PRÉSENTATION DU HERCULES : PREMIER STARLIFTER TACTIQUE DE CRUSADER.

Présentation du Hercules : premier Starlifter tactique de Crusader.

 

Journal d’une volontaire

Par Ciera Brun

Opération Épée de l’Espoir

Dellin, Charon III, Système Charon

04/05/2948

 

Pendant l’ensemble de ma scolarité, j’ai eu l’impression de passer à côté de quelque chose. J’avais de bonnes notes, des gueules de bois bien comme il faut, et j’ai appris beaucoup de théorie, le genre de truc qu’on vous apprend à l’université. Mais je désirais plus que tout passer à la pratique, la vraie. Sortir et explorer l’univers, pour faire vraiment la différence, v’voyez ? Faire partie de quelque chose de beaucoup plus grand, j’imagine.

Après mes études, et malgré la protestation de mes parents, je n’ai pas tenté de me construire un curriculum vitae en béton pour préférer la voie du volontariat.

Après avoir passé tout un tas de causes en revue, je me suis engagé chez Empire’s Overlooked. Ils avaient l’air de faire du bon boulot là où il y était vraiment nécessaire. Je me suis dis qu’avec eux je pourrais avoir un réel impact.

A vrai dire, je pense que mon souhait s’est réalisé. J’étais là, une nouvelle volontaire toute fraîche, attendant ma première mission avec impatience et il se trouve qu’il s’agissait d’ “Épée de l’Espoir”. On nous a donné le choix de passer, puisque l’opération nous conduirait tout droit au cœur d’un conflit. Mais comment pourrais-je louper ça ? C’était la chance que j’attendais depuis toujours.

Épée de l’espoir est un partenariat entre Empire Overlooked et Crusader Industries, conçu pour fournir de l’aide et du ravitaillement à certains des endroits de Charon III ayant le plus souffert de la guerre civile en cours.

Lorsque je me renseignais sur Spectrum à propos de toute cette histoire, bien au chaud dans mon appartement sur Prime, tout semblait être dans mes cordes. Mais à mesure que nous approchions à quelques heures de Charon, avec une douzaine de collègues volontaires, le boulot bien ennuyeux que mes parent auraient voulu me voir accepter ne me paraissait soudainement pas si mal.

Lors de notre arrivée à Camp Murdoch,

une vieille base navale transformée en chantier naval sur Tangaroa, nous avons été accueilli par un coordinateur d’Empire Overlooked nommé Deacon. Il s’est lancé dans un discours bien formaté, mais pour être honnête, je n’y prêtais pas attention. Je m’intéressais surtout à la myriade de personnel et de véhicules qui tournaient autour de l’aérodrome dans un ballet efficacement chaotique. Apparemment tout ce qui se trouvait dans la base était chargé sur des rampes, et finissait dans les entrailles de vaisseaux gigantesques : une flotte de Crusader Hercules.

Ils émergaient du tarmac,

alors qu’un flux ininterrompu de chars, buggies, chariots élévateurs, cargaisons de toutes tailles, rovers, drones et trams emplis de ravitaillement et de personnel, convergeait vers eux pour s’entasser dans leurs coques. Même en considérant leur taille, il ne semblait pas réaliste de charger autant de choses à l’intérieur d’un vaisseau, mais la parade continuait de défiler sans fin apparente. Ce n’est que lorsque Deacon à posé sa main sur mon épaule et m’a demandé si j’allais bien, que j’ai compris que nous étions nous même dans le cortège, rejoignant la parade en marche. Les Hercules seraient nos transports.

C’était il y a cinq heures. À présent, j’écris ce message assis sur un lit perdu dans le ventre du vaisseau, bien au-delà du point de non-retour. Mon cœur et mon esprit enflammés d’autant d’excitation que de crainte. Tout ce que je peux faire c’est embrasser l’aventure qui se présente. Je me trouve précisément à l’endroit ou j’ai toujours voulu être. Et puis après tout, peut-être que je peux vraiment faire une différence. Mais à ce moment très précis je devrais probablement penser à prendre du repos…


07/05/2948

Mes excuses pour la brève absence. C’est juste qu’être ici, sur cet Hercules M2, faire partie de cette mission, tout cela m’a pas mal distrait. De plus, je n’ai jamais été en vol aussi longtemps auparavant et les voyages spatiaux font un vrai ravage sur mon horloge interne. Je n’avais même pas réalisé que ma dernière entrée datait de deux jours. Pendant ce temps, j’ai exploré chaque centimètre carré du vaisseau où je suis admis (et au moins quelques-uns où je ne le suis pas), rencontré plein de gens passionnants venant de tout l’univers, et appris bien plus sur le Hercules et les opérations de décollage/atterrissage que je n’aurais jamais pu l’imaginer.

 

Les Hercules sont le coeur et l’âme de l’opération Épée de l’Espoir. L’implication franche de Crusader a rendu possible l’opération toute entière.

Le vaisseau semble en quelque sorte encore plus grand à l’intérieur qu’à l’extérieur. Notre Hercules (qui, selon l’équipage est surnommé “Mama Bird” (NdT : Mère Poule) ) abrite un char et une de ces espèces de buggy tout-terrain dans sa cale, en plus des baraquements improvisés que nous, volontaires, appelons “maison”. Un membre d’équipage, un vieux vétéran amer de la Navy nommé Abe, affirme avoir connu un type qui a fait tenir trois Aurora dans la cale d’un M2. Bien que ça semble douteux, la taille et la capacité réelle du vaisseau est impressionnante et j’imagine que des agencements de cargaison quasiment illimités sont possibles, si on sait être créatif. Il est cependant évident que la baie de transport de cargaison n’a pas été conçue pour accueillir du personnel et l’un des volontaires ne cesse d’interroger bruyamment sur la raison pour laquelle ils n’ont pas pu affréter un Starliner pour nous. Abe dit que Charon III n’est pas un endroit pour un Starliner, et pour le coup, je veux bien le croire.

Il faut que j’abrège cette entrée car les sirènes se sont lancées. Nous allons pénétrer l’atmosphère de Charon d’un moment à l’autre. Tout ça prend forme, très vite, mais être sur le Mama Bird me fait me sentir en sécurité et, assez curieusement, presque à l’aise. En cet instant, je suis contente d’avoir sacrifié les commodités d’un Starliner pour la robustesse apparente d’un M2.

 

09/05/2948

Il y a deux jours, peu après avoir posté ma dernière entrée et avoir pris part à des entraînements au tir, je me suis tenue sur le pont du Mama Bird, observant la clique de vaisseau constituant l’Opération Épée de l’Espoir. Avec moi, notre pilote et mon nouvel ami : Everson Gray, un autre gars de la Navy, retraité, qui avait des trésors de patience et d’histoires incroyables, l’une d’elles concernant la raison pour laquelle il était venu faire ce boulot.

