Let. Us. Hope.

Et si on défendait Star Citizen ? – Episode 5

Article 5

Note du rédacteur : J’aimerais placer cette dernière tribune en oubliant toutes les questions argumentatives cherchant à défendre ou attaquer Star Citizen par A+B sur le plan technique ou sur des considérations d’avancement du développement. Ce conflit, selon moi, oblitère presque totalement l’aspect humain et le contexte communautaire qui gravitent autour. Et je sais que poster un tel article sur StarCitizen.fr revient à prêcher des convertis, mais je n’ai pas tellement la possibilité de le faire diffuser ailleurs. De toute manière c’était le dernier article. Wala.

“Ils ne savaient pas si c’était vrai, mais ils y ont cru.”

Tawn Mirak

Après une très longue réflexion sur la validité de la série, sur notre légitimité à en parler, sur l’aspect réceptif limité que nous impose la bulle naturelle autour de Star Citizen, et surtout au regard de l’évolution des choses, j’ai pris la décision de clôturer cette série d’articles, que je pensais plus longue, mais qui au final, malgré toute l’objectivité que je me suis efforcé d’instiller, ne peut qu’être totalement subjective. En finalité, il est à constater que la dynamique qui nous anime tous ici est aussi celle qui nous est le plus reproché : le fait d’y croire.

Et c’est là-dessus que je voudrais placer le point final, d’une manière totalement subjective, d’un avis personnel parfaitement assumé, une dernière fois.

Star Citizen est une aventure humaine qui, avant d’être la création d’un jeu, est la création d’une communauté. Le jeu existe par et pour les volontés qui s’agglomèrent autour de lui ; Chris Roberts le sait, CIG le sait, la communauté le sait, et les détracteurs le savent. Si on lui retire ce support, il n’est plus possible de savoir si sa finalité est la réussite ou l’échec.

Vouloir prouver l’un ou l’autre est la manifestation de deux intérêts opposés, et pas l’envie neutre qui anime pourtant la création du projet : celle d’expérimenter un jeu vidéo qui propose quelque chose qui parle à des passionnés, quoiqu’il advienne. Le projet apporte quelque chose de nouveau, quelque chose d’inédit, aux promesses parfois trop grandes et auxquelles on veut croire malgré tout. Leur aboutissement [à ces promesses] est lui-même lié à la communauté, parce que seule son expansion leur permet de prendre corps au travers de moyens financiers, humains, et finalement techniques, qui apportent et apporteront le soutien nécessaire à ce qu’elles deviennent réalisables. Faire disparaître ce soutien avorte toute possibilité de proposer un jour ne serait-ce que l’ombre d’un prototype à la communauté, ce qui encenserait toutes les critiques qui supposaient allègrement l’échec.

J’ai voulu me poser une ultime question : tous ceux qui tentent de prouver par un talent argumentatif, au travers de sources, de faits, que Star Citizen est voué à se vautrer ou n’a aucun avenir : où est leur intérêt, quelles sont leurs raisons ? Hormis la satisfaction prophétique d’avoir vu juste et de pouvoir jeter au visage des “fanboys” tant honnis le fameux “je vous l’avais bien dit”, quelle autre finalité existe-t-il dans leurs propos ? Difficile d’y voir une forme d’altruisme, une volonté d’empêcher plus d’âmes perdues de rejoindre quelque chose qui n’a, selon leur point de vue, aucune viabilité ; en voilà un argument qui a bon dos. Un exercice de style, alors ? Ou oserais-je dire que les tendances sont alléchantes ? Informer, tergiverser sur la réalisabilité du jeu, est une chose, beaucoup d’articles le font très bien (beaucoup, aussi, font une pub démesurée de Star Citizen, ce qui n’est pas forcément pour lui bénéficier) ; prendre position contre le jeu et en faire, c’est sensible, une cible à abattre, en est une autre. Où est l’intérêt ? Pourquoi chercher à déchaîner les passions sur des considérations aussi subjectives ? Malheureusement, je ne pense pas réussir à – ni même vouloir – répondre à cette question. Je ne peux que déplorer.

Cela dit, je ne pense pas me tromper en disant que l’image du donateur fou, achetant à la chaîne des vaisseaux en JPEG et sortant armes et armures lorsque la moindre critique s’élève, est fausse. Il semblerait que ce soit une généralisation acquise et étiquetée sur le front de toute personne qui s’approche un peu trop près de Star Citizen et de son microcosme. De Facto, avoir investi dans le projet impliquerait que le moindre propos sur le jeu soit intéressé. L’argent nous retirerait tout droit de réponse : “t’as payé, t’assumes ; tu as tout intérêt à défendre le jeu puisque tu as des sous dedans, chacun de tes arguments, même modéré, cherchera en finalité à l’encenser”. Refuser toute défense de Star Citizen sur cette raison, c’est retirer ce droit à la parole que tout détracteur s’arroge ; c’est profondément ironique, n’est-ce pas ? Hors le fait que lorsqu’une argumentation se base sur le fait d’avoir simplement le droit de s’exprimer (dieu sait qu’internet en est la personnification) elle devient rapidement fallacieuse, je ne vois aucune forme possible de débat sain à cause de cette polarisation “Haters/Fanboys” ; sachant que chaque partie s’affirme toujours comme la plus raisonnable. C’est infiniment dommage et dommageable.

