La première course – épisode trois

La première course – épisode trois

par Thomas K. Carpenter

Avant propos : les deux premiers épisodes de cette série avait été traduits par Sitasan et moi-même, mais comme vous l’avez probablement noté, “The First Run” avait été mise de côté au profit d’articles sur le développement de Star Citizen. Faisant mon retour dans l’équipe de traduction de starcitizen.fr, j’ai décidé de m’attaquer à cette fiction avant de m’occuper de “A Human perspective”. Vous pourrez donc très prochainement profiter ici d’une version française des deux séries qu’il nous restait à traduire !

La première course : épisode un – https://pulsar42.sc/2015/03/23/la-premiere-course-une-livraison-de-sorri-lyrax-episode-un/

La première course : épisode deux – https://pulsar42.sc/2015/04/07/la-premiere-course-une-livraison-de-sorri-lyrax-episode-deux/

Bonne lecture !

– Hotaru

Lorsque les larmes montèrent, je ne pus les retenir, ce qui ne fit qu’empirer les choses.

Je ne pleure pas facilement, et je ne pleure certainement pas en public. En fait, la seule fois où j’aie pleuré devant d’autres gens dont je me souvienne, c’était à l’enterrement de ma mère, et à l’époque je me fichais de ce que les autres pensaient de moi.

La plupart des voyageurs qui passaient par le port étaient en voyage d’affaire, donc ils se ruaient dans les taxis volants qui les conduisaient à leurs réunions. Quand je commençai à sangloter, ce fut comme si j’avais contracté une maladie contagieuse et les gens se mirent soudainement à m’éviter.

J’enfonçai ma tête dans mes bras, reniflant la morve qui menaçait de s’échapper sur les manches de mon pull préféré.
Lorsque les larmes se tarirent enfin, je pris une profonde et tremblante inspiration.

Cet homme qui s’était emparé de mon mobiGlas, peu importe de qui il s’agissait, n’avait pas fait semblant. C’était tout ce que je savais.

Autrefois, je voyais des types comme lui se pointer à la Horde Dorée, et mon père était toujours prompt à leur montrer le chemin vers la sortir comme à me renvoyer faire l’inventaire. Il y avait quelque chose de sauvage chez eux, comme s’il s’agissait de prédateurs lâchés au milieu d’un parc de moutons.

Je me berçais toute seule d’illusions dans la station, en pensant que le capitaine pouvait faire partie d’une mission de mise à l’épreuve qu’on m’avait confiée. Ces illusions s’étaient désormais envolées.

Cela me fit également réaliser que la compagnie m’avait peut-être envoyée avec les mauvais documents, ou alors il s’agissait des bons documents et on avait prévu de leur faire passer la station de sécurité. Et cet homme, de toute évidence une sorte de criminel, avait appris leur existence.

Ce qui fit que les retrouver devint encore plus important à mes yeux. Je pinçai mon bras, folle de rage contre moi-même pour ne pas avoir pris soin du mobiGlas. Si je ne parvenais pas à le récupérer, je serais sûrement renvoyée de FTL, peut-être même qu’on me demandera de le rembourser à cause de ma négligence, et ensuite il faudra que je retourne voir mon père à cause de mon échec, mais également de ma dette.

Comment alors allais-je récupérer le mobiGlas ?

Comme l’avait dit le Capitaine Hennessy, j’étais une recrue inexpérimentée. Je ne savais pas qui était cet homme, ni où il se rendait. Et il avait désormais dix bonnes minutes d’avance sur son électrocycle, alors que j’étais encore à pieds.

Mon estomac émit un grognement, me rappelant un autre problème. J’étais affamée. Affaiblie par la fin, en fait.
Mon père disait que j’avais un appétit d’oiseau, si celui-ci était un condor. J’aime me dire que j’avais le métabolisme d’un colibri, parce que je mangeais tout le temps.

Abandonner revenait à chercher quelque chose à manger. Ce n’est pas comme si j’avais une piste pour trouver ce type. Je pris la décision de commencer par trouver un vendeur de brochettes d’agneau épicé, tout en réfléchissant aux différentes options qui s’offraient à moi.

Lorsque je saisis la lanière de mon sac à dos, ma main heurta l’objectif de la caméra et un frisson d’excitation parcouru mon visage.