 

Certains de ses amis, des soldats retraités qui s’étaient reconvertis en convoyeurs indépendants, comme lui, avaient été tués en essayant de faire un chargement sur Dellin il y a quelques années, et ça avait été une vraie prise de conscience pour Everson. La situation sur Charon III avait vraiment dégénéré, avec l’armée d’Acheron considérant toute force extérieure pénétrant l’espace aérien de Dellin comme une menace. Les deux états étaient en guerre depuis des années, je me rappelle avoir lu quelque chose là-dessus à l’école, mais Acheron était devenu progressivement plus agressive ces dernières années. Everson avait entendu parler d’Épée de l’Espoir et avait de l’expérience en pilotage d’Hercules depuis son service dans la Navy. Il voulait aider. Il “devait” comme il disait. J’aime parler avec Everson. J’aime ses histoires. Mais celle-ci me fait me sentir un con. Je veux dire, qui suis-je ? Une diplômée quelconque qui s’est engagée dans un de ces trop nombreux rassemblements et est partie pour énerver ses parents ? Je suis en mission avec ce vétéran qui a vécu de vraies pertes douloureuses. Sans parler de ses aptitudes pratiques réelles. Ça me fait m’interroger sur mes motifs, mon caractère et tout le fil de ma vie jusqu’à ce moment. Mais Everson est un gars sympa, et il ne cesse de me rassurer sur le fait que je suis ici pour une bonne raison. Alors que j’examinais quelle pouvait être cette raison exactement, Everson indiqua trois autres Hercules, des canonnières A2, qui s’envolaient devant nous. Il dit que je ne devrais pas être effrayée par les entraînements parce que si quoi que ce soit arrivait, ces gros durs s’en occuperaient avant qu’on soit à portée. Il se trouve qu’il avait pratiquement raison.

 

La nuit dernière alors que nous commencions à nous préparer à entrer dans l’atmosphère de Charon III, les sirènes ont retenti. Mais cette fois, ce n’était pas un exercice. Abandonnant notre récent entraînement, je me suis faufilée jusqu’au cockpit pour une meilleure vue de l’action. Everson analysait rapidement le coup par coup, ce que je ne compris qu’à moitié, mais le reste de son petit équipage s’agitait pour armer les tourelles à distance qui nous servaient autant de dernier espoir que d’ultime prière. Pour ainsi dire. Nous fûmes engagés aussitôt que nous décrochâmes, je pense. Tout ça sembla être fini en l’affaire de quelques minutes. Mais là encore, mon horloge interne est tout sauf fiable. Les chasseurs d’Acheron étaient sur nous, pesant de tout leur poids et concentrant la majeure partie de leur puissance de feu sur les A2, alors que nos robustes chasseurs esquivaient tirant à l’aveuglette sur les vaisseau d’Acheron et tentant de les éloigner de nous. Un bogey ennemi mordit à l’hameçon et deux autres de leur chasseurs furent oblitérés pas les A2 eux-mêmes. Impassible, les Hercules encaissèrent le plus gros de l’assaut d’Acheron, leur armée de tourelles verrouillant patiemment et martelant leurs cibles. Les chasseurs tombaient comme des mouches, balayés par les massifs A2.

 

Mon estomac se retourna alors que nous descendions, approchant le site d’atterrissage prévu pour nous. Les renforts d’Acheron déferlaient des canyons qui sillonnent le paysage aride de Dellin. Quelques uns s’approchèrent dangereusement du Mama Bird, et nous reçument quelques coups, mais nos tourelles pulvérisèrent un des chasseurs nous visant, et un intercepteur de notre escorte de soutien s’occupa des autres. Ils ne firent même pas de dégats à notre coque. La première vague de chasseurs d’Acheron nettoyée, les A2 à l’avant relevèrent subitement le nez. Everson reçut un appel, il fallait annuler l’atterrissage. “Trop risqué”, ne cessaient-ils de dire. C’est là qu’un Deacon lessivé vint me trouver dans le cockpit et me traîna de nouveau à la baie de chargement, nous étions sains et saufs, mais en alerte élevée. On m’interdit de retourner sur le pont, mais avant d’être éjectée sans ménagement, Everson me dit de ne pas m’inquiéter. Que les A2 s’assureraient qu’on ait un espace sûr pour atterrir. À l’évidence ils rassemblaient des bombes. Et des grosses.

 

L’équipe d’un A2 prépare l’appareillage massif de bombardement du MORNING STAR.

 

10/05/2948

Après l’attaque initiale, le silence reprit place pendant ce qui sembla être une éternité. Deacon nous dit alors d’aller nous reposer mais cela était clairement hors de question. Une heure plus tôt à peine, les bombes commençaient à tomber.

 

“les canonnières emportent avec elles de quoi frapper violemment, avec une configuration modulaire d’emport de bombe,
elle est capable de dégager des zones d’atterrissage potentiellement dangereuses.”

 

Là haut, depuis le cockpit, regarder les évènements se démêler semblait tel regarder une vidéo. Avoir été aux premières loges de la mêlée rendait cela étrangement plus supportable. Ici bas, dans ce qui était appelé par les coordinateurs “la zone sûre”, c’était tout simplement terrifiant.

Nous ne pouvons rien voir. La coque frémit et se déforme de façon étrange. Le métal grince et gémit. Le souffle sourd des bombes est entendu de toutes parts, je ne peux que supposer que les A2 déversent leur charge utile dans ces canyons, purgeant chaque bunker d’Archeron restant, jusqu’au dernier. L’idée est d’obtenir une zone de poser sûre, mais actuellement, rien de cette situation qui pourrait être qualifiée de sûr.

Je pense que nous avons pris feu. Sommes-nous en train d’atterrir ? Où sommes-nous touchés ? Deacon crie quelque chose. Je dois y aller.

Très bien, je suis de retour. Les rampes immenses se sont ouvertes de part et d’autre du vaisseau et la lumière du soleil est aveuglante. Nous sommes en plein jour, ça semble évident. Il faut croire que nous avons réussi à atterrir, mais je ne peux dire ce qui se trouve au-dehors. Des agents de la sécurité de Crusader montent à bord en criant. Je vais devoir à nouveau faire court. Des nouvelles sont à venir d’ici peu. Espérons-le.

 

11/05/2948

Les dernières 24 heures se sont succédées à un rythme effarant. Les canonnières avaient sécurisé avec succès une large étendue de désert, dont un aérodrome à l’abandon recouvert en partie par des déchets. Nous l’utilisons désormais en guise de piste d’atterrissage improvisée.

 

Alors même que les bombes des A2 avaient nettoyé le passage, les agents de la sécurité de Crusader ne voulaient rien laisser au hasard. La zone était inconnue puisque nous avions été contraints de pousser plus au sud que le point de largage initialement prévu. Le restant de nos chasseurs veillait, bourdonnant au-dessus de nos têtes, tels des chiens de bergers protégeant le troupeau d’un danger invisible. Ils nous firent débarquer en masse du M2 (il semble à cet instant précis que notre casernement, cette “zone sûre”, est en fait monté sur un immense traîneau) aux côtés des chars et des rovers. Davantage de véhicules étaient débarqués d’un autre Hercules qui avait atterri non loin de là, nombre d’entre eux remorquant du ravitaillement et/ou du personnel.
Il y avait aux côtés de tout cela de nombreuses troupes terrestres qui marchaient péniblement, et toute notre caravane serpentait sous les ombres des Hercules, perchés tels de gigantesques oiseaux préhistoriques veillant sur nous. Protégeant notre entreprise des risques extérieurs.

