

SÉNATEUR WARDEN VOL (T-système Goss) : Est-ce que cela ne tombe pas sous la juridiction des militaires ?

PRÉSIDENT MARSHALL MADRIGAL (U-système Magnus) : Je vous prie de retenir vos questions pendant l’exposé du projet de loi.

SÉNATEUR PETER B. HARTWELL (C-système Vega) : Merci M. le président. Pour répondre succinctement à la question de l’honorable sénateur, le coût et la maintenance sont dans les charges de l’infrastructure, mais dépendent techniquement d’un poste dans le budget.

Continuons. La section “Développements futurs” du projet de loi exige un accroissement d’allocations financières pour mettre au point de nouvelles technologies de communication et de détection. Peu contrediront le fait suivant : la raison principale permettant aux Vandull de continuer leur descentes dans les colonies de nos territoires consiste en notre incapacité à répondre rapidement à leurs attaques.

Dans d’autres régions de l’UEE, les pirates et les trafiquants mettent nos systèmes en échec, les assurant de continuer la contrebande. Encore une fois, si un système n’attrape que les amateurs ou les gens mal informés, il ne peut être considéré comme une mesure de sécurité.

Nous proposons des investissements dans les départements de recherche et développements d’entreprises spécialisées dans la communication et la détection. Dans une analyse coût-efficacité, nous avons établi qu’il était meilleur marché de confier cela au secteur privé plutôt que de vouloir créer nos propres structures.

En résumé, de nombreux thèmes sont sujets à des débats sains et vigoureux dans notre gouvernement, mais la sécurité de notre peuple n’en fait pas partie. À ce jour, les systèmes actuels le trahissent, Nous pourrions faire mieux. Nous devons faire mieux.

Si cela vous convient, M. le président, j’aimerais limiter les questions pour laisser l’opportunité au Congrès de lire et de découvrir les implications du projet de loi.

PRÉSIDENT MARSHALL MADRIGAL (U-système Magnus) : Y a-t-il des oppositions à la proposition du sénateur ?

SÉNATEUR WARDEN VOL (T-système Goss) : Je suis désolé, M. le président, j’aimerais poser une seule question. Est-ce qu’une section de ce projet de loi décrit comment vous espérez obtenir l’argent pour appliquer cette loi ? De plus, est-ce que l’honorable sénateur décrit une méthode sur la manière de faire accepter ce projet par le public ? Un public qui, oserais-je ajouter, exprime de plus en plus bruyamment son mécontentement, spécialement pour tout ce qui concerne les tensions économiques actuelles.

SÉNATEUR PETER B. HARTWELL (C-système Vega) : M. le sénateur, cela n’appelle pas une réponse rapide et succinte, malgré ma demande. En résumé, cela implique de restructurer les allocations budgétaires pour un certain nombre d’autres services gouvernementaux; mais je vous prie de garder toutes vos questions, parfaitement justifiées, pour la phase formelle des débats concernant cette loi.

PRÉSIDENT MARSHALL MADRIGAL (U-système Magnus) : Êtes-vous d’accord de repousser votre question à plus tard, sénateur Vol ?

SÉNATEUR WARDEN VOL (T-système Goss) : Je le suis.

PRÉSIDENT MARSHALL MADRIGAL (U-système Magnus) : La proposition de loi #14467 sera enregistrée et une date sera fixée pour un débat en plénière. Si quelqu’un a un autre projet de loi à proposer, qu’il se lève pour être entendu.

<pause>

PRÉSIDENT MARSHALL MADRIGAL (U-système Magnus) : Poursuivons. Nous allons maintenant écouter les rapports des commissions permanentes.

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INTERRUPTION DE LA TRANSCRIPTION
Traduit de https://robertsspaceindustries.com/comm … ngress-Now par Adam Reith

Ce jour dans l’Histoire : L’enfant extraterrestre

Ce jour dans l’Histoire

18 mars 2157 TTS

L’enfant extraterrestre

L’humanité avait atteint l’adolescence et effectué ses premiers pas hésitants hors de notre monde d’origine. La planète Mars avait enfin été terraformée. Le sénateur Stephen Nguyen en avait terminé avec son discours et venait de dévoiler le mémorial.

Les personnes présentes se contentaient de profiter de la fête, tandis que la nuit tombait sur la surface de Mars. Alors que les célébrations se poursuivaient, la sono jouait « What It Was » des Roommates, qui en était aux prémices de son succès fulgurant.

Cette nuit marquait une immense réussite pour l’humanité. Elle était sur le point d’en marquer une deuxième.