Et là je vais être personnel, et sans doute botter en touche ceux qui pensent qu’un rédacteur dévoué au projet ne peut qu’être complètement vendu à Chris Roberts et au sacro-saint nom de Star Citizen. Si j’ai personnellement foi en la réalisation du jeu, je ne l’ai pas aveuglément (et la majorité des gens sérieux ici sont dans le même cas que moi, j’en suis certain) ; foi que je qualifierais d’ailleurs plutôt de confiance, cette dernière étant bien évidemment prudente. Des événements comme la CitizenCon de 2016 (qui aura brillé par l’absence de tout ce qu’elle laissait attendre) ont évidemment don de provoquer questions et remous. Oui, le Starcitizennien n’est pas une bête bête qui ne remets jamais en cause le développement. En doutiez-vous ? Jusqu’à preuve du contraire, même un passionné est une individualité humaine qui ressent le doute et se pose des questions ; il puise simplement satisfaction de vivre sa/ses passion(s). De mon côté donc, une longue expérience de sceptique lentement convaincu, qui garde des réserves, même s’il ne les manifeste pas forcément.

Au final, que le jeu soit un succès ou un échec, il aura réussi le pari de passionner une communauté pendant des années, de la garder active, hypée, prête à s’investir et à donner du temps pour une idée qui les faisait rêver. Le jeu vidéo en général, son industrie et sa communauté de joueurs, a tout à gagner que Star Citizen voit le jour. Pour prouver qu’un jeu indépendant, sans éditeur, peut proposer un mode de développement alternatif viable, et un jeu de qualité sans interventions financières extérieures. Pour prouver, peut-être, qu’un jeu a beaucoup à gagner à se reposer sur ceux qui y jouent en finalité, plutôt que sur ceux qui investissent de leurs fauteuils en cuir, pour uniquement se satisfaire de l’argent qu’il produira. Pour prouver, enfin, que malgré les tracas et les obstacles, un projet indépendant peut arriver à terme et rendre heureux toute une communauté de personnes qui n’attendent que ça, et rien d’autre – rien, dans l’absolu, qui n’offense qui que ce soit (ou alors pas pour de bonnes raisons).

À l’inverse, que provoquerait une chute de Star Citizen ? Le désaveux du financement participatif dans toute sa splendeur (oserais-je dire que toute une frange de l’industrie vidéoludique ne peut que s’en satisfaire ?) ; une perte d’argent de ceux qui ont investi (somme toute, le pari de tous ceux qui placent leurs espoirs dans un projet ; ça ne serait pas exceptionnel, juste très médiatisé) ; la chute de Chris Roberts et de CIG…dans cette courte liste, je ne vois nulle part un avantage, pour qui que ce soit. Ou alors il est juste fourbe et égocentrique.

Osez, mes amis, croire en Star Citizen ! Et par là, je ne dis pas “achetez des concepts et des vaisseaux numériques à des prix exorbitants” (sans compter que le jeu est jouable à partir d’un prix basé sur les tendances du marché, pour celui qui a simplement envie d’avoir les mains dessus (une précommande, en somme), et qui ne fait pas le choix d’être un investisseur d’importance), je dis simplement : Star Citizen est la vision d’un jeu qui ne peut qu’apporter du positif au jeu vidéo et à sa communauté de joueurs. Internet nous donne l’incroyable possibilité de soutenir des projets dans lesquels on peut s’identifier ; en s’informant dessus, pour décider s’ils valent la peine que l’on s’y intéresse. Star Citizen, pour vous, peut être l’un de ces projets comme il peut ne pas l’être ; le choix vous incombe, personne d’autre que vous ne peut prendre cette décision. CIG fait peut-être tout pour qu’elle lui soit profitable, par intérêt, mais le studio ne fait qu’influencer, comme toute personne qui a un intérêt vital à ce qu’une tendance aille à son endroit.

Quoi qu’il en est dit, la communauté de Star Citizen – la communauté francophone, ici – n’est pas un rassemblement sectaire de personnes qui n’ont qu’en tête de vivre par et pour Star Citizen. Les plus fervents sont très souvent les plus raisonnables (voire sceptiques), et les moins fervents ne désirent rien de moins que de voir le jeu sortir, sans histoires aucunes auxquelles ils ne souscrivent pas. Tout ce beau monde n’a peut-être pas en tête ce qui se passe à l’extérieur (et surtout pas qu’il y est jugé – durement – bien plus qu’il ne juge cet extérieur), surtout parce que tout ce qui lui importe, c’est que le projet prenne forme. Contrairement aux fantasmes, tout ces passionnés ont une vie, et font la distinction entre ce qui concerne le jeu, et ce qui concerne la réalité.

En conclusion : nous avons tous la tête dans les étoiles, mais les pieds sur terre.

Et gardez-la là-haut, surtout. 

La rédaction.