La caravane avait pris racine, alors que les M2 et les C2, chargés du gros du ravitaillement, des effectifs et de l’artillerie lourde, avaient atterri au centre de la piste. Les A2 s’étaient posé en diamant autour du périmètre, déployant des buggys qui selon moi servaient d’éclaireurs, car ils filèrent dans la poussière au lieu de rejoindre la parade en préparation. Les canonnières, et tous les Hercules d’une manière générale, sont en fait des forteresses mobiles capables de déployer et de défendre leur chargement avec une capacité d’intimidation particulière ainsi qu’avec, il faut bien l’admettre, un paquet d’armes. Alors que je levais les yeux vers eux, je me souviens d’avoir été quelque peu effrayée, mais surtout très soulagée qu’ils soient de notre côté.

La caravane traversa un col étroit pour rejoindre à peu près l’itinéraire initialement prévu. Nous sommes arrivés au village, l’objectif de notre mission, au crépuscule. Nous avons été accueillis avec enthousiasme, les locaux se donnant du mal pour témoigner leur appréciation et nous faire nous sentir comme chez nous. Nous débarquâmes et cataloguâmes la majorité des ravitaillements de l’EO, puis reçûmes l’ordre de nous coucher aux alentours de minuit.

C’était il y a deux heures. Maintenant, je suis assise là, à écrire ce message depuis mon lit picot, dans cette petite ville frontalière de Dellin. Je n’arrive pas à trouver le sommeil, repensant à tout ce que nous avons traversé, et anticipant tout ce qui est à venir. Le vrai travail débute demain, mais je sais déjà que j’ai fait le bon choix en venant ici. Rien qu’en voyant le visage rayonnant des gens du village, les quelques sourires ou pouces en l’air des gars de la sécurité qui guident notre partie de la caravane, en pensant à ce bon vieux Everson, qui quelques jours auparavant m’avait dit que les raisons pour lesquelles on aide importent peu, tant qu’on aide. Je suis là dehors, à essayer de faire la différence. Le véritable impact de cette opération n’est pas connu, mais ici-bas, avec la supervision de l’Empire et de Crusader Industries, je sens que je fais partie de quelque chose de plus grand.

 

Toute la caravane d’approvisionnement de l’Épée de l’espoir,
soutien au sol compris, a débarqué en toute sécurité sur le sable de Dellin, grâce à la famille de navires Hercules.

 

Opération Épée de l’espoir

Dellin, Charon III, Système Charon

Contez-nous votre histoire en Starlifter

Vous avez accompagné la jeune volontaire Ciera dans ses aventures sur le Hercules de Crusader, mais l’Opération Épée de l’espoir a seulement gratté la surface du potentiel de cet appareil polyvalent. Crusader Industries veut entendre vos histoires en Starlifter. Comment utiliseriez-vous le Hercules pour affirmer votre statut de vraie légende du chargement spatial ? Partagez votre propre expérience, qu’elle soit militaire, civile ou s’inscrive dans une opération d’aide humanitaire, voir quelque chose de totalement moins conventionnel, et tentez de gagner un puissant Hercules M2.

 

Plus d’infos ici

 

 

 

 

Ajoutez le Crusader Hercules à votre flotte

La famille des Hercules excelle dans nombre d’applications militaires,
civiles ou d’aide humanitaire.

 

 

Traduit par Krimey, relu par Silkinael

NEWSLETTER HEBDOMADAIRE du 11/05/18

Newsletter

HERCULES ! HERCULES ! HERCULES !

Chers Citoyens,

Cette semaine a vu l’inauguration publique du Hercules de Crusader Industries, notre dernier vaisseau conceptuel. Montez à bord aux côtés d’une jeune volontaire, alors qu’elle fait l’expérience de la force de ce vaisseau tactique lors d’une dangereuse mission d’aide humanitaire.

Vous aurez également la chance d’écrire votre propre histoire à bord d’un Hercules et de participer au concours afin de gagner la variante militaire du Hercules, le robuste M2.

En plus, vous trouverez les tickets pour la CitizenCon, les avantages des abonnés, la dernière ligne droite de notre giveaway Intel, les rencontres mensuelles et une pièce d’artillerie lourde qui vous attendent plus bas.

Cordialement

L’équipe Star Citizen

Kastak Arms Karna, quand tu dois, absolument, indéniablement, tuer chaque Vanduul dans la pièce, n’accepte aucun substitut. (cliquez sur l’image pour l’agrandir)

Source de cet article | Traduit par Lotto, relu par Silkinael
©2018 www.starcitizen-traduction.fr — (CC BY-SA 3.0)

L’actu de la semaine 7-13Mai

Pour cette nouvelle semaine, les dernières vidéos concoctées par la communauté .
Si vous désirez référencer votre vidéo publiée la semaine prochaine, n’hésitez pas à nous contacter.
Pour nous faciliter les recherches, intégrez le #SCFR ou le @StarcitizenFR à la suite de votre tweet.
PS : On évite en général les Replays IG (surtout les longs), déso.

Notre coup de coeur

Lucazer75 / Nomad’s Corporation

Ce nouveau youtubeur s’est fait un petit trailer et on peut vous assurer que le choix de la musique est parfait !

Les oubliés

Black Otters

Dimanche dernier, l’organisation nous offrait un montage en musique de tout ce qui a été montré par CIG, ça nous rappel pourquoi nous sommes citoyens des étoiles.

Lundi

Schneider

Récapitulatif des actualités de la semaine , retrouvez les informations importantes du Calling All devs, Loremaker, AtV, RtV et plus encore .

Helldrick Kowea

Petit tour d’horizon sur la lune Daymar sur système Stanton

Mardi

Terada

“Nouveau Best Of sur Star Citizen avec quelques fails, des scènes épiques, des bugs et des morts…”

Mercredi

Daium

Il nous parle du très rechigné RSI Aurora et en prend sa défense !

Amonrox Game

Une vidéo pleine d’effet et tout en musique, présentant le jeu autrement.

XIIIe CORPS Expéditionnaire

L’organisation nous propose une vidéo de recrutement !

Star Pirates News

la rediff du Rendez-vous des citoyens 113 avec comme invité Terada.

Star Pirates News et la TradTeam

Rediff de Lubuwei, Kiro, Ribartex qui ont traduit en direct le Calling All devs de la semaine avec en invité, Daium.

XIIIe CORPS Expéditionnaire

“”Night Hawks” – Escadron Multi-Rôle du XIIIème Corps Expéditionnaire Les Escadrilles qui le compose sont en première ligne sur toutes les missions du XIIIème”

Jeudi

Terada

“Nouveau Best Of sur Star Citizen avec quelques fails, des scènes épiques, des bugs et des morts…”

Derkomai22

“Le site n’étant pas très ergonomique, pas mal de personnes m’ont demandé de faire une sorte de tutoriel. C’est chose faite”

Vendredi

Hugo Lisoir

Le fameux « Around the Verse Traduit et Résumé »
Pour cette semaine, les balises de services

Samedi

Citizen TV

Le trailer de la Rover Trophy 2018/2948 , événement francophone du moment .