Un cri perçant troubla la musique, ce qui attira immédiatement l’attention des sénateurs, dignitaires et scientifiques. Ils en trouvèrent vite la source : Kinah Okon, l’un des ingénieurs responsables de Port Renatus. Originaire du Nigeria sur Terre, elle travaillait sur le projet depuis plusieurs années en compagnie de son mari, Madu. Mais elle était surtout enceinte de sept mois du premier enfant du couple. Le personnel médical de la base avait suivi de près l’évolution du bébé, allant jusqu’à recommander un rapatriement vers la Terre, mais Kinah avait refusé de renoncer à ce projet pour lequel elle s’était passionné.

Les médecins présents sur les lieux escortèrent rapidement Kinah et son mari jusqu’au dispensaire. À 01h38 TTS, Abeni Okon devint le premier être humain à naître sur une autre planète. Cela n’alla pas sans présenter quelques complications, et Abeni dut passer plusieurs semaines sous observation.

« Nous ignorions tant de choses. Les différences entre Mars et la Terre allaient-elles affecter l’enfant ? Nous ne voulions rien laisser au hasard. J’avais le sentiment d’être personnellement lié à cet enfant, donc nous avons peut-être fait preuve d’une plus grande prudence que de coutume » rapporta dans ses mémoires le Dr Michael V. Smith, responsable des installations médicales de la base. « Mais personne ne pouvait contester les implications profondes de ce qui venait de se produire. »

Au bout du compte, Abeni fut autorisée à quitter le poste médical et confiée à ses parents, qui purent enfin ramener leur fille à la maison. Mais il y avait encore une chose qui l’attendait…

La célébrité.

Les médias ne lâchèrent pas Abeni d’une semelle et diffusèrent chaque étape de son existence. Avec le développement de Mars et tous les gens qui voulaient s’échapper d’une Terre désespérément surpeuplée, il s’avéra de plus en plus difficile pour la famille Okon d’esquiver les hordes de curieux et d’adorateurs.

« Ils avaient tous l’impression de la connaître, » relata Kinah Okon dans l’une de ses rares interviews. « Elle était la fille, ou la sœur, ou encore l’ami de tout le monde. Parfois, c’était attendrissant, et d’autres fois… pas tant que ça. Tant de familiarité de la part d’étrangers, ce n’était pas sain. »

Ce n’était certainement qu’une question de temps avant que cette attention permanente n’ait des conséquences néfastes. Entre la fin de son adolescence et le début de la vingtaine, Abeni sembla lâcher prise et accepter toute cette adulation et cette attention.

On la vit faire des apparitions dans tous les bars et toutes les fêtes prêts à la payer pour ça. Elle se lança dans des projets commerciaux ridicules et trouva toutes sortes de façons de gaspiller l’argent qui avait toujours été là pour elle. L’attention des médias prit une tournure plus sombre : ils la regardaient comme on regarde un navire luttant pour se maintenir à flot, alors même que le naufrage est inévitable.

Le naufrage finit bel et bien par se produire, mais pas aussi publiquement que les gens l’avaient cru. Une nuit où Abeni quittait une fête inaugurale, elle fut confrontée comme toujours à la foule pressante de ses fans. Au lieu d’une bagarre avinée et de jets de bouteilles, il n’y eut qu’un échange de paroles, puis Abeni s’en alla.

Après cette nuit, elle se tint à l’écart de l’attention du public sans jamais se justifier et commença à travailler pour des programmes d’aide et de sensibilisation locaux. Elles se déplaçait beaucoup, allant dans les endroits qui avaient le plus besoin d’aide, et laissait toujours un peu plus loin derrière elle cette célébrité qui avait failli la consumer.

Abeni fit une dernière apparence publique. En 2232, à l’âge de 75 ans, elle fut l’invitée d’honneur du lancement de l’Artemis. Debout à la tribune, aux côtés du Capitaine Lisa Danvers, du chef de mission Justin Cobb et de plusieurs éminents chefs d’états, Abeni prononça le discours suivant :

« Il y a des moments dont on peut être fier. De toute évidence, je ne mérite pas de faire partie de cette assemblée, à me tenir aux côtés de ces gens comme si c’était là ma place. Je suis ici uniquement en raison de ma naissance. Ce n’est pas grâce à une quelconque action ou entreprise de ma part que j’ai obtenu la renommée et la notoriété, mais seulement parce que j’étais la fille de mes parents. Mais il y a des gens dont le courage et le dévouement permettent à toute l’humanité d’aller de l’avant, et pas seulement grâce à leurs actes. Ils nous obligent à nous regarder dans la glace et à exiger davantage de nous-mêmes. J’ai essayé de mener une vie meilleure, mais je veux entendre parler les véritables héros. »

Elle s’écarta ensuite du micro pour laisser Lisa Danvers s’adresser à la foule. Ce fut sa dernière apparition publique, et ce qui ressemblait le plus à une explication sur les raisons de son changement si soudain, bien des années plus tôt.