Je posai rapidement mon sac à dos pour le fouiller de fond en comble jusqu’à trouver mon mobiGlas personnel. J’avais oublié que je l’avais, et (avec un peu de chance) la caméra était peut-être en marche. Qui sait ? Il peut m’arriver d’être veine.

“Faites qu’elle enregistre, faites qu’elle enregistre”, marmmonai-je tout en inspectant les fichiers de la caméra.
Je laissai échapper un soupir de soulagement lorsque je vis qu’un enregistrement était en cours.

Remontant dix minutes en arrière, je rejouai la scène. L’objectif de la caméra était retourné, la prise de vue était en contre-plongée, ce qui nous faisait regarder la poitrine et le menton de l’agresseur. Puis la caméra valsa avec moi lorsqu’il saisit mon mobiGlas et se tira.

Je rejouai la scène à trois reprises jusqu’à voir ce dont j’avais besoin. En premier, la plaque d’immatriculation arrière de l’électrocycle, accompagnée d’un autocollant d’une compagnie de location. À moins d’avoir prévu ce vol depuis plusieurs semaines, et même avec de fausses informations, je pourrais être en mesure de découvrir son identité grâce à la compagnie de location.

Le second indice, qui était le plus préoccupant, était la combinaison spatiale de pilote qu’il portait sous sa veste en cuir. Je ne vis son visage que lorsqu’il attrapa mon mobiGlas, mais la caméra avait filmé sa poitrine.

Il semblait probable que son vaisseau était caché quelque part sur la planète, ou stationnait en orbite à proximité. Ce qui signifiait également qu’il ne comptait pas rendre l’électrocyle.

Mais si je pouvais trouver où il l’avait loué, ça pourrait m’indiquer où il avait mis pied à terre. C’était une possibilité, mais il faudrait pour cela que je me mette aussitôt à sa poursuite. Ce qui signifiait que je n’allais rien manger.

Je soupirai.

Puis j’appelai un taxi, un véhicule terrestre à moteur diesel plutôt qu’un modèle volant, puisque c’est bien tout ce que je pouvais me payer, et lorsque le conducteur me demanda où je voulais aller, je m’arrêtai net. Il fallait que je bouge, même si je ne savais pas où il se rendait. Alors il fallait que je fasse un choix pertinent.

Le Sud était la région la plus riche, alors il était peu probable qu’il y passe. Le Nord était plus industriel, ce qui impliquait beaucoup de caméras de sécurité. Ce qui ne laissait que l’Ouest ou l’Est.

Un rapide coup d’œil sur la carte de mon mobiGlas me révéla que la partie occidentale de New Alexandria était moins peuplée. Je trouvai un village le long de la route principale et dis au conducteur de s’y diriger. Il était également pertinent d’aller vers l’Ouest, parce qu’il était sur un électrocycle et avait donc besoin d’emprunter une route, ce que les fermiers et autres gens de la campagne utilisent encore.

Sur la route, je joignis les services de location du coin, en demandant si un homme, dont la carrure était trop imposante pour une moto, avait bien pu en louer un récemment. Personne ne voulait me répondre jusqu’à ce que je leurs annonce que : premièrement, il s’agissait de mon mari et il essayait de nous quitter, mon nouveau-né et moi, et deuxièmement, il ne comptait pas rendre le véhicule.

Je trouvai la bonne compagnie au bout du troisième essai. Elle se situait loin dans l’Ouest, à plus d’une centaine de kilomètres de la ville. Je réfléchis au coût du transport et réalisai que je n’aurai pas assez d’argent. Si je voulais poursuivre dans cette direction, je serais fauchée.

Une fois attaché au siège, je regrettai amèrement ce que j’essayais de faire. Ce serait plus sûr de faire marche arrière, garder mes sous et profiter du reste du voyage pour réfléchir à comment je rembourserai FTL.

L’autre option qui s’offrait à moi était de me faire à tout ce foutoir et de rester sur la planète, trouver un travail qui correspond à mes compétences, quelles qu’elles soient.

Mais une petite voix en moi ne voulait pas laisser filer cette opportunité. J’avais travaillé et économisé pendant des années pour en arriver là. Je ne pouvais pas laisser un peu de malchance me démoraliser. Ça, et le fait que je ne voulais pas retrouver mon père les mains-vides et endettée.