Relecture par Hotaru

Et pour tous ceux que la numérotation “5” intriguent, et qui veulent découvrir le contenu frelaté des articles précédents, faites-vous plaisir (ou douleur, je juge pas) :

Clarification concernant les Packages Multiples

ClarificatioN concernant les Packages Multiples

Salutations Citoyens,

Il y a eu beaucoup de discussions sur les forums RSI, au sujet de la manière dont Star Citizen va gérer les multiples packages de pledge sur un seul et même compte. Aujourd’hui, on aimerait calmer les spéculations ! Pour commencer, il faut comprendre que tout pledge de package Star Citizen inclut trois parties essentielles :

  1. Votre vaisseau. Nécessaire pour voyager dans la galaxie, et jouer au jeu. Que ce soit pour explorer les étoiles par vous-même dans un Aurora mono-place, ou en tant que capitaine d’équipage d’un Constellation voguant sur les voies spatiales, votre personnage va avoir besoin d’un vaisseau pour se faire un nom dans Star Citizen.
  2. Quelques crédits. Chaque package contient son lot de crédits UEC pour démarrer. Ils seront nécessaires pour commencer, par exemple, à équiper votre vaisseau, payer les frais d’atterrissage, acheter du carburant ou des munitions, acheter vos premières marchandises à transporter. On ne va pas rentrer dans le détail du grand livre des UEC, puisque nous risquons d’ajuster les montants des différents packages au fur et à mesure de l’équilibrage des prix de l’univers persistant.
  3. Un personnage. Ça, c’est “vous”. Que vous choisissiez de jouer un marchand en règles, un pirate sans crainte, ou bien un explorateur intrépide, il vous faut un avatar personnalisé qui vivra dans votre hangar et pilotera vos vaisseaux.

 

Cela signifie que si vous possédez actuellement quatre packages Star Citizen, vous pourrez jouer quatres personnages différents, via un seul compte RSI, chacun ayant son propre vaisseau et sa somme de départ. Vous pouvez aussi très bien fondre vos différents pledges pour réallouer ces trois éléments à votre convenance. Qui plus est, vous choisirez le personnage qui recevra ces vaisseaux supplémentaires, les objets du Voyager Direct, ainsi que les récompenses de pledge que vous avez accumulées. Dans notre exemple, quelqu’un possédant quatre packages pourra donner tous les vaisseaux ainsi que les crédits à un seul de ses personnages, gardant les trois autres pour plus tard. Ces slots de personnages non-utilisés sans vaisseaux associés ni crédits ont deux rôles. Ils peuvent servir à créer un membre d’équipage additionnel, ou peuvent être offerts à d’autres joueurs.

Si vous avez acheté plusieurs packages contenant des extras matériels identiques, comme des modèles réduits de vaisseaux ou la carte stellaire, vous recevrez ces extras plusieurs fois à la sortie du jeu. Si vos packages comprennent des extras digitaux, comme la Bande Originale téléchargeable, vous aurez l’occasion de faire don de ceux-ci à des amis.


Création de membres d’équipage

Beaucoup de vaisseaux de Star Citizen, comme le Freelancer ou le Constellation, ont la capacité d’êtres pilotés à plusieurs. Les joueurs pourront recruter des PNJs à cet effet, se retrouvant avec un équipage d’IAs pour les aider à contrôler les tourelles, les consoles, ou voler en escorte. Si vous préférez pouvoir personnaliser votre équipage, vous pouvez créer vos propres PNJs en utilisant un Slot de Personnage. Vous passerez par le même processus de création que pour votre propre personnage, mais avec l’option d’en laisser le contrôle à une IA. Petit bonus, vos amis peuvent “plonger” dans ces personnages pour en prendre le contrôle afin de vous assister dans le pilotage de votre vaisseau.

Rappelez-vous qu’il n’est pas nécessaire d’utiliser un Slot de Personnage pour votre équipage de PNJ. Vous pourrez recruter des PNJs normaux grâce aux crédits remportés en jouant. La différence entre un Slot de Personnage reconvertit en PNJ, et un PNJ classique, ne se trouve que dans la customisation du personnage concernant son visuel, son nom et son histoire. Il y a un bonus supplémentaire permettant de désigner l’un de vos personnages créés en tant que successeur des évènements suite à la mort de votre personnage (voir Death of a Spaceman), point à partir duquel ce personnage PNJ deviendra jouable, récupérant, au passage, les biens de votre personnage fraîchement décédé.


Gifting Game Characters

Vous aurez aussi la possibilité d’offrir les Personnages de Jeu non-utilisés à d’autres joueurs. Mais souvenez-vous, afin de pouvoir faire son chemin dans l’univers de Star Citizen, ces personnages doivent posséder un vaisseau et des crédits ! Ceux que vous aurez gagnés en jeu peuvent être transférés à vos amis (après une taxation par l’UEE !), ou alors ils pourront acheter un lot via la boutique Voyager Direct. Nous pensons aussi à un système permettant aux joueurs possédant un Slot de Personnage sans vaisseaux de “travailler” pour d’autres personnages (que ce soit de vrais joueurs ou des PNJs).

Les joueurs souhaitant avoir des slots de personnages supplémentaires, que ce soit pour créer un second personnage joueur, ou se créer un équipage personnalisé, mais qui ne possèdent pas de multiples packages, auront la possibilité d’acheter des slots sur le Pledge Store, sans devoir acheter une nouvelle license. Un petit nombre de contributeurs possédant seulement un vaisseau, mais pas de licence, pourront aussi acheter un Slot de personnage et quelques crédits afin de pouvoir plonger dans cette vaste galaxie !

Nous espérons avoir clarifié certaines confusions au sujet des Packages Star Citizen.

Le but est de rendre l’expérience extrêmement personnalisable et donner aux contributeurs un contrôle total de leurs pledges. Vous n’aurez pas à distribuer vos vaisseaux à différents comptes pour jouer différents personnages. Bien sûr, vous aurez toujours cette option, mais ce système permet de garder tous vos objets sur un seul personnage, les distribuer pour créer plusieurs alter-egos, créer un équipage entièrement personnalisé, ou partager l’expérience Star Citizen avec vos amis !