HawkzGenesis

Reprise des vidéos sur l’armement, Hawkz nous offre en musique une arme dévastatrice sous tous les plans .

https://www.youtube.com/watch?v=FZ8YnuM0vZg

VinceKun

Une chose est sûre, la voix de ce youtubeur est apaisante, tout comme les corrections du gravlev.
“Après avoir fait un peu de PTU, voici mon retour sur le Dragonfly et son mode HOVER corrigé dans la 3.1.4i.”

Phil-Zorg

Un peu de RP , ça ne fait pas de mal !
“Star Citizen est en construction vers un univers qui sera de plus en plus dense… Voici un aperçu de ce à quoi pourra ressembler une planète entièrement recouverte par la ville! Ici Phil de retour vers ses quartiers avec son Aurora LN de fonction… Et pourquoi pas le début de la saison 2 “Les Stations Star Citizen” ”

Helldrick Kowea

Pour vous rendre mieux compte des avancées effectuées avec le futur patch 3.1.4 , voici une vidéo de comparaison entre la 3.1.3 et la 3.1.4h avec une NOX

BenjitiGames

Ce youtubeur se lance dans l’aventure, déjà son 5ème épisode sur ses découvertes de l’univers grandissant de Star Citizen .

Dimanche

Stanbatros

Une vidéo montrant le gameplay de chasseur de prime.
Il a annoncé par ailleurs dans un vlog, son premier live le 19/05/2018 à 21h.

Terada

“Montons à bord de mon MISC Reliant, je vais vous faire visiter les trois lunes de Crusader : Yela, Cellin et Daymar. Je vais vous en apprendre plus sur le lore et les particularités de ces trois petits astres.”

Citizen TV

“Découvrez l’épisode numéro 9 de cette série vidéo qui présente Cloud Imperium Games”

Phil-Zorg

Sur Facebook, ce créateur de contenu a créé une mini série, voilà l’intégral en une vidéo , le tout toujours avec du RP !
L’occasion pour nous de découvrir ses vidéos.

Schneider

Deuxième Récap’ de la semaine de Schneider, cette fois ci, c’est celle qui vient de passer!

Phil-Zorg

“On poursuit l’aventure de Phil et son LN perdus sur la planète Hurston… Phil avait décollé de Arc corp vers Olisar… Mais un trou de verre pendant le saut quantique en a décidé autrement…”

Merci à vous d’avoir regardé leurs vidéos, n’hésitez pas à vous abonner à leurs chaînes et à la semaine prochaine !

Un Secret Impérial – Chapitre 4

Retrouvez l’ensemble des chapitres d’Un Secret Impérial ici

Résumé du chapitre 3 :

 

Chez les sœurs Fuentes, Mark prend une décision radicale : mener lui-même l’enquête pour retrouver sa collègue disparue, le vaisseau de son entreprise et l’échantillon illégal qu’a acquis le CEREXX. Il profite du sommeil de son hôtesse, assommée par des somnifères, pour fouiller la chambre d’Agatha. Après d’intenses recherches, il déniche une petite carte mémoire sur laquelle se trouve un message vidéo. La collègue de Mark a laissé un appel de détresse des plus inquiétants…

 

  • Bonne lecture !

Un Secret Impérial

Chapitre 4

Un aveu. Une confession. Une alerte. Il ne sut définir ce qu’il venait de visionner. Les mots d’Agatha résonnèrent dans sa tête. Sans même se servir de son appareil, il se repassa intérieurement le message. Comment traiter ces nouvelles informations ?

Il n’y avait plus un bruit dans l’appartement. L’eau avait cessé de couler, et l’on pouvait entendre une voix de femme fredonner depuis l’autre bout du couloir. Mais Mark ne l’entendait pas. Seuls ses propres battements de coeurs se firent plus bruyant à ses oreilles. Il lui fallut quelques secondes, de longues secondes, pour reprendre ses esprits.

Un bruit sourd et persistant le ramena à la réalité. C’était Jade, qui se faisait sécher les cheveux. Sorti de ses pensées, Mark se leva précipitamment, remis la fausse plante en place, et se rua hors de la chambre. Il marcha discrètement dans le couloir, pour ne pas éveiller les soupçons, puis pénétra dans la pièce d’à côté. La chambre de Jade.

La couette du lit était presque entièrement par terre, des vêtements jonchaient le sol et s’empilaient sur la chaise du bureau. À côté de la tête de lit, une petite commode en métal brossé servant de table de nuit. L’objet que convoitait le xénobiologiste reposait dessus, attendant d’être porté. Du fait qu’elle travaillait pour une compagnie interstellaire de livraison et de messagerie, Jade possédait un mobiGlas professionnel. Mais c’était le bracelet personnel qui intéressait Mark, celui sur lequel elle avait enregistré le contact de l’Agent de l’Advocacy.

“Daniel Tooms…” Mark lu le nom à voix haute, comme si cela l’aiderait à mettre un visage dessus. Il envoya le contact en copie sur son propre mobiGlas, puis reposa le bracelet de Jade sur la table. Il était déterminé, et en même temps effrayé par ce qu’il faisait. Quel genre d’ami suis-je devenu ?

Il partit rassembler ses affaires, avant que Jade ne sorte de la salle de bain. Le sèche-cheveux tournait encore, mais ce n’était qu’une question de secondes avant qu’il ne s’arrête. Il n’avait pas le courage de mentir à Jade quant aux raisons de son départ précipité, et il ne voulait pas non plus lui faire faux bond. Mais le temps pressait : si Agatha était réellement en danger – et si elle était toujours vivante – il fallait la retrouver au plus vite.

Immédiatement après être monté à bord du taxi volant, Mark enregistra un message vidéo à destination de son amie. “Eh, Jade, je… hum…” balbutia-t-il, avant de se reprendre. “Désolé de ne pas rester, je n’ai pas envie de te déranger plus longtemps. J’ai une course à faire, je te rappelle ce soir si tu veux. Bonne journée.”

Au moment d’envoyer le message, son doigt s’arrêta au-dessus du bouton. Il hésita. Aucune excuse ne serait suffisamment crédible pour justifier son départ précipité. Et la vérité l’aurait tout bonnement fait passer pour un enfoiré. Il cliqua finalement sur le bouton “Envoyer”, et soupira. Pour être sûr de ne pas être écouté par le micro du taxi, il se servit d’un accessoire intégré à son mobiGlas. Une fois l’oreillette en place, il relança la vidéo qu’il avait trouvée sur une puce, elle-même dissimulée dans une fausse plante alien.

“Je m’appelle Agatha Fuentes, je suis une civile de l’UEE et on cherche à m’assassiner. J’ai récemment obtenu des informations sensibles concernant l’Empire Xi’An, qui a envoyé des tueurs à ma recherche. Ma soeur n’est en rien mêlée à ça, et je pense que les assassins xi’an n’en ont qu’après moi. C’est pour cette raison que j’ai décidé de me cacher.” La scientifique marqua une pause, submergée par l’émotion. “La situation est assez urgente, je n’ai d’autre choix que de disparaître.”