Je tapai du poing sur le siège, ne récoltant qu’un regard réprobateur de la part du conducteur. Puis mon estomac gronda, me faisant écoper d’un sourire narquois.

Et juste au moment où une pluie fine commença à arroser la fenêtre du taxi, nous passâmes devant une rangée d’étals de nourriture sur au moins un kilomètre. Aussitôt, je pouvais entendre les marchands, qui annonçaient leurs produits de leurs voix rocailleuses : raviolis frits au fromage, ragoût de volaille, sucettes aux pommes, bières fraiches et j’en passe.

Les étals défilaient lentement à cause du trafic routier. Si je n’étais pas aussi affamée, et si je ne fixais pas aussi longuement chaque étal qui passait, j’aurais peut-être raté le colosse recroquevillé sous l’une des bannes.
“Arrêtez-vous là”, lançai-je, et l’on s’arrêta derrière un énorme camion de livraison intercontinental, avec des roues aussi hautes que moi.

Le colosse finissait de s’enfiler deux brochettes, probablement d’agneau épicé à en juger par son air satisfait. Logique. Il était encore en train de sucer la viande sur les pics, je décidai donc de faire quelques brèves emplettes. J’avais besoin d’avaler un morceau, j’étais franchement patraque.

La pluie s’était intensifiée, et je slalomai au milieu de la foule jusqu’à l’une des étals qui présentait la moins longue queue, tout en essuyant mon visage trempé par la pluie. Des raviolis frits aux fromages. Je n’en raffolais pas, mais je n’allais pas faire ma difficile.

Bien que la file d’attente était courte, je progressai lentement. Je serrai les poings et priai que le mouvement s’accélère, mais ça ne semblait que ralentir davantage ma progression. Mon estomac ajouta quelques grognements aux jurons que je marmonnai.

Et au moment même où je finis par atteindre la devanture et le marchand de l’étal, un grand homme à la peau tannée et des chiffres tatoués sur le cou, demanda de sa voix lyrique : « Qu’est-ce tu veux, ma jolie ? » Je vis le colosse se diriger vers son électrocycle garée à proximité.

Lorsqu’il la chevaucha et fila, je laissai échapper un juron et couru en direction du taxi. Le marchand me hurla après : « J’allais rien te vendre, t’façon ! »

Je suivis le colosse à bord du taxi sur plus de trente kilomètres et pendant tout ce temps j’avais des envies de nourriture. Puis le géant quitta la route principale à deux voies et un chemin de gravier qui reliait deux fermes. Il faisait pratiquement nuit, et la couverture nuageuse empêchait la lumière de passer.

Je demandai au chauffeur de dépasser le chemin de gravier, nous faire revenir sur nos pas puis emprunter le sentier. Après les fermes, le paysage devint forestier, bien que les arbres étaient courts et trapus, et que leurs feuilles jaunâtres laissaient échapper à travers ma fenêtre ouverte un parfum proche de l’eucalyptus.

Lorsque je vis le vaisseau derrière les arbres, je demandai au chauffeur de me déposer. Il me demanda s’il devait attendre, mais je n’avais pas la monnaie pour faire le trajet retour, je lui indiquai donc de partir. Il encaissa mes crédits par mobiGlas, ce qui ne laissa que des miettes sur mon compte en banque.

Je suivis le chemin, remarquant les marques de pneus sur l’herbe humide. Lorsque je parvins à la lisière de la clairière, je me baissai et observai les alentours. À l’exception du vaisseau gris acier, dont le nez marqué de brûlures indiquait de nombreuses entrées atmosphériques, la clairière était déserte.

Accroupie, je fus soudainement rattrapée par la raison. Par l’espace, qu’étais-je venue faire ici ? Cet homme était probablement un tueur, et tout du moins, un criminel.

Fermant les yeux, j’écoutai les insectes cliqueter au milieu des arbres. À l’instant même où je décidai soudainement d’abandonner ma quête stupide pour récupérer le mobiGlas de la compagnie, j’entendis une branche craquer dans mon dos.

