SHOWDOWN !

Transcription Automatique pour les soumissions au S&P et au NFSC.

EP.57:54 : “Hôpitaux assiégés”

ERIA QUINT : Bonjour et bienvenue pour un nouvel épisode de ShowDown, une analyse rapide et efficace des problèmes qui captivent l’attention de l’Empire décrite par deux points de vues très différents. Je suis votre hôte, Eria Quint. La semaine dernière, les fonctionnaires de la Division de la Santé de l’ UEE ont fournis leur évaluation annuelle. Le rapport a causé une tempête médiatique du côté du domaine public ainsi que dans la communauté médicale en révélant plusieurs incidents d’activités illégales dans tous les hôpitaux et les stations médicales de l’Empire. Le Dr. William Gosha, médecin interne au centre médical de Galen sur Goss III, nous a rejoints pour discuter de ces répercussions.

DR. WILLIAM GOSHA : Bonjour.

ERIA QUINT : Ainsi que Sara Ayer, Directrice de l’Hôpital Saint Yor sur Locke.

SARA AYER : C’est un plaisir d’être ici.

ERIA QUINT : Je pense que la plupart des personnes ont été tout bonnement surprises des résultats. Je pense que tout le monde s’attend à ce que les installations médicales soient un peu plus négligentes quand il faut rédiger un rapport à leurs patients lorsque vous êtes face à des systèmes et des colonies qui sont encore en construction, mais cette liste d’infractions inclus une poignée d’hôpitaux bien connus dans des systèmes sécurisés. Du coup, en voyant le nombre d’infractions qui sont commises quotidiennement…

DR. WILLIAM GOSHA : C’est honteux, vraiment.

ERIA QUINT : Veuillez développer.

DR. WILLIAM GOSHA : Un message doit être envoyé avec fermeté aux établissements expliquant que ce comportement mènera non seulement à des pertes d’emplois, mais également à des poursuites pour actes criminels. Jusqu’ici, cela tombait sous la responsabilité de la direction des hôpitaux et des autorités locales, mais je pense que l’Imperator et le Haut-Avocat doivent s’engager et placer les hôpitaux sous la juridiction de l’Advocacy et faire respecter la loi.

SARA AYER : Je suis désolée, mais comment, le fait d’ajouter encore plus de bureaucratie réglera les problèmes ?

DR. WILLIAM GOSHA : Il faut restructurer le système de scan d’identifiants afin de pouvoir confondre les patients frauduleux. Ansi que pénaliser lourdement le vol de fournitures médicales.

SARA AYER : Mais vous devez vous rendre compte que tout ceci provient du budget…

ERIA QUINT : Comment cela, Madame Ayer ?

SARA AYER : Que vous le vouliez ou non, votre salaire reflète la foi et l’appréciation de votre employeur. Quand les fonds opérationnels sont réduits, cela signifie que vous ne pouvez pas offrir des salaires concurrentiels avec la plupart des installations médicales privées aux candidats. Si ces médecins ne peuvent pas gagner le salaire nécessaire pour soutenir une famille, ils peuvent rechercher des solutions alternatives pour compenser leurs faibles revenus, et c’est a ce moment-là, que les choses commencent à devenir dangereuses.

DR. WILLIAM GOSHA : Je suis navré, mais je trouve cela inquiétant de penser que nous en sommes arrivés à un tel point qu’il soit nécessaire de payer pour que les gens aient un comportement convenable.

SARA AYER : Je ne suis pas totalement en désaccord. Dans mon hôpital, nous avons toujours maintenu une politique de tolérance zéro envers n’importe quel membre du personnel qui a un comportement illégal ou non conforme a l’éthique. De mon point de vue, nous devons nous concentrer et combattre la cause qui permet à ces actes de prospérer, et non de créer des sanctions plus dures pour ceux qui les commettent. Nous devons comprendre pourquoi autant de ces professionnels perçoivent la nécessité de s’engager dans un tel comportement. À mon humble avis, il faudrait commencer par revoir les dotations financières.

DR. WILLIAM GOSHA : Et cet argent pour revigorer les hôpitaux dans l’UEE, d’où est il censé venir ?

SARA AYER : Peut-être du Centre médical de Galen qui pourrait sacrifier une partie de son financement militaire pour aider à résoudre ce problème.

DR. WILLIAM GOSHA : Très drôle.

ERIA QUINT : Parfois, il n’y a pas de liaison directe entre le budget et la légalité, prenons le cas de Terra General. Situé dans la banlieue, l’hôpital maintient une économie respectable, mais a toujours eu de nombreux membres du personnel fraudant de temps en temps.

DR. WILLIAM GOSHA : Dans ce cas, votre argument précédent tombe en morceaux. Voici un établissement qui a des fonds opérationnels en ordre, où les médecins sont bien rémunérés et pas surchargés ; pourtant ils regardent toujours de l’autre coté pour un meilleur salaire.

SARA AYER : Écoutez-

ERIA QUINT : Nous allons faire une pause rapide. Quand nous reviendrons nous reparlerons des niveaux de qualité. Quand les médecins indépendants fournissent de meilleurs soins que certains hôpitaux, comment savoir où confier des êtres aimés qui ont besoin d’aide médicale ? Nos deux invités vont reprendre des forces et nous offriront leurs différentes perspectives quand nous reviendrons, lors d’un nouveau débat sur ShowDown.

FIN DE TRANSCRIPTION

Traduit de l’Anglais par Aelanna – Source : https://robertsspaceindustries.com/comm-link/spectrum-dispatch/13774-Showdown-Hospitals-Under-Siege
Merci de contacter l’auteur de cet article par MP pour toute remarque ou faute éventuelle.

Leave a comment

Your email address will not be published. Required fields are marked *