JUMP POINT DISPONIBLE

Le dixième numéro de Jump Point, le Magazine exclusif pour les abonnés, est maintenant disponible au téléchargement dans la zone Souscripteurs ! Il contient des informations telles que des articles sur les coulisses, des fictions sur l’univers, et des histoires exclusives de Star Citizen. Pour plus d’informations sur les souscriptions, consultez cette page.


Source de cet article | Traduit par Kiro S. Terashii, relu par Silkinael, Pimmie

Agenda de la semaine du 10 au 14 octobre 2016

Salutations Citoyens !!

COMMUNITY MANAGERS LOG – Semaine 41 :
Gamescom Event, Citizencon Event, Anniversary Livestream, Holiday Livestream.
Disco Lando revient sur la semaine passée à préparer la CitizenCon et les différents LiveStream préliminaires.
Pour le plaisir de nos yeux, CIG a enregistré et posté la vidéo du “Procedural Planets V2” en haute définition et en 60 fps. Dans la foulée, ils ont décidé d’offrir à tous les souscripteurs une semaine de vol gratuit avec mise à disposition de tous les vaisseaux pilotables. Le Polaris a été mis en vente et comme à l’accoutumée, il y aura 2 séances de questions et réponses concernant cette corvette. En plus des émissions habituelles, les “Around the Verse” et “Reverse the Verse” seront présentés sous forme d’édition spéciale consacrée à l’après CitizenCon.
Mais revenons à l’agenda.

Agenda de la semaine
du 10 au 14 octobre 2016

Lundi 10 octobre :

Mardi 11 octobre :

  • Publication d’un Article du Lore.

Mercredi 12 octobre :

  • Bugsmashers! – Épisode 34.
  • Questions et Réponses sur le Polaris, Partie I.

Jeudi 13 octobre :

  • Around the Verse, Édition Spéciale – Post CitizenCon.
  • Mise à jour du Vault (pour les abonnés).

Vendredi 14 octobre :

  • Reverse the Verse, Édition Spéciale – Post CitizenCon.
  • Questions et Réponses sur le Polaris, Partie II.
  • Lettre d’Information Hebdomadaire (Weekly Newsletter).

Fan Podcast Schedule

Monday (Lundi)

Tuesday (Mardi)

Wednesday (Mercredi)

Thursday (Jeudi)

Friday (Vendredi)

Saturday (Samedi)

Sunday (Dimanche)

CitizenCon Rennes Meetup / Débrief

Note du rédacteur : Article de Surcouf Le Breton initialement posté sur BreizhCitizen.

Salut à tous !

Voilà, la CitizenCon 2016 est passée , et le Bar Citizen #2 de Rennes qui va avec aussi.

Le début de la soirée a donné lieu à quelques déboires au niveau de la logistique, mais Ivileor nous a sauvé la mise (merci à toi). On a donc réussi à se mettre tranquillement devant le Stream sur grand écran, et attendre, attendre, boire, attendre…. 01H06 ! C’est bon, ça commence. Ha, le retard légendaire de CIG. Malheureusement, l’heure légale de fermeture du bar Shamrock étant 3H du matin, nous avons dû quitter les lieux pile au moment le plus intéressant : Le ver des sables ! Le bon côté de la chose, c’est qu’on a tous été chauds encore jusqu’à la découverte de la fin du Live le lendemain.

Concernant le contenu :

  • Le Spectrum, qui est une nouvelle interface entre joueurs qui fera chat, vocal et réseaux social, etc… Ce Spectrum est très intéressant pour les organisations notamment, hâte de voir ce que ça va donner.
  • Planification des patchs 3.0, 3.1, 3.2, 3.3, 4.0 ; mais sans les dates. Cependant, on sait au moins ce que ces mises à jour contiennent.
  • Sur la partie gameplay, la planète procédurale était vraiment belle ! Avec sa végétation, ses hommes des sables, et son bon gros lombric… Ça promet vraiment du lourd pour la suite.
  • Par contre, pas de réelles news ni de visuel de Squadron 42. Et c’est vraiment le regret de cette CitizenCon.

Un grand merci aux Citoyens qui se sont déplacés un dimanche soir, tout de même ! A savoir : Deyos666, Skrunchlesinge, Sive, LThomas, Lange, Papy, RedSky, Jaouad, Duboismarneus, et notre Cherbourgeois Ivileor.

Merci à Duboismarneus, co-organisateur qui m’a aidé pour cette event.

Et merci au Bar Shamrock de Rennes pour l’accueil dans la convivialité, et le prêt de leur belle télé.

Saluons aussi la superbe soirée organisée à Paris par la TradTeam, qui a réuni pas moins de 140 personnes à l’école 42 (les photos ici) !

A très bientôt pour un autre Bar Citizen…

Surcouf Le Breton

NB : Le débrief sur le DSR de RSI.

CITIZENCON 2016 CONCOURS

CITIZENCON 2016 CONCOURS

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Tu le sais, la TradTeam organise un grand concours à l’occasion de la CitizenCon 2016 !

Et comme ici, on n’aime pas faire comme tout le monde, on s’est dit qu’il fallait faire original, qu’il fallait faire sensationnel, qu’il fallait faire du jamais vu !