Mark se repassa ce message, encore et encore. À mi-chemin entre le domicile de sa collègue disparue et chez lui, il ne semblait toujours pas pouvoir répondre aux trop nombreuses questions qu’il se posait. Passer ce message en boucle ne l’aida pas à apaiser son esprit. Désormais, une autre question brûlait les lèvres du xénobiologiste qui s’improvisa enquêteur : au lieu de contacter les autorités, pourquoi avoir laissé un message de détresse ? Pourquoi l’avoir caché, qui plus est ?

Il se pourrait que la panique eut déraisonnée la xénobiologiste disparue au point de la pousser à laisser des miettes de pain derrière elle. Ou peut-être avait-elle fait ça pour ne pas inquiéter la Direction du CEREXX, qui se ferait déjà du souci quant à sa culpabilité avérée dans l’achat de matériaux illégaux. La pire des choses, se dit Mark, était justement de quitter le rayon d’action de l’Advocacy. Et en franchissant le point de saut du système Taranis, Agatha Fuentes et le CB04 avait fait un premier pas hors de ce rayon.

Mais le plus grave n’était mentionné qu’en toute fin du message : un tueur à gage, d’origine Xi’An qui plus est. Pourquoi s’en prendre à une chercheuse plutôt qu’à ses supérieurs qui prennent les décisions ? Et pourquoi diable un assassin alien chercherait à s’en prendre à une civile humaine ? Il ne fit aucun doute aux yeux de Mark que ceci avait un rapport avec l’étude que menait Agatha, sous la direction de son chef de département : Hiroshi Iwata. C’est avec lui qu’il fallait s’entretenir, plutôt qu’avec Kern, et au plus vite.

Presque arrivé chez lui, Mark modifia la trajectoire du taxi automatisé pour finalement se rendre au Centre de Recherche de Xénobiologie et Xénoécologie. L’appréhension le paralysa devant les immenses portes vitrées de l’immeuble. L’endroit était moins bondé qu’habituellement, congés exceptionnels obligent. Le jeune chercheur finit par rentrer, poussé par sa quête de vérité.

Avant de se poser, le taxi volant avait survolé le parking où se garaient certains employés du CEREXX. Mark avait repéré le vaisseau personnel de son chef de département : un petit bolide taillé pour la course, aux lignes pourpre sur fond d’ébène. Iwata était là, à travailler sur on-ne-sait-quoi.

La carte d’accès de Mark ne quittait jamais sa sacoche, et ce jour-là ne fit pas exception. Hoffmann croisa quelques collègues, indifférents quant à sa présence au labo. Phil était là lui aussi. “Tiens, je croyais que t’étais de repos, avec tous les autres, lança le quinquagénaire.

– C’était l’idée, lui avoua à demi-gêné Mark. J’avais un truc à faire.

– Tu m’en diras tant, lui répondit son collègue, sans réellement prêter attention à lui. Dis, t’aurais pas vu un mobiGlas beige ?”

Mark ne put l’aider, puisqu’il n’avait rien vu de tel en arrivant. Interrogé, Phil indiqua à Mark qu’Iwata était en visioconférence dans son bureau. Mais aussi que lui n’avait pas pris de jour de congés, “pour ne pas faire l’hypocrite”. Tu parles trop Phil, comme toujours.

En attendant la fin de cette réunion, Mark partit fouiller le bureau de sa collègue disparue. Personne n’y était rentré, ou presque, depuis le jour de sa disparition. Encore une fois, les enquêteurs avaient saisi documents, ordinateur et périphériques de stockage. Malheureusement pour l’enquêteur en herbe, les seules affaires qui restaient ne lui furent d’aucune aide. Il perdit moins de temps qu’au domicile de sa collègue, puisque la corbeille de bureau était vide et que les livres étaient tous cornés, annotés et remplis de marque-pages.

“Hoffmann ?” l’interrompit une voix de femme dans son dos. C’était Gudrun Kern, la Directrice du CEREXX. Elle s’apprêtait à partir sur le terrain, et transportait une caisse de piluliers et autres tubes. Mark avait été pris en flagrant délit, il se déconfit presque immédiatement. “Que faites-vous là ? insista Kern.

– C’est… la soeur d’Agatha qui m’envoie, tenta Mark.

– Pardon ?

– Jade Fuentes, c’est Jade Fuentes qui m’envoie. Je l’ai vue hier et…

– Faites court, Hoffmann, l’interrompit sèchement la Directrice.

– Jade veut s’assurer que sa soeur ne cachait rien d’illégal ici. Aucune… substance illicite. Pour l’aider à gérer le stress de son travail, vous voyez de quoi je parle ?”

La Directrice resta de marbre, comme à son habitude. Les quelques secondes qui s’écoulèrent entre le mensonge éhonté de Mark et la réaction de Kern parurent interminables. “S’il s’avérait que l’une de nos employées consommait ce genre de produits, sa seule responsabilité serait engagée.” Elle avait mordu à l’hameçon.

“Naturellement, poursuivit Mark. Et on ne voudrait pas qu’un policier ou qu’un Agent de l’Advocacy ne tombe dessus.

– Que voulez-vous dire ?”

Merde. Mark était parvenu à jongler avec des grenades, et venait machinalement d’en dégoupillé une. Il opérait dans le plus grand secret, pour n’inquiéter ni Jade, ni ses employeurs. S’il avait vu juste, son entreprise comme sa collègue étaient en péril.

Mark se lança à corps perdu. “Eh bien, je suis passé hier au domicile d’Agatha, après un appel de sa soeur. Elle a évoqué la présence d’un Agent de l’Advocacy. Je sais que ce ne sont pas mes affaires, et que l’étude est confidentielle. J’ai bien compris que…” Il baissa d’un ton pour être sûr que personne ne surprenne la conversation. “J’ai bien compris que le labo avait acquis un ou plusieurs échantillons illégaux, et que Mlle Fuentes travaillait dessus. Ne vous en faites pas, je vais les retrouver. Et Agatha avec.”

Le regard de la Directrice changea complètement. Elle était déstabilisée. “Comment avez-vous su…?” Mark lui rappela la fameuse confidentialité de l’étude, une première au sein du CEREXX. Le sourire en coin de Kern était un aveu.

“Je vous remercie, Hoffmann. Toute cette histoire est pesante. J’espère que tout finira par s’arranger.” Voilà des mots que Mark n’aurait jamais imaginé entendre sortir de la bouche de sa Directrice. Des remerciements, des sentiments et un espoir. “Je vais vous laisser, Hoffmann, j’ai à faire. Et si vous trouvez quelque chose… Jetez-le. Ou sniffez-le, je m’en moque. Mais chez vous. Votre seule responsabilité…

– Sera engagé, termina Mark. Ne vous inquiétez pas.”

La Directrice tourna les talons et quitta le bureau. Peut-être que…

“Madame Kern, attendez !” l’interpella Mark. Le jeune xénobiologiste n’aurait jamais espéré une telle conversation avec sa Directrice, d’ordinaire froide et fermée. Le fait d’avoir mentionné la présence de l’Agent Tooms sur cette affaire était peut-être finalement un plus. Le plus qui permettrait à la Directrice de vider son sac, d’enfin mettre Mark au parfum.