« Petite vermine obstinée, » dit une voix provenant de la zone où la branche avait craqué. « On dirait que Dario s’est trouvé une alliée. »

La diction de la personne qui parla me perturba. C’était le vocabulaire sophistiqué d’un aristocrate typique de la Terre, pas d’un vulgaire voyou de la taille d’un guerrier Vanduul.

Mais je n’ai pas eu la chance de voir cette personne avant de me faire frapper par derrière et de perdre conscience.

À suivre…

Traduction depuis l’Anglais et relecture par Hotaru – Source : https://robertsspaceindustries.com/comm-link/spectrum-dispatch/13847-The-First-Run-Episode-Three
Merci de contacter l’auteur de cet article pour toute faute ou remarque éventuelles.
Traduction soumise à la licence CC By SA 3.0. Vous êtes libre de copier et réadapter ce texte en mentionnant les auteurs originaux, les traducteurs et la source. Merci !

Agenda de la semaine du 26 au 30 septembre 2016

Salutations Citoyens !!

COMMUNITY MANAGERS LOG – Semaine 39 : En route pour la CitizenCon.
Disco Lando nous rappelle la mise en ligne du nouveau “10 Questions pour le Président”. Ce format d’Édition Spéciale prend du temps à être produit, il est probable que les futures émissions prennent un rythme mensuel.
La CitizenCon approche et pas mal de collaborateurs des autres studios convergent vers Los Angeles sans compter qu’il y aura derrière, la semaine Anniversaire et plus tard les fêtes de fin d’année à préparer.
Cette semaine, il y aura le retour du “Bugsmashers!” mais aussi l’Assemblée Mensuelle des Citoyens (September Subscriber’s Town Hall) qui se tiendra chez CIG Austin sans oublier les “Around the Verse” et “Reverse the Verse” qui se dérouleront chez Foundry 42 à Manchester au Royaume-Uni. Finalement, ce weekend, Ben, Alexis, Tyler et DiscoLando se rendront à San Diego pour la TwitchCon.
Ce jeudi, CIG devrait publier un article donnant les informations sur la CitizenCon.
Mais revenons à l’agenda.

Agenda de la semaine
du 26 au 30 septembre 2016

Lundi 26 septembre :

Mardi 27 septembre :

  • Bugsmashers! – Épisode 33.
  • Publication d’un Article du Lore.

Mercredi 28 septembre :

  • September Subscriber’s Town Hall (Assemblée des Citoyens) – Austin
  • Publication d’un Article Jump Point.

Jeudi 29 septembre :

  • Around the Verse, Épisode 3.09 – Manchester (UK).
  • CitizenCon Info Post (Article d’Information sur la CitizenCon).
  • Mise à jour du Vault (pour les abonnés).

Vendredi 30 septembre :

  • Reverse the Verse, Épisode 2.09 – Manchester (UK).
  • Lettre d’Information Hebdomadaire (Weekly Newsletter).

Fan Podcast Schedule

Monday (Lundi)

Tuesday (Mardi)

Wednesday (Mercredi)

Thursday (Jeudi)

Friday (Vendredi)

Saturday (Samedi)

Sunday (Dimanche)

IRL à Rennes – Débrief

Note du rédacteur : Article initialement posté sur Breizh-Citizen et rédigé par SurcoufLeBreton.

Bonjour à tous !

Le samedi 24 septembre 2016 a eu lieu le premier Bar Citizen de France à Rennes au Bar E-Sport Warpzone.

Et le moins que l’on puisse dire c’est que la communauté a répondu présente, avec pas moins de 30 citoyens qui se sont déplacés ! Nous avons passé une superbe soirée, à discuter, débattre, boire et à l’occasion faire disparaitre quelques Trolleurs (hein Nicos !)…

Vous pouvez retrouver un extrait de l’ambiance grâce à un duplex réalisé avec Star Pirates News lors du Rendez-vous des Citoyens (à partir de 1h30min – à cette adresse ).

Nous souhaitons remercier toutes les personnes présentes ayant fait le déplacement. Mis à part les locaux de l’étape, certains sont venus de Nantes, Vannes, Lorient, Lannion, St Malo, et Cherbourg ! Et même de Lyon ! Bon, d’accord, pas pour nous en particulier, mais c’est génial tout de même.