Pour ce concours exceptionnel, nous vous présentons la première histoire interactive basée sur l’univers de Star Citizen. Ce récit est le premier d’une série, une sorte de teaser pour les prochains à venir. Il n’est pas parfait, mais nous espérons que vous aurez autant de plaisir à lire cette petite aventure que nous avons eu à la créer !

Rendez-vous sur cette page pour l’histoire.

Une fois l’histoire découverte, n’oublie pas de remplir ce formulaire :

La première course – épisode quatre

La première course : épisode quatre

par Thomas K. Carpenter

Le vrombissement d’un moteur quantique contre ma joue me réveilla. Couchée sur le flanc, j’appuyai les paumes de mes mains contre mes paupières et me frottai les yeux jusqu’à recouvrir la vue. Quoi que ce qui m’avait assommée fut, cela m’avait sonnée comme si toutes mes pensées avaient été mélangées dans un seau de boue.

Lorsque je m’assis, les liens de contention heurtèrent le panneau de porte. Mes poignets avaient été nouées à l’aide d’un bout de câble. L’autre extrémité était fixée au sol. J’avais assez de mou pour me toucher le visage, mais c’était tout.

Le siège du pilote se tourna, dévoilant la brute qui avait dérobé mon mobiGlas. Il portait une combinaison de vol spatial bleue de la navy, sans les gants ni le casque. Il joignit ses doigts, bout à bout, me fixant du regard, et je me sentis comme un poulet dans un poulailler dont on prendrait les mensurations avant de l’envoyer à l’abattoir.

« Vous ne voulez pas me tuer », laissai-je échapper.

Ses sourcils se relevèrent. « Ah non ? Dis-m’en plus, petite vermine. »

Je ne pu m’empêcher de secouer ma tête en réaction. La voix gracieuse qui sortait de ce corps grossier était contradictoire.

Il m’apparut également que je commis une erreur en parlant avant même de savoir de quoi il en retournait. Derrière la brute, seul le vide noir de l’espace était visible à travers la vitre du cockpit, avec pour unique exception un point rougeâtre localisé en plein milieu de celle-ci. On aurait dit une planète, à en juger par la fine pellicule atmosphérique qui l’entourait. Probablement une géante gazeuse.

« Comment vous vous appelez ? » demandai-je, essayant de gagner du temps.

Sa langue humidifia ses lèvres. « Burnett. »

Il prononça la première syllabe « bure » et fit danser sa langue pour la seconde.

« Eh bien, Burnett », répondis-je tout en laissant errer mon regard du côté du cockpit, « moi c’est Sorri, mais pas comme une souris. » (ndt : dans le texte original, le jeu de mot est fait avec « sorry », soit « désolée » en anglais.)

Après ma blague, sa lèvre supérieure se retroussa pour laisser apparaître ses dents. « Je sais qui tu es. »

Bien. Ce qui me désavantage grandement. La seule chose que je savais sur ce Burnett, c’était qu’il avait volé mon mobiGlas et qu’il m’avait kidnappée.

Je tendis le cou pour voir le panneau de contrôle du vaisseau, ce qui ne m’apporta aucune aide. Je ne savais pas faire la différence entre un vaisseau capable d’effectuer un saut et un autre ne pouvant voler qu’au sein d’un seul système.
Burnett semblait satisfait de me voir faire, comme un chat qui observe une souris piégée.

J’essayai de me souvenir de quoi que ce soit qui pourrait m’aider, lorsque je me souvins de la dernière chose que Burnett me dit : On dirait que Dario s’est trouvée une alliée.

Par l’espace, qu’est-ce que cela signifiait ?

Mes yeux s’écarquillèrent lorsque je fis le rapprochement. « Dario, le type du Solar Jammer, a mis quelque chose sur mon mobiGlas. C’est ça que les gens de la sécurité ont vu. Elle n’aurait jamais dû me laisser partir. »

Les mots qui sortirent laissèrent place à un moment de révélation autant que de regret.

Les coins des yeux de Burnett se plissèrent et l’étroite cabine sembla se rétrécir davantage. J’étais à deux pas de la bête gracieuse qu’était cet homme, et il portait une lame à sa hanche. Lorsque je jetai un œil au brillant de son acier, il rigola.

« Ne t’en fais pas. Je ne te trancherai pas la gorge. Ton sang se répandrait sous les plaques et ferait court-circuiter les composants électroniques. Quand il sera l’heure de se débarrasser de toi, je te jetterai tout simplement par le sas. »
Quand. Il a dit quand.

« Qu’est-ce que vous attendez, alors ? » demandai-je, la tête haute, fixant directement ses yeux marrons-gris. Je mordis ma lèvre inférieure pour l’empêcher de trembler.

« Tu avais l’air d’être bavarde. J’espérais simplement que tu dévoilerais ce que Dario et toi aviez prévu de faire, m’épargnant la peine de te torturer. »

« Mais je ne le connais pas. Je suis juste une messagère de FTL. ‘Quand vous avez besoin de délivrer un message, rien n’est plus rapide que la lumière’, ça ne vous dit rien ? »

Les mots sortirent tous seuls de ma bouche. Je pouvais sentir les cliquetis de l’horloge qui annonçait les dernières secondes de ma vie. Il plissa les yeux et retourna s’asseoir sur son siège, ce qui, avec sa carrure, tordit pratiquement le socle en acier.