“Sur quoi travaillait Agatha ? Quel genre d’étude peut nécessiter un accord de confidentialité au sein même de notre département, d’habitude transparent ?”. La Directrice ne s’arrêta même pas. Mark était penaud, devant la porte du bureau de la chercheuse disparue. Il lui restait cependant une dernière carte.

Deux heures s’étaient écoulées, et Mark avait fait le tour des affaires de la chercheuse disparue. L’heure du déjeuner avait tout juste sonné et avec elle la fin de la réunion d’Hiroshi Iwata. À peine sorti de son bureau, tasse en main, ce dernier tomba sur Mark Hoffmann. Le jeune xénobiologiste salua son supérieur, puis aborda l’épineux sujet.

“J’ai croisé Madame Kern tout à l’heure, et elle…

– Oui, elle m’a envoyé un message, lui répondit calmement Iwata. Que veux-tu, Mark ?

– Eh bien… Je sais que ce sur quoi travaillait Agatha était illégal.”

Les mots résonnèrent lourdement dans le couloir blanc du Centre de Recherche. Il y était presque. Iwata l’invita dans son bureau, et ferma consciencieusement son bureau derrière lui.

“De quoi s’agissait-il ? l’interrogea Mark.

– Si cela venait à se savoir, tu encourrais de sérieuses…

– Virez-moi si je parle, je m’en moque”, s’empressa-t-il de répondre.

Le chef du département de Xénobiologie tendit au jeune chercheur une note qu’il venait de gribouiller, sur laquelle il était écrit que Mark s’engageait à être poursuivi pénalement en cas de divulgation de tout élément compromettant la confidentialité de l’étude à des partis tiers. Sûr de lui, Hoffmann la signa.

“Maintenant, reprit Mark, dites-moi : sur quoi travaillait Agatha Fuentes ?” Hiroshi Iwata lut la détermination dans le regard du jeune chercheur. Après avoir jaugé la signature de Mark, il posa une main sur son épaule. “Agatha étudiait des tissus extra-terrestres, déclara Iwata à voix plus basse. Du sang, de la peau, des écailles… Ces échantillons ont été prélevés sur des spécimens vivants.

– De quelle espèce s’agit-il ? demanda Mark, impatient.

– Je ne suis pas sûr de la prononciation, mais je pense que tu as déjà entendu parler des Kr’Thak.”

 

À suivre…

 

Auteur : Hotaru / Relecteurs : DCVolo & Teliopp / D’après une idée de : Duboismarneus & Hotaru

Merci de citer les auteurs et la source en cas de diffusion extérieure.

Concours Hercules Starlifter – histoire courte

Bonjour Citoyens,

Le Hercules, chassis Starlifter de base de Crusader, est un vaisseau de transport massif. Il est capable de charger un étonnant éventail de véhicules, cargo, et aussi de personnel, dans sa puissante coque. Et grâce à ses défenses robustes et son lot d’arme, le Hercules transportera tout ce que vous lui donnerez,

Nous espèrons que vous avez suivi l’histoire de Ciera Brun, une jeune volontaire devenue légendaire avec le Hercule durant une mission d’aide humanitaire potentiellement dangereuse. Vous pouvez suivre le récit de son aventure ici:
https://starcitizen.fr/2018/05/06/presentation-du-hercules-premier-starlifter-tactique-de-crusader/

Nous vous invitons à vous servir du conte de Ciera comme inspiration, créez votre propre histoire avec le Crusader Hercules et de gagner un Hercules Starlifter M2 de Crusader Industries! Les détails ci-dessous:

Doublez vos chances de gagner

Si cela ne suffisait pas, vous pouvez doubler vos chances de victoire en partageant votre participation sur Twitter! Partagez Simplement une ligne de votre histoire avec le hashtag #HerculesStarlifter , avec l’une de ces images ci-dessous, et un lien vers l’histoire complète. Après que le gagnant du concours soit choisi, nous sélectionnerons un autre gagnant qui aura le mieux “teaser” son histoire sur Twitter.

Un exemple de tweet pour gagner :

Bonne chance à tous les participants, nous sommes impatient de lire vos histoires!

Pour participer, répondez à ce sujet sur Spectrum

Brève de la TradTeam : Mai 2018 – Tranche de vie

Du travail, encore du travail…

Ces deux derniers mois ont été intenses en événements pour l’équipe. Et cette Brève le sera d’ailleurs un peu moins que d’habitude.
Au sommaire de celle-ci, nous annoncerons le prochain Bar Citizen, reviendrons sur la visite du studio de Francfort et initierons un nouveau segment : les tranches de vie.

Depuis quelques mois, encouragée par les rencontres faites lors des différents Bar Citizen, notre équipe a tenté d’être un peu plus présente. Avec le lancement des TradLive tous les lundis, nous essayons d’offrir aux plus discrets de nos Oompa Loompas une chance de sortir de leur cave et de montrer leur pâleur sur Twitch. Nous pouvons d’ors et déjà vous avertir que nous allons très vite faire de même pour les Around the Verse, les jeudis… probablement d’ici le mois prochain. Et puisque notre but reste de rassembler nous comptons désormais convier un invité chaque lundi afin de débattre des sujets abordés dans les questions du jour.

Et dans les tranches de vie que nous ajoutons aux Brèves, nous laisserons aux membres de l’équipe l’occasion de parler un peu de leur expérience personnelle avec l’univers de Star Citizen et de sa communauté. Une opportunité de vous parler un peu d’eux et de présenter ce que faire partie de cette grande famille communautaire a apporté à leur quotidien.

 

 

Bar Citizen Bruxelles

Troisième Bar Citizen de 2018, nous retournons là où les Bar Citizen ont commencé : Au Meltdown de Bruxelles
Et avec la présence confirmée de Daium, Hawk, Snakem, Silkinael, Lomelinde, Terada, Bauer, Kira, Lubuwei, et bien d’autres en train de se débattre pour pouvoir venir, nous espérons que cet événement sera à la hauteur des précédents !

 

Quand : samedi 23 juin 2018, de 16h à … tard dans la nuit

Où : Meltdown Bruxelles – 263 Bld Général Jacques – 1050 Bruxelles

Quoi : comme toujours, nous organiserons une tombola sur place, avec des t-shirt Discord, des consommations généreusement offertes par le Meltdown et de nouveaux goodies Star Citizen à gagner…

Stream : comme lors des précédentes éditions, vous pourrez suivre un streaming de l’événement en direct sur Twitch.

 

Transport : besoin de vous arranger pour un transport ? Vous avez des places libres dans votre voiture ? Nous avons un salon Discord dédié pour vous arranger , ainsi qu’un événement Facebook !

 

Logement : pour l’hébergement, nous vous proposons l’Auberge de jeunesse Bruegel. Le Meltdown Bruxelles étant un peu hors du centre ville, il vaudra mieux prévoir une voiture ou de partager un taxi pour s’y rendre.

Comme toujours, précisez bien que vous faites partie du groupe Star Citizen afin qu’ils nous réunissent.