Merci aussi à toute l’équipe de Star Pirates pour le duplex. Merci à Duboismarneus, co-organisateur, pour la communication sur Star Citizen.fr. Merci aussi à starcitizennews.fr et la TradTeam pour les relais sur les sites Web.

Et un grand merci au Bar WarpZone de nous avoir accueillis très gentiment dans la bonne ambiance de leur Bar. Ils ont même pris la peine d’installer le jeu sur les PCs (pratique pour patienter quand on arrive 2H avant, hein Hieiko !).

Fort de ce succès, vous pouvez être sûr que l’on va rapidement organiser d’autres Bar Citizen sur Rennes et dans d’autres villes.

Sinon n’oubliez pas le Bar Citizen spécial CitizenCon organisé par la TradTeam à Paris !

Sur ce, on vous dit à très bientôt.

SurcoufLeBreton

Participants / Organisation

Les photos en qualité originale ici.

Squadron 42 : Behind the Scenes – Pipeline Personnages – VOSTFR

Behind the Scenes – Pipeline Personnages – VOSTFR

Jetez un œil et découvrez comment les personnages prennent vie dans le futur Squadron 42 !

Cette traduction a été effectué par la TradTeam que vous pouvez soutenir en vous abonnant à leur chaîne, en les suivant sur les différents réseaux sociaux (Twitter, Facebook), en faisant un don sur le Tipee ou en réagissant sur la vidéo ou dans les commentaires afin de leur montrer ce soutien. Parole, cela les motive au plus haut point ! De cette manière, ils s’attaquent plus tôt que prévu à de plus grosses vidéos, que vous pourriez voir apparaître sous peu ici.

L’interview de Chris Roberts par StarCitizen.it, sous-titrée en français !

L’interview de Chris Roberts par StarCitizen.it, sous-titrée en français !

Notre partenaire StarCitizen.it a publié fin août une interview de Chris Roberts , président de CIG et fondateur de Star Citizen dans laquelle il répond à leurs questions.
Vous en apprendrez plus sur l’avancée de certains sujets de développement peu abordés.

Si les sous-titres n’apparaissent pas, veuillez les activer et choisir la langue “française” dans les paramètres de la vidéo Youtube.

Cette traduction a été effectué par la TradTeam que vous pouvez soutenir en vous abonnant à leur chaîne, en les suivant sur les différents réseaux sociaux (Twitter, Facebook), en faisant un don sur le Tipee ou en réagissant sur la vidéo ou dans les commentaires afin de leur montrer ce soutien. Parole, cela les motive au plus haut point ! De cette manière, ils s’attaquent plus tôt que prévu à de plus grosses vidéos, que vous pourriez voir apparaître sous peu ici.

Reverse The Verse #2.8

logo2106_grand_inv

Cette traduction vous est proposé par le site StarCitizenNews.fr , le site de l’actualité  en direct !
Vous pouvez aussi les suivre sur Twitter   et Facebook

L’émission de cette semaine est présentée par Brian Chambers, accompagné de Ben Dare, designer niveaux, et Ivo Herzeg, ingénieur animations.

  • Le boulot de Ben est de créer des environnements pour Star Citizen, en se concentrant sur leur modularité.
  • Le concept de satellites modulaires a pris environ un mois dé début à la fin et est actuellement entre les mains de l’équipe artistique avant que Ben puisse commencer à utiliser cette nouvelle méthode.
  • Il y aura 3 types de satellites : Défense, Communications & Science, qui peuvent être configurés de plusieurs manières (intérieur compris).
  • Leurs modules pourront être endommagés, voire hackés de l’intérieur pour pouvoir désactiver certains de leurs systèmes. Ils hésitent encore a rendre les satellites entièrement destructibles.
  • Selon le type de satellite, ce dernier pourra posséder des systèmes de défense automatisés (notamment si c’est un satellite militaire).
  • Dans le futur proche, les satellites ne pourront pas être contrôlés par les joueurs, mais c’est quelque chose qu’ils aimeraient faire.
  • Ivo Herzeg a commencé sur le CryEngine il y a 12 ans et continue encore aujourd’hui, faisant en sorte que le jeu possède les systèmes d’animations nécessaires.
  • Le Rig (ensemble d’éléments et articulations) unifié permet de réduire le nombre d’animations nécessaire, et leur permet d’être partagées. Par exemple dans Crysis 2, il fallait 1200 animations pour les fusils. Dans Star Citizen il n’y en a que 50.
  • Cela permet d’ajouter de la physique dans chaque articulations du corps d’un modèle, le rendant entièrement modulable au niveau de l’animation.
  • La stabilisation de la vision n’est pas encore finie, mais c’est en bonne voie.
  • Elle a été inspirée par la vidéo d’une poule que Ivo a trouvé, celle-ci stabilise parfaitement sa tête malgré les mouvements de son corps.