Abeni Okon est décédée le 12 septembre 2252 TTS, à l’âge de 95 ans.

Le premier humain extraterrestre eut pour toute sépulture une simple pierre tombale sur le flanc d’une colline de Mars, ce monde qui était devenu, un peu grâce à elle, comme un deuxième foyer pour l’humanité, que cela ait pu lui plaire ou non.

Support de fixations par Flashfire

Guntypes“Vous connecter !” — le slogan de l’entreprise Flashfire ressemble plus à celui d’un portail de rencontres qu’à la devise d’une compagnie dévouée à la remarquable précision de ses instruments de mort. Mais ne vous leurrez point : les outils mis au point par les ingénieurs de Flashfire sont absolument essentiels pour les combats spatiaux modernes. Vous ne connaissez peut être pas le nom de Flashfire, mais si vous volez aujourd’hui sur un vaisseau privé (ou d’entreprise ou militaire !) aujourd’hui, vous utilisez certainement leur technologie révolutionnaire.

Avant 2904, chaque vaisseau privé avait besoin de ses systèmes d’armement particuliers et de ses modules d’extension. Les canons laser construits pour un vaisseau de Roberts Space Industries ne pouvaient pas être montés sur un transport MISC, les missiles faits pour un chasseur Anvil ne pouvaient être chargés sur un bombardier Aegis, et ainsi de suite. Il en résultait des dépenses et des confusions dans tous les camps. Les organisations militaires souffraient des chaînes d’approvisionnements sans cesse grandissantes alors qu’elles tentaient de tester sur le terrain des vaisseaux toujours plus avancés, pendant que le marché civil était hautement balkanisé. Les entrepôts débordaient de pièces spécifiques pour chaque vaisseau et chaque pièce ne pouvait être vendue qu’à de petits secteurs du marché.

Cela voulait aussi dire que les fabricants avaient un contrôle quasi total sur leurs options d’améliorations. MISC et ses fournisseurs pouvaient facturer dix fois la valeur du marché, sachant que les pilotes de transports n’avaient pas d’autres options pour économiser que d’acheter le vaisseau d’un autre fabricant et de recommencer à nouveau. Occasionnellement, des vaisseaux ayant rencontré un succès particulier comme le Nova 2822 ont permis aux designers extérieurs “clonant” des technologies de se faire connaître, mais le résultat était souvent de mauvaise qualité, des points de montages inexistants et des munitions qui n’avaient que leurs prix d’attractifs contrairement à des pièces conçues spécialement par les fabricants.

Flashfire a changé cela. Illustrant le cliché de la réussite de l’entrepreneur parti de rien, l’homme d’affaire Gavin Snarm perçut l’opportunité et créa un produit tellement simple que cela révolutionna le marché des extensions de vaisseaux en l’espace d’un instant : un adaptateur qui permettait de fixer n’importe quelle arme sur n’importe quel vaisseau. Soudainement, le pouvoir se retrouva dans les mains des consommateurs. Les capitaines de vaisseaux et pilotes de transports pouvaient désormais, grâce à la technologie d’extension bon marché de Flashfire avoir accès à un large choix de points d’attache plutôt qu’au simple catalogue proposé par les fabricants. Les fabricants d’armes concurrents apparurent rapidement, ayant pour résultat une course aux armements ainsi que des avancées technologiques laser et balistiques incroyables.

Histoire

Comme son nom l’indique, Flashfire débuta sa carrière en clonant l’armement. La compagnie Flashfire Inc. originelle n’avait rien à voir avec Snarm ou ses innovations : elle n’était que l’une des nombreuses entreprises fabricantes de technologies laser peinant à trouver des parts de marché au sein du secteur extrêmement morcelé de l’industrie des composants de vaisseaux. La ligne d’armement Flashfire Inc. n’avait rien de remarquable, un ensemble de lasers standards rebaptisés avec des noms excitants (“Flashfire Fusion Cannon”, “Flashfire Atom Gun”, et ainsi de suite).