 

 

 

Seconde visite à Foundry 42 Francfort

Ce vendredi 4 mai s’est tenue la seconde visite communautaire au studio de Foundry 42 – DE. Black Otter, Wolf Rimor, Quincey et six autres membres de la communauté étaient du voyage, avec Hawk en chauffeur de choc, et Silkinael chargé de traduire à la volée les informations techniques et les questions du petit groupe.

La visite de 2h30 fut l’occasion de rencontrer de nombreux membres du studio, de papoter avec ces derniers, de même qu’avec Brian Chambers et Ulf Kuerschner.

Le sujet des Bar Citizen a été abordé de même que la future Pari’Verse 2948…

Ce fut, enfin, l’occasion pour nous de récupérer une nouvelle cargaison de goodies à distribuer à la communauté lors des événements qui se profilent à l’horizon : des sacs de toile + brochures Pioneer distribués lors de la CitCon 2947, des brochures 600i, des autocollants Sabre Raven, des pins Star Citizen et Freelancer ainsi que des tatouages temporaires et des tours de cou Star Citizen.

Enfin, sachez que l’on travaille à organiser une prochaine visite, à Foundry 42 – Manchester cette fois ! Plus d’infos très vite.

 

 

Tranche de vie : opus 1 – Silkinael

Le 1er juin 2015.

C’est le jour où j’ai acheté Star Citizen après avoir passé 48h à écumer internet en quête d’informations. Parcourir des vidéos, exhumer de vieux posts et tenter de m’y retrouver dans un site officiel débordant de données plus ou moins pertinentes vue la compréhension toute relative que j’avais alors du projet.

Tout avait commencé quelques jours plus tôt. J’étais de retour sur EVE online depuis 2-3 semaines puisque mes compagnons de rôle play et moi-même avions déserté Guild Wars 2, quand j’ai entendu des gens de la guilde qui m’avait accueilli parler de Star Citizen, traiter un certain Super d de connard prétentieux, et décider dans la foulée qu’ils ne mettraient plus les pieds sur son site.

Curieux, j’ai été sur le site en question, puis sur le site de RSI… et près de 48 heures sans sommeil ont passé à tenter d’ingurgiter et de mettre du sens dans la masse de données.
Pour moi, la chose n’avait pas grand-chose de rare. Souffrant de douleurs chroniques depuis quelques années déjà, et gavé d’antidouleurs stéroïdiens et morphiniques, mon cycle de sommeil n’avait franchement plus de cycle que le nom.

J’ai donc passé 48 heures à explorer le site et à partager des vidéos avec certains amis rôlistes pour enfin me décider, et m’offrir un starter pack Constellation Aquila.
Dans la foulée, me disant que ce serait une bonne idée, j’ai proposé ma candidature comme traducteur chez StarCitizen.fr. Quelques jours à peine avant un certain Lutenar. Je me souviens encore qu’Hotaru, le responsable traduction de l’époque, m’avait donné le choix entre plusieurs textes et que je les avais tous traduits, dont un des premiers épisodes de Far From Home… j’ai d’ailleurs gardé une certaine affection pour cette série de textes depuis lors.

Quoi qu’il en soit, j’ai rejoint l’équipe de traduction ainsi. Ils étaient peu nombreux. Cinq ou six, peut-être. En bonne partie, n’ayant que peu de temps à consacrer à la tâche : Arma, Roy, Tarkhin…

Hotaru abattait lui-même beaucoup de travail, mais annonça fin juin qu’il serait moins présent à cause de ses études.
Lutenar et moi, arrivés en dernier, étions assez motivés et traduisions activement. Nous maudissions Star Pirate News chaque fois que, après avoir passé 2h sur un texte, nous nous rendions compte qu’ils avaient mis en ligne leur version 15 minutes avant la nôtre.

Le processus de traduction était lui-même assez fastidieux. Tout se passait sur le forum. La relecture se faisait en édition du post du traducteur, en ajoutant des balises de couleur : rouges pour les fautes et oranges pour les suggestions. Les corrections étaient faites par des gens à qui nous n’avions jamais parlé… franchement, c’était un travail dur, sans contact réel autre que des corrections « au bic rouge ».

À l’époque, j’ai suggéré de créer un groupe Skype histoire de pouvoir faire connaissance avec les confrères. Certains ont refusé. D’autres ont accepté… Avec ceux-là, nous avons commencé à parler d’autres façons de faire… Nous sommes passés sur Google Drive, avons créé un tableau récapitulant qui s’occupait de la traduction et de la relecture de quel texte. Nous avons également choisi de nous donner un nom car « les tradeux » n’était pas vraiment joli… TradTeam sonnait bien, et était symétrique. Il fut adopté en 10 minutes, sans vraiment réfléchir trop loin.

J’ai suggéré de faire une Brève mensuelle. Nous manquions de monde, et il était difficile de rester motivé. Les gens ne se rendaient pas vraiment compte de la difficulté de la tâche à laquelle nous étions confrontés. Habitué des ressources humaines, je me suis dit qu’une Brève contribuerait à régler deux problèmes : augmenter le recrutement, et réduire le turn over. Et du coup les Brèves sont nées.

À l’époque, les utilisateurs du forum n’avaient quasi aucun contact avec le staff du site. Moi-même, après deux mois, je n’avais toujours pas parlé à quelqu’un d’autre qu’un traducteur. Aucun admin, aucun modérateur, aucun rédacteur. C’en était même problématique car si nous avions pu simplifier le processus de traduction, celui d’édition restait fastidieux et demandait souvent 20-30 minutes de mise en page, avec des bugs, des codes à connaître par cœur, des astuces pour contourner les différents bugs. Nous tentions de faire remonter les problèmes, mais aucune solution n’était proposée et, concrètement, après deux mois, je n’avais toujours pas vu venir de solution à aucune des problématiques rencontrées.

StarCitizen.fr, à l’époque, était un joyeux merdier. À la fois ultra centralisé, et ultra décentralisé. Chaque équipe ou département s’auto-gérait, faisait tourner son petit service et ne rendait compte qu’à Super d en cas de souci opérationnel ou à Kable pour la partie technique. Le tout, en ignorant totalement ce que faisaient les autres services et qui en faisait partie. Tant que ça tournait, Super d déléguait volontiers et ne demandait de comptes à personne, ce qui laissait une certaine indépendance à chacun.

C’est aussi à cette époque, vers la mi-août je pense, que j’ai été abordé par Duboismarneus. Le pauvre m’a expliqué qu’il était à peu près seul à bosser sur le Wiki de StarCitizen.fr. Je me souviens que cela m’avait fait rire car, après deux mois, je n’étais même pas conscient que quelqu’un travaillait encore sur le Wiki. Dubois était dans sa mine de sel, moi dans la mienne… et nous avions à peine conscience l’un de l’autre. Nous avons juste commencé à parler d’une collaboration entre les deux « équipes » car il avait besoin de traductions pour le wiki.
De là, une conversation est née, qui s’est alimentée au fil des semaines. Si seulement nous pouvions renouer le contact avec Star Pirates News, si nous pouvions au moins nous parler, répartir la charge de travail au lieu de bosser comme des forcenés et de tenter de se griller mutuellement au poteau. De ce que j’avais entendu comme rumeurs, essayer de réunir UH radio, SPN, StarCitizen.fr et AlphaCast autour de la même table tenait de l’impossible. Et vu qu’en deux mois j’avais à peine réussi à communiquer avec les autres gens qui bossaient pour le même site que moi, je ne doutais pas vraiment de l’ampleur herculéenne de la tâche. Cela semblait un doux rêve auquel moi-même je ne croyais pas. L’enthousiasme un peu rêveur de Duboismarneus m’a convaincu d’essayer malgré tout.