Bon week-end !

Source | Vidéo Originale

AROUND THE VERSE #3.8

logo2106_grand_inv

Cette traduction vous est proposé par le site StarCitizenNews.fr , le site de l’actualité  en direct !
Vous pouvez aussi les suivre sur Twitter   et Facebook

RAPPORT DE STUDIO :

David Sibbe travaille sur les armes au studio Foundry 42 de Francfort. Toutes les armes aperçues dans cet épisode d’Around The Verse ne sont pas finies et sons sujettes à changement d’ici la sortie de Star Marine.

Les armes seront retravaillées dans leur globalité d’ici la sortie de Squadron 42, le but est d’avoir une uniformisation des armes selon leur fabriquant. Chaque fabriquant utilise des matériaux qui lui sont propres, et leurs armes ont une apparence distincte, ils doivent être reconnaissable de loin.

De son côté, Benjamin Dare travaille sur le système de satellites modulaires, qui permet de créer les différents satellites du jeu en kit. Les satellites peuvent avoir plusieurs rôles, civils ou militaires. Selon leur rôle ils n’auront pas la même apparence et ne posséderont pas les mêmes modules. Chaque module a sa propre fonction : un panneau solaire fournit de l’énergie, un générateur de bouclier génère…un bouclier, etc…En définitive cela fonctionne comme un vaisseau, mais de manière automatique.

La taille et les modules d’un satellite dépend notamment de sa localisation : si il est près d’un soleil, il possédera un plus grand système de refroidissement. Si c’est un satellite militaire, il sera moins vulnérable aux attaques. Le cahier des charges lors de la création des différents modules imposait que ceux-ci soient reconnaissables facilement. Ces modules peuvent être endommagés et réparés en EVA. Chaque module possède un point d’ancrage pour accueillir un autre module sur chacune de ses faces, ce qui permet une grande modularité.

Tobias Johansson travaille quant à lui sur les bâtiments que l’on trouvera à la surface des planètes, qui fonctionnent eux aussi de manière modulaire. Ils peuvent choisir pour chaque lieu des modules extérieurs (des pièces), puis des modules intérieurs pour habiller lesdites pièces. Il est possible d’ajouter certains éléments de décor à l’extérieur des bâtiments pour qu’ils soient plus reconnaissable. Il est possible de créer de grandes structures en joignant beaucoup de pièces de manière modulaire, mais dans le patch 3.0 nous n’aurons le droit qu’a de petits bâtiments de 2 à 3 pièces maximum.

BEHIND THE SCENES – STABILISATION DE LA VISION :

Ivo Herzeg est le responsable de l’animation chez CIG, il a travaillé sur la stabilisation de la vision qui devrait débarquer en jeu sous peu.

La difficulté pour stabiliser le vision dans Star Citizen vient du fait que, contrairement à beaucoup de jeux FPS, la vision en 1ère personne est liée et à un modèle de personnage complet qui se déplace à la 3ème personne. Si vous attachiez une caméra directement sur la tête du modèle vous auriez droit à de sacrées tremblements rendant le jeu parfaitement injouable :

Dans la vraie vie, votre vue tremble énormément et c’est votre cerveau qui compense pour obtenir une image stable. Ils ont essayé de s’inspirer de ce mécanisme pour stabiliser la vue dans le jeu, en créant notamment un contre-balancement pour annuler les mouvements parasites. Cela a amélioré la vision à hauteur de 80% mais malheureusement, près des murs, ou lors d’arrêts brusques, les mouvements étaient encore trop forts.

La solution à été trouvée dans le monde animal : en effet les oiseaux stabilisent leur vue non pas grâce à leur cerveau qui traite l’information, mais grâce à la stabilité extrême de leur tête qui reste droite peu importe le mouvement de leur corps. Les développeurs ont donc implantés un système similaire à base de calculs compliqués et de contre-balancements des différents membres dans le jeu pour que la stabilisation soit satisfaisante.