« On dirait bien que tu dis la vérité. Mais il se pourrait que j’aie à te mettre le couteau sous la gorge, pour m’assurer que tu n’es pas simplement une bonne menteuse. »

« Que voulez-vous savoir ? Je n’ai rien à perdre, pas vrai ? »

Burnett semblait réfléchir à mon offre.

« Tu ne connais pas Dario ? » me demanda-t-il au bout d’un moment.

« Non », répondis-je. « Je lui ai parlé pendant le trajet aller, surtout au début. Il a dû pirater mon mobiGlas pendant que je dormais. Y mettre le fichier. Je ne sais pas ce que c’est, mais c’est important, pas vrai ? »

« Ne préoccupe pas ton esprit étriqué avec ça. »

J’eus un moment de lucidité. « C’est votre rival, c’est ça ? Vous avez compris ce qu’il allait faire : m’utiliser pour que le fichier passe sécurité locale. Donc vous avez simplement attendu sur la planète et vous êtes servi. »

Burnett opina du chef. « Ça ne peut pas faire de mal de t’expliquer. Les nouveaux messagers ne se font jamais confier de fichiers capitaux, en fait, on leur confie de faux documents pour les tester. Tu n’avais donc pas les dispositifs de haute sécurité requis pour protéger ce genre de données. Quand j’ai surpris Dario en train de te trainer autour, j’ai pris le risque de vérifier qu’il avait refait ce coup. »

Puis il se leva et le siège grinça sous l’effet du poids en mouvement. Il devait maintenir sa tête baissée pour l’empêcher de cogner contre le plafond. Lorsqu’il serra ses lèvres et poussa un soupir avec le nez, mon estomac se noua.

« Et maintenant il est l’heure de se dire au revoir. Je suis vraiment navré que Dario t’ait utilisée, mais tu n’aurais pas dû me suivre », dit-il en attrapant un tournevis posé sur le siège à côté du sien.

Lorsqu’il s’approcha de moi, je songeai à gratter le sol et jouer des griffes comme un chat affectueux, mais ça n’aurait fait que le sortir de ses gonds. Je devais rester vigilante, mais c’était difficile, très difficile.

Il se baissa et commença à dévisser le câble qui sortait du sol sans la moindre inquiétude. Je me sentis comme une enfant à côté de lui. Le couteau accroché à sa ceinture était à portée de main, mais je savais qu’il se montrerait plus rapide que moi.

Je regardai à travers la vitre avant du vaisseau. La géante gazeuse rougeâtre avait laissé place à un objet de taille conséquente dont les détails commençaient à apparaître.

« Vous allez vendre les données à des pirates, hein ? »

Je souris avec arrogance et pointa l’avant du vaisseau d’un signe de tête, mais j’avais peur que cela ne fasse trop amateur. Son œil droit pivota.

« En quelque sorte », dit-il en piétinant le premier câble pour m’empêcher de bouger le bras et commençant à travailler sur le second.

« Je parie qu’ils ne seront pas contents quand ils verront l’UEE se pointer », lançai-je.

Il me dévisagea en même temps qu’il desserra le second câble, mais il poursuivit son travail. Il saisit les extrémités et m’empoigna avec force. Il me tira derrière lui jusque dans la cabine principale, située à l’arrière du cockpit.

Sur une table était éparpillé le contenu de mon sac à dos, dont mon mobiGlas personnel et l’autre. À l’arrière de la salle se trouvait le sas. Burnett me conduisit à la porte et commença à enfiler ses gants pressurisés, en les fermant précautionneusement. Chaque centimètre carré de gant se liant à sa combinaison ne faisait que resserrer le nœud que mon estomac faisait.

Puis il sortit son tournevis et commença à défaire les liens qui retenaient mes poignets. Sa main charnue serrait mes bras comme un étau, malgré le gant pressurisé. Je me serais bien plainte du bleu que cela me laisserait, mais ça n’aurait bientôt plus d’importance.

« Vous savez que ça ne va pas marcher », lançai-je, mais Burnett poursuivit ce qu’il était en train de faire. « Je ne vous aurais poursuivie si je n’avais pas eu d’issu de secours. »

Il haussa les épaules et sortit la première visse de son écrou. La pièce de métal vint s’écraser avec fracas à proximité de mon pied.

« Je ne suis pas stupide », dis-je. « J’ai compris assez rapidement où se trouvait votre vaisseau, pas vrai ? »
Il s’arrêta alors que la seconde vis n’était qu’à moitié sortie de son écrou. La barbe de trois jours poivre et sel sur son menton se retroussa en même temps qu’il fronça des sourcils.

« Parle », lança-t-il.

« FTL. Le service de livraison. Ils ont deux issus de secours. Une dans le mobiGlas délivré par la compagnie – » je le surpris à regarder à la poche sur sa poitrine « – et une autre qu’ils nous injectent quelque part. Elles émettent un signal de détresse si l’on meurt, ou si le mobiGlas est détruit, ou pour tout un tas d’autres raisons. Il se pourrait même qu’elles l’émettent en ce moment-même. »

Burnett grogna et tapota sur son mobiGlas du boit de son doigt ganté. Lorsqu’il émit un grognement de satisfaction, je sus qu’il avait balayé l’environnement à la recherche de signaux de communications, sans résultats.

Burnett me lança un regard noir et finit de dévisser la dernière vis. Lorsque celle-ci toucha le sol, je tressaillis.