Malgré une nomenclature fantaisiste (tout comme les emballages de leurs canons) le catalogue de Flashfire n’arrivait pas à se frayer un chemin. En plus d’une dette accablante, l’usine devait délocaliser. Levant à lui seul les fonds nécessaires, Snarm racheta l’intégralité de Flashfire, annula tous les développements d’armes et dévoua les deux usines nouvellement acquises à la fabrication du point d’attache. En même pas six mois, ces deux usines devinrent quatre, et aujourd’hui les mondes suffisamment industrialisés ont presque tous au minimum une usine de fabrication de points d’attache. Les fixations Flashfire étaient initialement vendues comme des pièces annexes mais à partir du milieu des années 2930, les principaux fabricants perçurent l’opportunité et commencèrent à inclure leurs standards de fabrication sur leurs armes et sur les vaisseaux.

La technologie

Surnommée “la rondelle” par les ingénieurs, l’innovation de Flashfire est constituée d’une pièce de silicone moulée en forme de disque qui se scelle et se verrouille en deux points. En d’autres termes, les points d’attache sont complètement malléables. La pièce qui ressemble à de l’argile au toucher, s’adapte à la forme de l’arme et se verrouille d’elle même au niveau atomique quand elle reçoit de l’énergie.

Verrouiller physiquement l’arme sur le vaisseau ne représentait que la moitié de l’équation en réalité. La vraie difficulté (et la véritable innovation proposée par Flashfire) vint de la possibilité de transférer une grande variété de données, d’énergie et d’autres matières au travers de la coque jusqu’à l’arme. La solution est un réseau de nano-tubulures générées de façon organique, capable de transférer n’importe quoi, de l’énergie issue d’une batterie embarquée à des commandes de mise à feu issues d’un vaisseau mère. Brevetées de façon intensive par Flashfire, aucune autre compagnie n’a pu égaler la flexibilité ou la durabilité du système FWM.

Les points d’attaches Flashfire sont uniquement limités par leurs tailles. La compagnie fabrique 85 modèles utilisés pour tout, du plus petit laser de minage aux batteries massives des vaisseaux mères de l’UEE. Les pièces Flashfire sont fabriquées pour toutes les classes de points d’attaches. De plus, la maintenance est presque inexistante : les disques sont si solides qu’ils peuvent être considérés comme quasi invulnérables. Leur faible coût induit que leur remplacement est plus souvent préféré à une réparation dans les cas extrêmes ou ils auraient subi des dommages. De toutes manières, le vaisseau aura subi des brèches dans sa coque ou perdu l’arme extérieure bien avant que le point de montage Flashfire ne subisse de dommages.

Le futur

Après quarante ans de service, Flashfire n’a jamais tenté de lancer une nouvelle technologie sur le marché. Des rumeurs persistantes affirment que ce n’est pas faute d’avoir essayé : la compagnie maintient toujours trois laboratoires de recherches et de développements en interne, et investit massivement dans des laboratoires privés.
Elle bénéficie de liens avec les grosses entités militaires ayant des budgets déclassifiés (plusieurs milliards de Crédits affectés pour une base de recherche secrète). L’hypothèse la plus vraisemblable reste que le gouvernement utiliserait la technologie Flashfire. Des designs de vaisseaux Xi’an sous licence sont d’ores et déjà capables d’adapter des points de montage Flashfire, et cette technologie est également très utile lors de l’étude des systèmes d’arrimage Vanduul, très exotiques.

Des rumeurs persistantes dans le monde civil prétendent que le vieillissant Snarm s’apprêterait à dévoiler une seconde grande idée sur le marché, soi-disant une évolution du concept de la rondelle qui couvrirait d’autres types d’extensions pour les vaisseaux ou alors, en laissant libre cours à son imagination, à un système permettant aux pilotes de monter n’importe quoi, n’importe où. Bien qu’un avenir où les capitaines de vaisseaux pourraient monter des propulseurs sur leurs points d’attache d’armes ou des centrales énergétiques à la place des missiles semble peu probable, il est tout à fait possible que Flashfire prépare une seconde technologie capable de révolutionner le marché.

Traduit de l’Anglais par Aelanna – Source : https://robertsspaceindustries.com/comm-link/transmission/13630-Portfolio-Flashfire-Weapon-Mounts

The Next Great Starship – Épisode 8 diffusé le 21/03/14

 

Préparez-vous pour le huitième épisode de The Next Great Starship (« Le Prochain Super Vaisseau Spatial »), le concours de modélisation qui offre une chance aux fans de créer un vaisseau qui pourra être utilisé dans le prochain jeu vidéo de simulation spatiale épique de Chris Roberts : Star Citizen™. Parmi les sponsors pour ce concours se trouvent Alienware, AMD, Autodesk, Crytek, Cologne Game Lab, Maingear, Wacom et YouTube. The Next Great Starship est diffusé tous les Vendredi à 18h, heure de la côté Est des États-Unis, ou 15h, heure du Pacifique (note : cela correspond à 23h, heure Française). Les fans sont invités à se rendre sur la chaîne YouTube de Robert Space Industries ici afin de visionner l’épisode.