Dans Star Citizen, contrairement à beaucoup de FPS, les balles sont directement créées dans le canon de l’arme utilisée. Les mouvements du corps ayant une grande influence sur la position de l’arme, il est donc impossible de courir et viser en même temps.

Nouvelles de la communauté et infos en vrac :
  • Les évocatis testeront bientôt les premiers changements du module Arena Commander qui débarqueront dans le patch 2.6.
  • Plus que 2 semaines avant la CitizenCon !
  • Il y aura bientôt des sessions de capture de mouvements pour le patch 3.0.
  • Le Vanguard Warden est encore en vente jusqu’à la fin de la semaine.
  • Les votes pour désigner le meilleur bombardier entre le Gladiator et le Retaliator seront clos demain.
  • Pour connaitre les prochains BarCitizen, rendez-vous sur le site : TinyUrl.com/BarCitizen
  • Alex, Ben & Jared se rendront à la TwitchCon.
  • Le nouveau numéro de Jump Point est disponible.
  • Nouveau numéro de Reverse The Verse ce soir.

Source | Vidéo Originale

10 for the Chairman – Édition Spéciale

logo2106_grand_noir

Cette traduction vous est proposé par le site StarCitizenNews.fr , le site de l’actualité  en direct !
Vous pouvez aussi les suivre sur Twitter   et Facebook

La personnalisation du visage sera-t-elle statique (à choisir parmi plusieurs préréglages), ou bien pourra-ton manipuler les traits du visage individuellement ?

Vous pourrez choisir un visage que vous aimez parmi plusieurs préréglages, et vous pourrez ensuite changer la couleur de la peau, des yeux, et effectuer quelques changements mineurs sur la forme du visage.

A quel point sera personnalisable la coupe de cheveux ?

Vous pourrez choisir une coupe parmi toutes les coupes disponibles, puis changer la couleur des cheveux. Il sera impossible de modifier physiquement la coupe.

Pourrais-je reproduire mon visage ?

Vous pourrez vous en approcher grandement.

Combien de temps cela prend-t-il pour intégrer le visage d’un acteur dans le jeu ?

C’est un long processus. Il faut déjà 2 heures pour effectuer le scan basique du visage, et il faut ajouter à cela tout le travail de conversion et de traitement de données ainsi obtenues.

Sera-t-il possible d’intégrer les visages des backers dans le jeu ?

Ils ont pensé à cette idée, mais il serait impossible d’obtenir des visages d’une qualité proches de ceux créés en interne, et cela créerait un déséquilibre intolérable de qualité dans le jeu final.

Quand est-ce que les nouveaux visages seront implantés dans le jeu ?

Nous en sommes très proches.

Quelle sera la qualité des visages vus dans le jeu sur les personnages et les PNJ ?

Oubliez ce que vous avez vu l’année dernière dans le Morrow Tour, la qualité a grandement augmenté. La qualité des visages et animations est classée en rangs, de 0 à 3. Le personnage vu dans la vidéo “From Pupil To Planet” était de rang 2. Les différences entre les différents rangs sont mineures et concerne des petits détails physiques et d’animation. Le rang 0 contient les modèles les plus détaillés (40000 polygones contre 10000 pour le rang 3). Le rang 0 est réservé aux personnages interprétés par les acteurs, comme Mark Hamill, Gary Oldman, etc…

Est-ce que les animations s’adapteront selon les blessures et/ou la vieillesse de notre personnage ?

Il est prévu d’avoir des animations spécifiques en cas de blessure. Ce serait une bonne idée de changer les animations selon l’âge d’un personnage, mais ce n’est pas prévu pour l’instant.

Avec la fidélité des modèles de personnages, comment garder de bonnes performances de jeu ?

Il y a eu de grosses améliorations de ce côté là. Par exemple un personnage qui utilisait 300mb de mémoire n’en n’utilise aujourd’hui plus que 30, et les joints d’animations sont passés de 1000 à 183. Il y a encore du chemin, mais le travail continue pour abaisser la charge mémoire, sans devoir sacrifier la qualité.