Il libéra mes poignets, je me reculai alors et les frottai pour retrouver des sensations. Des picotements parcouraient mes bras, je les secouai alors pour m’en débarrasser.

Pendant tout ce temps, Burnett m’observait, une main englobant le tournevis et l’autre posée sur le manche du couteau.

J’eus la désagréable impression qu’il songeait à m’ouvrir en deux pour chercher une balise inexistante.

Une annonce du vaisseau retentit dans les haut-parleurs : « Destination en approche. Arrivée dans cinq minutes. »

À l’avant du vaisseau, la géante gazeuse occupait toute la vitre du cockpit, mais en plein milieu flottait une lune de glace grisâtre. Je supposais que c’était notre destination.

Burnett se pencha vers moi, et je pensai qu’il allait me jeter contre le sas. Au lieu de ça, il tapota ma poitrine du bout du doigt et grogna.

« D’accord. Je ne te jette pas dans le sas. Mais tu regretteras dans un instant que je ne l’eus pas fait plus tôt. »

Je voulais avaler ma salive, mais ma bouche était trop sèche. « Et pourquoi ça donc ? »

« As-tu déjà entendu parler des Démons stellaires ? » me demanda-t-il.

Je secouai la tête pour dire non.

« Des accros à la VeUvE. Ils font passer les types qui se défoncent au SLAM pour des saints. Plutôt que de te tuer, je vais te vendre à eux. Comme ça je me ferai quelques bénéfices, et quand ils te tueront accidentellement dans leurs orgies de douleur bien particulières, ta petite balise, si elle est bien réelle, conduira l’UEE jusqu’à leurs têtes infestées de vers. Mais ça n’aura aucune importance à mes yeux parce que je serai parti depuis longtemps. »

À ma grande honte, mes jambes faiblirent et je m’effondrai sur le sol, me tenant à moitié contre le sas. Ma faiblesse était principalement due à la faim – cela faisait désormais plusieurs jours que je n’avais rien avalé – mais cette nouvelle perspective qui s’offrait à moi m’avait donné des vertiges d’inquiétude.

Les lèvres de Burnett se retroussèrent pour dévoiler ses dents. « T’es sûre que tu ne veux pas passer par le sas maintenant ? »

À suivre…

Traduction depuis l’Anglais et relecture par Hotaru – Source : https://robertsspaceindustries.com/comm-link/spectrum-dispatch/13859-The-First-Run-Episode-Four
Merci de contacter l’auteur de cet article pour toute faute ou remarque éventuelles.
Traduction soumise à la licence CC By SA 3.0. Vous êtes libre de copier et réadapter ce texte en mentionnant les auteurs originaux, les traducteurs et la source. Merci !

Squadron 42 : Interview with Mark Hamill – VOSTFR

Squadron 42 : Interview with Mark Hamill – VOSTFR

Sandi Gardiner et Mark Hamill nous parlent de Squadron 42.

Cette traduction a été effectué par la TradTeam que vous pouvez soutenir en vous abonnant à leur chaîne, en les suivant sur les différents réseaux sociaux (Twitter, Facebook), en faisant un don sur le Tipee ou en réagissant sur la vidéo ou dans les commentaires afin de leur montrer ce soutien. Parole, cela les motive au plus haut point ! De cette manière, ils s’attaquent plus tôt que prévu à de plus grosses vidéos, que vous pourriez voir apparaître sous peu ici.

Détails de la CitizenCon 2946

Tout ce qui se passe pendant le weekend de la CitizenCon

Salutations Citoyens

La CitizenCon 2016 approche, Star Citizen en profite donc pour célébrer le quatrième anniversaire de notre campagne de financement participatif avec vous, qui avez rendu tout cela possible. En plus de la présentation annuelle et du livestream, nous continuons ce que nous avons démarré avec la Gamescom de cette année. Nous invitons les membres de la communauté Twitch Star Citizen pour une diffusion live depuis nos bureaux de Los Angeles, dans les jours à venir, pendant que ceux présents sur place profiteront de la vie nocturne de LA au sein de deux Citizen Bar événementiels pour les fans, dans la soirée. Que vous prévoyez d’assister à l’évènement ou le suivre de chez vous, tous les détails dont vous aurez besoin se trouvent dans ce post. Nous sommes impatients de vous montrer ce qui vous attend !

STREAMING DE GAMEPLAY DEPUIS LES STUDIOS DE LOS ANGELES


À partir de vendredi, les 7 et 8 octobre, nous diffuserons un live directement depuis nos studios de Los Angeles. Animé par CIG ainsi que des membres de la communauté Twitch Star Citizen, rejoignez-nous pour voir les dernières nouveautés de Gameplay de Star Citizen, des interviews avec les développeurs, et avoir une chance d’obtenir des goodies digitaux, comme des packs de jeux et des vaisseaux, de la part de nos streamers communautaires.

Watch live at twitch.tv/starcitizen on the following days and times:

7 OCTOBRE

VENDREDI

12h à 18h PDT
15h à 21h EDT
19h à 01h UTC

8 OCTOBRE

SAMEDI

12h à 18h PDT
15h à 21h EDT
19h à 01h UTC

PRÉSENTATION ET FÊTE POUR LA 4ÈME CITIZENCON ANNUELLE

Rejoignez-nous dimanche 9 octobre pour célébrer avec nous le 4ème anniversaire de la campagne de financement participatif de Star Citizen,
en compagnie de notre incroyable communauté. Animée par Chris Roberts, laissez-nous vous montrer ce sur quoi nous avons travaillé depuis l’événement de l’an dernier, et jetez un oeil sur le travail continu que nous produisons à la fois sur Squadron 42 et le système Planétaire Procédural, prévus pour débarquer en ligne sur l’Alpha 3.0 de Star Citizen. Bien sûr, il n’y a pas que ça à attendre de notre présentation CitizenCon, mais il vous faudra rester connecté en ce 9 octobre pour en savoir plus !