 

Traduit de l’Anglais par Hotaru – Source : https://robertsspaceindustries.com/comm-link/transmission/13773-The-Next-Great-Starship-Episode-8
Merci de contacter l’auteur de cet article par MP pour toute remarque ou faute éventuelle.

PAX East : les gagnants du dynamisme des organisations

Salutations Citoyens,

 

Nous sommes heureux d’annoncer les gagnants du concours des organisations Star Citizen ! Six groupes (deux petits, deux moyens et deux grands) auront la chance d’envoyer certains de leurs membres pour un entretien privé avec Chris Roberts avant l’évènement de la PAX East !

Les gagnants font partie des organisations classées comme étant les plus actives depuis le lancement du système des Organisations. Ce dynamisme prend en compte tout un tas de facteurs en plus du nombre de membres. Chacune de ces Organisations est libre d’envoyer trois de ses membres pour la rencontre avec Chris le 10 Avril à 18h (le lieu sera bientôt dévoilé). Les dirigeants de ces Organisations ont été informés et devront nous fournir le nom de leurs délégations.

 

PETITES ORGANISATIONS

QQOP – The Oppression
AEQUITAS – Aequitas Interstellar Risk

MOYENNES ORGANISATIONS

CFT – Confederation of Free Traders
COVE – Cosmic Ventures

GRANDES ORGANISATIONS

LAMP – Loose Association of Mercenaries and Privateers
XPLOR – XPLOR Self Sufficient Deep Space Exploration

Désirez-vous assister à l’évènement Star Citizen à Boston ? Saisissez votre chance pour rencontrer l’équipe derrière le module de dogfight et voir en avant-première ce qui vous attend dans Star Citizen ! Vous pouvez en apprendre plus ici et vous inscrire ; des places gratuites sont encore disponibles !

 

 

Traduit de l’Anglais par Hotaru – Source :https://robertsspaceindustries.com/comm-link/transmission/13641-PAX-East-Organization-Activity-Winners
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Sondage TNGS – Votez pour l’équipe à sauver !

Salutations Citoyens,

Ne passez pas à côté de l’épisode de ce soir de The Next Great Starship (« Le Prochain Super Vaisseau Spatial ») ! Au cours des trois dernières semaines, les juges de ce concours ont éliminé quatre équipes. Mais tout n’est pas perdu : les donateurs de Star Citizen peuvent voter ce week-end pour les sauver. Les deux équipes les plus populaires seront autorisées à rester dans la course ! Les équipes en danger sont Eris Heavy Manufacturing, Tallon Corp, Visioncut et 3Dingo. Vous pouvez revoir les vaisseaux qu’ils ont proposés ici pour ensuite choisir ci-dessous celle que vous préférez. Qui d’après-vous peut s’en sortir ?

Dépêchez-vous, le sondage prend fin Dimanche soir, heure de la côté Est des États-Unis !

 

 

Quelle équipe souhaitez-vous sauver ?

  • Eris Heavy Manufacturing
  • Tallon Corp
  • Visioncut
  • 3Dingo

 

 

Traduit de l’Anglais par Hotaru – Source : https://robertsspaceindustries.com/comm-link/transmission/13638-TNGS-Poll-Vote-For-The-Save
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Mise à jour : Les votes sont clos, rendez-vous Vendredi 21 Mars à 18h, heure de la côté Est des États-Unis (note : cela équivaut à 23h en France métropolitaine) pour découvrir quelles sont les deux équipes qui ont été ramenées dans la course !

The Next Great Starship – Épisode 7 diffusé le 14/03/14

 

Préparez-vous pour le septième épisode de The Next Great Starship (« Le Prochain Super Vaisseau Spatial »), le concours de modélisation qui offre une chance aux fans de créer un vaisseau qui pourra être utilisé dans le prochain jeu vidéo de simulation spatiale épique de Chris Roberts : Star Citizen™. Parmis les sponsors pour ce concours se trouvent Alienware, AMD, Autodesk, Crytek, Cologne Game Lab, Maingear, Wacom et YouTube. The Next Great Starship est diffusé tous les Vendredi à 18h, heure de la côté Est des États-Unis, ou 15h, heure du Pacifique (note : cela correspond à minuit, heure Française). Les fans sont invités à se rendre sur la chaîne YouTube de Robert Space Industries ici afin de visionner l’épisode.

 

Traduit de l’Anglais par Hotaru – Source : https://robertsspaceindustries.com/comm-link/transmission/13637-The-Next-Great-Starship-Episode-7
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