J’en ai parlé à Lutenar, d’abord… le temps aidant, nous n’étions plus seulement des collègues, mais bien des amis. Il m’a assuré qu’au besoin, lui et son colocataire The Tramp pouvaient plancher sur la création d’un site, si une nouvelle structure devait naître. De là, nous en avons parlé ensemble au reste de la toute jeune TradTeam. C’était vers octobre, quelque chose comme ça. Nous nous sommes mis d’accord tous ensemble pour tenter de lancer ce grand projet. Contacter les différentes personnes, dans le bon ordre.

Par correction, j’ai commencé par en parler à Super d. Enfin, après des mois, j’ai pu papoter avec lui en vocal. Non qu’il ne m’ait jamais refusé l’accès, je n’avais juste jamais vraiment eu de raison de lui en demander. Nous avons donc parlé… longuement. Il a challengé l’idée tout aussi longuement, à tel point que durant deux heures ou trois, j’ai vraiment cru qu’il était hostile à l’idée et que j’étais solidement en train de me mettre tout StarCitizen.fr à dos… Puis, quand la poussière du champ de bataille rhétorique est retombée, il m’a juste posé une question : « J’y perds quelque chose moi ? Je veux dire, au bout du compte, j’ai toujours des traductions sur mon site ? Oui ? Ok. Faites ce que bon vous semble alors. Vous avez ma bénédiction ».

J’étais un peu étonné pour le coup. Je m’attendais, vu les arguments et contre-arguments qui avaient fusé si longtemps, devoir faire face à un déchirement franchement pas très propre… Et en fait non. Visiblement il était satisfait des contre-arguments qu’il avait reçus. À ce jour je ne suis toujours pas certain de ce qu’il s’est passé, mais vu le « connard prétentieux » que l’on m’avait dépeint, je m’attendais à pire.

Après cela, c’est à Fred d’UH Radio (devenu CTV) et Hawk de SPN que j’ai eu le plaisir de parler. Ainsi qu’à AlphaCast. Tous ont accueilli le projet positivement, et c’est fin novembre / début décembre que nous avons décidé que la TradTeam ferait ses premiers pas en tant que fédération regroupant les traducteurs, peu importe le site sur lequel ils œuvraient initialement.

Et après deux mois et demi de travail, Lutenar et The Tramp mettaient la dernière touche au site qui ouvra publiquement ses portes le 1er février 2016. De mon côté, durant cette même période, j’ai choisi de me sevrer des antidouleurs et de gérer ma santé et ses moins bons côtés sans béquille chimique. Une période assez éprouvante et confuse, dont je ne garde qu’un souvenir brumeux, mais qui aura abouti à une nouvelle façon de vivre.

Cela fait bientôt trois ans que j’ai rejoint l’aventure Star Citizen, et deux ans et demi que la TradTeam existe en tant que concept. De ce parcours j’ai retiré tellement de fous-rires, de moments extraordinaires, émouvants… des souvenirs et surtout tant de belles rencontres. J’ai le plaisir de me consacrer à une communauté en laquelle je crois avec candeur. Et à laquelle j’ai envie de donner car elle m’a tant apporté humainement. Je sais que certains peuvent trouver un tel engagement suspect, et pourraient chercher des motifs cachés. Qu’ils se rassurent. La communauté m’a personnellement déjà apporté bien plus que cela : un moyen, et peut-être même une raison, de cohabiter chaque jour avec la douleur tout en se sentant utile et accompli.

– Silkinael

Première édition du Rover Trophy !

Rover Trophy – 26 mai 2018

Les évènements communautaires francophones sur Star Citizen ont décidément le vent en poupe ! Et aujourd’hui, on va tailler le bout d’gras autour du Rover Trophy !

 

De quoi ?

La Rover Trophy est une compétition de course organisée par l’organisation organisationnelle Kaamelott Express Corp. Il s’agît d’une course en véhicule À ROULEEEEETTES !!!… Pardon, en Rover Ursa à la surface d’un des satellites de Crusader : le teRRRrrrrible planétoïde Delamar ! Et le tout sera retransmis en direct par la charmante CitizenTV, qui a aidé à mettre en place l’événement.

 

Moi j’crois qu’y faudrait quand même faire un tour pour rien…

Dix équipes vont s’affronter en Ursa Rover, avec à leur bord un pilote et un co-pilote. Pour s’inscrire, il suffit de s’inscrire sur le site de l’événement, dans le formulaire prévu à cet effet.

 

C’qui compte, c’est les valeurs !

Alors, pour résumer :

  • l’évènement débutera à 19h, le 26 mai 2018, et la course débutera à 20h30 ;
  • deux membres par équipe sont nécessaires pour concourir (pilote / co-pilote) ;
  • vous devez posséder un Ursa Rover pour participer ;
  • le tracé de la course mesure 26km, un peu CMB (ndr : Comme Mon hull-B) ;
  • dix équipes s’affronteront ;
  • normalement ça devrait faire 16132.

Merci, de rien. Au revoir messieurs-dames.

On souhaite donc bonne chance à tous les participants, ainsi qu’aux organisateurs de la soirée ! On espère que tout se passera bien, et que vous serez nombreux à regarder la compétition acharnée que se livreront les coureurs !

Cadeau aux abonnés : mai 2948 !

Pour les abonnés,



Quand la situation est désespérée, que vos chances de survie fondent à vue d’œil et que tout semble indiquer que vous êtes le prochain sur la liste… rien ne redressera la balance aussi bien que le shotgun semi-automatique Devastator de Kastak Arms. Désormais disponible en finitions exclusives ICC Voyager, le Devastator vous aidera à nettoyer les salles avec un style irréprochable et une brutalité dénuée du moindre remord. Ses décharges de plasma à haut impact sont idéales pour semer le chaos à courte portée, mais il se révèle aussi être un excellent instrument d’intimidation : même les hors-la-loi les plus désespérés recouvrent un peu de raison à la vue du canon du Devastator.

 

Pour les abonnés Imperator,

Les abonnés Imperator recevront en plus une variante exclusive Pathfinder en plus du modèle Voyager.



Si vous êtes déjà abonné, le cadeau sera ajouté à votre compte dès aujourd’hui. Si vous vous abonnez au cours de ce week-end, le cadeau sera ajouté à votre compte d’ici le 9 mai. Vous pouvez trouver plus d’informations sur les abonnements ICI !

 

Traduit par Silkinael, relu par Fougère
©2018 www.starcitizen-traduction.fr — (CC BY-SA 3.0)