Pour ceux ayant achetés leur ticket pour l’événement live, vous pouvez

Imprimer vos billets

 

Pour tous les autres, nous vous invitons à rejoindre la présentation sur sa diffusion LIVE, sur notre page custom twitch.tv à 15h PDT / 18h EDT / 22h UTC

 

Avalon

9 OCTOBRE

DIMANCHE

15h PDT
18h EDT
22h UTC

TROPHÉES DE LA CITIZENCON, EN VENTE


Les trophées événementiels à ajouter à la décoration de votre hangar sont des composants essentiels de notre CitizenCon, et se marient à merveille avec ceux de la Gamescom. LeTROPHÉE CITIZENCON 2946 est disponible à l’achat pour tous les citoyens, afin de montrer à l’univers votre soutien pour Star Citizen. (Veuillez noter : les contributeurs ayant achetés un ticket pour l’événement recevront automatiquement ce trophée sur leur compte dès vendredi. Tout abonné sera récompensé de la variante Souscripteurs ce même vendredi.) Le TROPHÉE CITIZENCON 2946 SOUSCRIPTEURS est une variante colorée qui sera automatiquement distribuée à tous nos abonnés. Bien sûr, comme tout cadeaux d’abonnés, vous pouvez en acheter davantage et les offrir à qui vous voulez. Les trophées sont d’ores et déjà disponibles en jeu, et devraient être plaçables dans vos hangars dès maintenant

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ÉVÈNEMENTS PUBLIQUES DES FANS


Allez-vous à Los Angeles durant le week-end de la CitizenCon ? En plus de pouvoir faire la fête avec nous à l’Avalon, vous trouverez deux autres rassemblements, ouverts à toute la communauté Star Citizen. Ce ne sont pas des événements officiels, et ne nécessitent donc pas de ticket pour entrer. Il s’agit simplement d’endroits publics où différents membres de l’équipe Star Citizen vont se rassembler en soirée pour sortir et papoter avec les fans. Si vous êtes dans le secteur, passez donc faire un coucou !

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Vendredi 7 Octobre
Rejoignez-nous à l’Arsenal Bar de 19h à 22h PDT, pour boire un coup et avoir une chance de discuter avec le Staff de CIG

Trouver l’emplacement

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Samedi 8 Octobre
La fête continue dans le 33 Taps, à Hollywood, de 19h à 22h PDT

Trouver l’emplacement

FOIRE AUX QUESTIONS


Est-ce que l’Avalon est accessible en fauteuil roulant ?

Oui, mais veuillez nous informer par avance de vos besoins, via le système de tickets CS.

Est-ce qu’il y aura un moyen de restauration sur place ?

Des snacks et des repas complets seront disponibles à l’achat sur place, après la conclusion de la présentation. Les repas comprennent burgers, pizzas, nachos, et bien d’autres.

Puis-je amener ma propre nourriture/boisson ?

Non, ce n’est pas autorisé pendant l’événement.

Y aura-t-il moyen de s’asseoir ?

Oui, c’est un événement assis.

Y’a-t-il une restriction d’âge légal ?

Oui, l’événement est réservé aux personnes majeures (21 ans aux États-Unis). Amenez donc une carte d’identité pour vous assurer l’entrée.

Peut-on amener notre propre siège pour l’attente ?

Vous pouvez amener un siège pliant, par exemple, pour attendre à l’extérieur du théâtre. Cependant, une fois à l’intérieur, l’utilisation y est proscrite. Veuillez n’emmener que ce dont vous aurez besoin pour l’événement, ainsi que vos goodies Star Citizen !

Y aura-t-il un vestiaire ?

Oui, le coût est de 3$. Gardez à l’esprit que tout sac et autres objets devront être consignés aux vestiaires, en raison de la restriction d’espace et la réglementation incendie en vigueur.

Y’a-t-il un parking de disponible ?

Il y a un parking payant à proximité.

A quelle heure se termine l’événement ?

La sortie de l’Avalon se fait à 22h, cependant, le 33 Taps, situé de l’autres côté de la rue, est ouvert jusqu’à 2h.


Source de cet article | Traduit par Kiro S. Terashii, relu par Silkinael, Fougère

Squadron 42 : Interview – Gillian Anderson – VOSTFR

Squadron 42 : Interview – Gillian Anderson – VOSTFR

Sandi Gardiner et Gilian Anderson nous parlent de Squadron 42 !

Cette traduction a été effectué par la TradTeam que vous pouvez soutenir en vous abonnant à leur chaîne, en les suivant sur les différents réseaux sociaux (Twitter, Facebook), en faisant un don sur le Tipeee ou en réagissant sur la vidéo ou dans les commentaires afin de leur montrer ce soutien. Parole, cela les motive au plus haut point ! De cette manière, ils s’attaquent plus tôt que prévu à de plus grosses vidéos, que vous pourriez voir apparaître sous peu ici.