Quel est l’approche de Star Citizen concernant le design de personnages ? Un style traditionnel ou l’on choisit parmi une flopée de personnages et ou l’on peut modifier certains points ? Ou bien une toute nouvelle approche ?

Un peu des 2. Comme évoqué plus haut, vous commencez avec un préréglage et vous en modifiez certains aspects. il est possible de mixer 2 presets, mais pas de modification en profondeur.


Source | Vidéo originale

IRL Star Citizen à Rennes – Dernières informations

Bonjour à tous les citoyens francophones !

Et plus particulièrement aux citoyens bretonnants, puisque le sujet qui nous intéresse leur est géographiquement avantageux.

Une petite mise à jour, donc, au sujet de l’IRL Star Citizen à Rennes, qui se déroule, nous le rappelons, ce Samedi 24 septembre 2016 à Rennes, à partir de 20h et au Warpzone.

Deuxio

La soirée a été complètement officialisée. Le bar proposera une série de PC sur lesquels Star Citizen sera installé, avec accès libre. Nous vous proposons de venir avec un vêtement Star Citizen, si vous en avez, et dans le cas contraire, cherchez ceux qui en auront (la chose n’étant par difficile, le bar étant petit) ! Il restera ouvert au public, aucune privatisation n’est prévue.

Nous en profitons pour souligner que, techniquement, cette IRL est la première édition de la sorte en France, autour de Star Citizen ! Et, comble du chauvinisme régional, l’organisation se fends d’un site dédié à cette IRL, et à celles qui viendront. Pour toutes les infos présentes et à venir, vous pouvez consulter Breizh Citizen.

Malgré tout, nous rappelons que cette première édition reste informelle et libre (n’hésitez pas à vous contacter entre vous et à vous manifester dans les commentaires pour mettre en place des covoiturages et des hébergements). Rien de magistral de prévu, mais un bon moment à passer en perspective !

La rédaction. Qui vous offre un verre.

 

IRL Paris pour la CitizenCon

irl sur paris

Bonjour à tous ! Certains d’entre vous le savent déjà, notamment si vous êtes assidues et suivez les brèves de la Tradteam, mais ces derniers organisent à l’occasion de la CitizenCon prochaine une rencontre sur Paris.

Vous trouverez tous les détails ci-dessous, même si je peux déjà vous dire qu’il s’agit de venir rencontrer d’autres passionnés, le temps d’une soirée (nuit) conviviale, tandis que la TradTeam qui ne prend décidément jamais de vacances vous proposera une traduction intégrale de la retransmission de la CitizenCon.

Sur une note plus personnelle, je veux souligner le travail incroyable de cette équipe, qui depuis plus de six mois maintenant assure non seulement la traduction mais également le rapprochement des différentes communautés quand ces dernières ne le peuvent. En témoigne l’organisation par trois Belges d’une IRL à Paris. Parce que s’il eût fallu compter sur un parisien pour organiser une irl à Bruxelles, je vous raconte pas le carnage.

Que vous passiez faire un petit coucou le 9 Octobre où non, je sais que vous vous joindrez à moi pour leur dire, à tous, du fond du cœur : Merci.

 

Détails de l’IRL !

Au programme : diffusion en live de la CitizenCon et des traductions en simultané. Car oui, cette année encore Starpirates s’occupera de la traduction vocale de l’événement. La TradTeam sera bien évidemment présente en masse lors de cette soirée et mettra à votre disposition une page spéciale qui, en temps voulu, vous permettra de suivre en même temps le live Twitch, et la traduction écrite en flux tendu. Si c’est pas beau ça ? Nous remercions chaleureusement l’association d’E-sport de l’école d’organiser cette fameuse soirée.

irl-paris
Quand : Le dimanche 9 octobre, dès 18h !
Où : À l’Ecole 42
96 Boulevard Bessières, 75017 Paris
Qui : Silkinael, Fougère, Bamowen, Kiro S. Terashi, Roy, Skyx, Rubixor (@TradTeam), Hawk (@Starpirates), Fr3d (@UHradio) et !

Vous aussi, achetez votre place, pour 1€ symbolique, ou 5€ si vous souhaitez manger sur place !(La salle restant un lieu académique, la consommation et la vente d’alcool y est interdite)